Yoko Tsuno T6 @ 1976 Dupuis
Les Vinéens sont sur le point de regagner leur planète d'origine. Yoko décide de les y accompagner. Mais multiples et secrets sont les pièges de l'espace. Parvenus à leur objectif, nos voyageurs imprudents découvrent les restes d'une architecture fabuleuse, d'étranges édifices générateurs de microclimats et une civilisation soumise au joug d'un Guide Suprême qui vit, inaccessible, au plus profond d'une gigantesque tour. Yoko s'introduit dans cette tour qui n'abrite que des robots parfaits, asservis aux mémoires des huit grands savants de l'ancienne Vinéa, eux-mêmes obéissant aux ordres d'un cerveau humain en léthargie.
Fiche de lecture
Avec cet album, Roger Leloup emmène son héroïne dans l'espace pour la première fois.
A l'invitation de son amie Khâni, Yoko prend une sorte de train supraluminique pour se rendre sur Vinéa. Les explications scientifiques sur le dépassement de la vitesse de la lumière sont, disons-le tout net, absolument fantaisistes. Mais cela n'empêche pas l'histoire d'être bien construite.
L'exploration de cette planète meurtrie laisse un goût étrange, à la fois d'exaltation et de gâchis. Quant à la rencontre entre Khâni et un robot mystérieux, elle est poignante.
Encore une fois, Roger Leloup mêle à merveille science-fiction et humanité dans un volume qui est probablement un des meilleurs de la série.
A l'invitation de son amie Khâni, Yoko prend une sorte de train supraluminique pour se rendre sur Vinéa. Les explications scientifiques sur le dépassement de la vitesse de la lumière sont, disons-le tout net, absolument fantaisistes. Mais cela n'empêche pas l'histoire d'être bien construite.
L'exploration de cette planète meurtrie laisse un goût étrange, à la fois d'exaltation et de gâchis. Quant à la rencontre entre Khâni et un robot mystérieux, elle est poignante.
Encore une fois, Roger Leloup mêle à merveille science-fiction et humanité dans un volume qui est probablement un des meilleurs de la série.