Présentation du conte d'Andersen
Illustration @ Vilhelm Pedersen
Il était une fois, une femme qui désirait un tout petit enfant. Elle rendit visite à une sorcière, afin d’obtenir cet enfant. La sorcière lui donna un grain d’orge, qui une fois planté, donna une tulipe contenant une petite fille, que la femme nomma Poucette, car elle n’était pas plus haute qu’un pouce. Elle dormait dans une coquille de noix.
Un jour, une laide et visqueuse crapaude l’enleva, car elle voulait donner la charmante petite fille en mariage à son affreux fils. Elle emmena Poucette sur une énorme feuille de nénuphar, qui se trouvait sur la rivière, et dont elle ne pouvait s’échapper. Des poissons eurent pitié d’elle et coupèrent la tige du nénuphar, et Poucette put s’éloigner des affreux crapauds.
Elle fut attrapée par un hanneton qui la trouvait jolie. Les femelles hannetons arrivèrent à convaincre le mâle de relâcher Poucette, car elle était laide. Celle-ci se retrouva seule dans une immense forêt. L’hiver arrive, et elle est recueillie par une souris des champs. Elle fait la rencontre de Monsieur Taupe, qui lui montre le corps d’une hirondelle morte gisant dans une galerie.
Bravant sa peur, Poucette lui fit un lit chaud, ce qui ranima l’hirondelle. Celle-ci s’envola au printemps. A l’automne, Poucette doit épouser Monsieur Taupe, mais elle s’enfuit avec l’hirondelle dans un pays très lointain et chaud.
Là-bas, elle s’installa dans une fleur, et fit la rencontre du Roi des Anges des fleurs. Le Roi décida de l’épouser, et Poucette accepta. Les autres Anges lui offrirent des ailes pour qu’elle puisse voler avec eux. Le Roi changea son nom. Désormais, elle s’appelle Maya, et vit heureuse parmi les Anges et les fleurs.
Un jour, une laide et visqueuse crapaude l’enleva, car elle voulait donner la charmante petite fille en mariage à son affreux fils. Elle emmena Poucette sur une énorme feuille de nénuphar, qui se trouvait sur la rivière, et dont elle ne pouvait s’échapper. Des poissons eurent pitié d’elle et coupèrent la tige du nénuphar, et Poucette put s’éloigner des affreux crapauds.
Elle fut attrapée par un hanneton qui la trouvait jolie. Les femelles hannetons arrivèrent à convaincre le mâle de relâcher Poucette, car elle était laide. Celle-ci se retrouva seule dans une immense forêt. L’hiver arrive, et elle est recueillie par une souris des champs. Elle fait la rencontre de Monsieur Taupe, qui lui montre le corps d’une hirondelle morte gisant dans une galerie.
Bravant sa peur, Poucette lui fit un lit chaud, ce qui ranima l’hirondelle. Celle-ci s’envola au printemps. A l’automne, Poucette doit épouser Monsieur Taupe, mais elle s’enfuit avec l’hirondelle dans un pays très lointain et chaud.
Là-bas, elle s’installa dans une fleur, et fit la rencontre du Roi des Anges des fleurs. Le Roi décida de l’épouser, et Poucette accepta. Les autres Anges lui offrirent des ailes pour qu’elle puisse voler avec eux. Le Roi changea son nom. Désormais, elle s’appelle Maya, et vit heureuse parmi les Anges et les fleurs.
"Poucette", dont le titre est "Tommelise" dans la version originale danoise, est un conte de fée qui a été pour la première fois publié dans un petit livret des éditions C. A. Reitzel le 16.12.1836 à Copenhague. "Poucette" est l’histoire d’une minuscule petite fille qui se verra confrontée à des obstacles très au-dessus de sa dimension. Le conte est entièrement de l'invention d'Andersen, et inspiré par son amitié pour Henriette Wulff, qui était toute petite et bossue.
J’ai lu cette histoire quand j’étais petite, et je la lis maintenant à mes filles. Malgré les années passées depuis ma première lecture, j’ai toujours le cœur serré lors de certains passages. C’est un conte qui ne vieillit pas…
J’ai lu cette histoire quand j’étais petite, et je la lis maintenant à mes filles. Malgré les années passées depuis ma première lecture, j’ai toujours le cœur serré lors de certains passages. C’est un conte qui ne vieillit pas…
Note
Les contes d'Andersen sont du domaine public et, de ce fait, peuvent être téléchargés gratuitement en format numérique là où bon vous semble.