Le propriétaire d'une maison découvre, de l'autre côté de la véranda qu'il vient de faire construire, le merveilleux pays des fées (La Véranda). Les esclaves noirs d'un navire marchand se révoltent (Benito Cereno). Par un violent soir d'orage, un mystérieux visiteur vient vanter les vertus du paratonnerre devant ; un narrateur sceptique (Le Marchand de paratonnerres).
Ces trois nouvelles appartiennent au cycle des Piazza Tales que l'auteur de Moby Dick fit paraître dans le Putnam's Monthly Magazine entre 1853 et 1856. Seule la seconde nouvelle, Benito Cereno, appartient à la veine aventureuse dont Melville est coutumier ; mais toutes relèvent d'une autre forme d'aventure : l'écriture. Pour ce romancier qui a cessé de voyager depuis près de dix ans, cela vaut tous les voyages.
Ces trois nouvelles appartiennent au cycle des Piazza Tales que l'auteur de Moby Dick fit paraître dans le Putnam's Monthly Magazine entre 1853 et 1856. Seule la seconde nouvelle, Benito Cereno, appartient à la veine aventureuse dont Melville est coutumier ; mais toutes relèvent d'une autre forme d'aventure : l'écriture. Pour ce romancier qui a cessé de voyager depuis près de dix ans, cela vaut tous les voyages.
Les nouvelles
- Benito Cereno (Benito Cereno, 1855)
- La Véranda (The Piazza, 1856)
- Le Marchand de Paratonnerres (The Lightning-Rod Man, 1854)
Fiche de lecture
(suit...)
Note
Cette très belle gravure d'Erik Desmazières fut une fois l'illustration de couverture de la nouvelle Benito Cereno.
Gravure @ Érik Desmazières