Affiche et synopsis
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Quatre ans après les événements mouvementés de Transformers : La Face cachée de la Lune, un groupe de puissants scientifiques cherche à repousser, via des Transformers, les limites de la technologie. Au même moment, un père de famille texan, Cade Yeager, découvre un vieux camion qui n'est autre qu'Optimus Prime. Cette découverte va lui attirer les foudres d'un certain Savoy, dont le but est d'éliminer les Transformers. Pendant ce temps, le combat entre les Autobots et les Décepticons refait surface...
Présentation
Il y a 65 millions d’années, les dinosaures étaient rayés de la surface du globe par la chute d’une énorme météorite. Mais cette théorie, qui rassemble le plus de voix, est fausse : ils ont été annihilés par des êtres venus de l’espace.
De nos jours, 5 ans après la « Bataille de Chicago » (voir La Face cachée de la Lune), qui a failli détruire l’humanité, les Transformers n’ont vraiment plus la cote. L’alliance entre les Autobots et l’armée américaine a été rompue, tandis que « Cemetery Wind », une unité armée de la CIA, traque les Decepticons pour les détruire, avec la bénédiction de la Maison Blanche. Mais, à l’insu de Washington, Cemetery Wind ne répond qu’aux ordres de l’agent Attinger, qui considère tous les Transformers comme une menace, et traite les Autobots de la même manière que les Decepticons… L’unité s’est pourtant alliée à un mystérieux Transformer. Ce dernier, un chasseur de prime du nom de Lockdown, n’accepte de collaborer que pour une raison : il est sur Terre pour s’emparer d’Optimus Prime.
Pendant ce temps, Cade Yeager, père célibataire, rêve de mettre au point l’invention du siècle. Mais les moyens dont il dispose dans sa grange sont bien faibles. Sa fille Tessa se désespère pour lui, encore plus quand il ramène la vieille carcasse d’un camion, pour laquelle il a dépensé des centaines de dollars dont il aurait pu faire un bien meilleur usage. Cade, lui, est convaincu de pouvoir récupérer de nombreuses pièces sur le poids-lourd, et de poursuivre ainsi son rêve.
Alors qu’il vient de passer donc une nuit entière à travailler sur l’épave, Cade fait une révélation à sa fille et à Lucas (son ami / collègue / co-actionnaire / …) : le camion n’est autre qu’un Transformer ! Et pas n’importe lequel : Optimus Prime en personne…
Mais les choses prennent un très mauvais tournant quand Cemetery Wind et Lockdown arrivent soudain à la ferme Yeager, bien décidés à récupérer le leader des Autobots – et à ne laisser aucun témoin…
Changement complet – ou presque – dans la distribution. Exit Sam Witwicker et les autres humains des trois premiers films. Ils sont remplacés, entre autres, par Mark Wahlberg et Stanley Tucci. Du côté des Transformers, le coup de balai est presque pareil, puisqu’il ne reste qu’Optimus, Bubblebee et Megatron (et encore, ce dernier n’est plus tout à fait le même …).
L’occasion de donner un coup de fraîcheur à la franchise et de démarrer une nouvelle trilogie (deux autres films sont, en effet, déjà annoncés). Le pari est en partie réussi, mais on n’évite pas les lieux communs : le père célibataire prêt à se sacrifier pour sa progéniture, le « beau gosse » qui ne s’entend pas avec le précédent, le magnat qui se rappelle qu’il a une conscience, …
L’affrontement Autobots-Decepticons est quelque peu « pimenté » par l’un ou l’autre élément (comme l’introduction de Dinobots, par exemple), les FX sont toujours plus performants, mais on en revient toujours à une succession de bagarres qui ravagent des parties entières d’une ville.
Je dois tout de même personnellement reconnaître que je n’ai pas vu le temps passer en visionnant le film (c’est déjà ça).
Ajoutons encore que l’on ouvre ici une porte sur l’origine des Transformers – ou plutôt, on l’entrouvre : il faudra attendre les films suivants pour en savoir plus.
Pour cette réalisation de 2014, on retrouve une fois de plus l’inamovible Michael Bay.
De nos jours, 5 ans après la « Bataille de Chicago » (voir La Face cachée de la Lune), qui a failli détruire l’humanité, les Transformers n’ont vraiment plus la cote. L’alliance entre les Autobots et l’armée américaine a été rompue, tandis que « Cemetery Wind », une unité armée de la CIA, traque les Decepticons pour les détruire, avec la bénédiction de la Maison Blanche. Mais, à l’insu de Washington, Cemetery Wind ne répond qu’aux ordres de l’agent Attinger, qui considère tous les Transformers comme une menace, et traite les Autobots de la même manière que les Decepticons… L’unité s’est pourtant alliée à un mystérieux Transformer. Ce dernier, un chasseur de prime du nom de Lockdown, n’accepte de collaborer que pour une raison : il est sur Terre pour s’emparer d’Optimus Prime.
Pendant ce temps, Cade Yeager, père célibataire, rêve de mettre au point l’invention du siècle. Mais les moyens dont il dispose dans sa grange sont bien faibles. Sa fille Tessa se désespère pour lui, encore plus quand il ramène la vieille carcasse d’un camion, pour laquelle il a dépensé des centaines de dollars dont il aurait pu faire un bien meilleur usage. Cade, lui, est convaincu de pouvoir récupérer de nombreuses pièces sur le poids-lourd, et de poursuivre ainsi son rêve.
Alors qu’il vient de passer donc une nuit entière à travailler sur l’épave, Cade fait une révélation à sa fille et à Lucas (son ami / collègue / co-actionnaire / …) : le camion n’est autre qu’un Transformer ! Et pas n’importe lequel : Optimus Prime en personne…
Mais les choses prennent un très mauvais tournant quand Cemetery Wind et Lockdown arrivent soudain à la ferme Yeager, bien décidés à récupérer le leader des Autobots – et à ne laisser aucun témoin…
Changement complet – ou presque – dans la distribution. Exit Sam Witwicker et les autres humains des trois premiers films. Ils sont remplacés, entre autres, par Mark Wahlberg et Stanley Tucci. Du côté des Transformers, le coup de balai est presque pareil, puisqu’il ne reste qu’Optimus, Bubblebee et Megatron (et encore, ce dernier n’est plus tout à fait le même …).
L’occasion de donner un coup de fraîcheur à la franchise et de démarrer une nouvelle trilogie (deux autres films sont, en effet, déjà annoncés). Le pari est en partie réussi, mais on n’évite pas les lieux communs : le père célibataire prêt à se sacrifier pour sa progéniture, le « beau gosse » qui ne s’entend pas avec le précédent, le magnat qui se rappelle qu’il a une conscience, …
L’affrontement Autobots-Decepticons est quelque peu « pimenté » par l’un ou l’autre élément (comme l’introduction de Dinobots, par exemple), les FX sont toujours plus performants, mais on en revient toujours à une succession de bagarres qui ravagent des parties entières d’une ville.
Je dois tout de même personnellement reconnaître que je n’ai pas vu le temps passer en visionnant le film (c’est déjà ça).
Ajoutons encore que l’on ouvre ici une porte sur l’origine des Transformers – ou plutôt, on l’entrouvre : il faudra attendre les films suivants pour en savoir plus.
Pour cette réalisation de 2014, on retrouve une fois de plus l’inamovible Michael Bay.