Grâce au vieux qui l'a recueillie, Gwen a développé ses aptitudes particulières, et elle est devenue voleuse d’élite. Elle exerce ses talents dans la cité bulle du consul Leroy, où l’obscurité engloutit les hommes et la lumière s’achète à prix d’or.
Lorenz, son ancien amant, lui propose un contrat périlleux, au-delà des forêts obscures, au cœur de la ville des passeurs de lumière.
Pour réussir, la jeune femme devra affronter ses peurs et accepter ses origines.
Lorenz, son ancien amant, lui propose un contrat périlleux, au-delà des forêts obscures, au cœur de la ville des passeurs de lumière.
Pour réussir, la jeune femme devra affronter ses peurs et accepter ses origines.
Fiche de lecture
Dans une cité-bulle des territoires de l'Ombre où la lumière est comptée aux pauvres gens, la jeune Gwen, 12 ans, est accusée de sorcellerie en raison de sa chevelure rousse. La populace déchainée veut même improviser un bûcher pour la brûler vive car elle s'imagine qu'elle a fait périr père et mère dans un incendie. Un capitaine de la garde consulaire s'interpose juste à temps. Sur ordre du consul Leroy, il la tire des griffes de la foule et la conduit à la Tour Froide, prison de fort mauvaise réputation...
« Voleurs de lumière » est une nouvelle (ou novella d'une centaine de pages) de fantaisie fantasmagorique pleine de poésie, de symbolisme et d'images oniriques surprenantes.
Ce texte magnifique est porteur de thèmes aussi intéressants que celui du passage de l'ombre à la lumière, ou celui de l'opposition entre l'oppression et la liberté, sans parler de la haine et l'amour ou de la mort et la vie. D'où un aspect conte philosophique qui donne à réfléchir et pas juste à rêver comme cela peut être trop souvent le cas dans ce genre de littérature.
Le personnage de Gwen est attachant et sympathique, une vraie héroïne que l'on quitte à regret en se disant que cette histoire dévorée trop vite appelle à une suite dans cet univers particulièrement étrange et original.
La plume est alerte et agréable, le style limpide et efficace. Un vrai régal pour amateurs (trices) de fantaisie de qualité.
« Voleurs de lumière » est une nouvelle (ou novella d'une centaine de pages) de fantaisie fantasmagorique pleine de poésie, de symbolisme et d'images oniriques surprenantes.
Ce texte magnifique est porteur de thèmes aussi intéressants que celui du passage de l'ombre à la lumière, ou celui de l'opposition entre l'oppression et la liberté, sans parler de la haine et l'amour ou de la mort et la vie. D'où un aspect conte philosophique qui donne à réfléchir et pas juste à rêver comme cela peut être trop souvent le cas dans ce genre de littérature.
Le personnage de Gwen est attachant et sympathique, une vraie héroïne que l'on quitte à regret en se disant que cette histoire dévorée trop vite appelle à une suite dans cet univers particulièrement étrange et original.
La plume est alerte et agréable, le style limpide et efficace. Un vrai régal pour amateurs (trices) de fantaisie de qualité.