Illustration et quatrième de couverture
Dans la nuit du 2 janvier 1864, le Grafton sombre au large de la Nouvelle-Zélande contre les rochers d’une baie de l’Archipel des Auckland. Les cinq hommes de l'équipage trouvent refuge sur une des îles, inhabitée.
Pendant les vingt mois qu'ils y passent, le second, François-Edouard Raynal, à l’intelligence pratique et à la solide expérience, apparaît comme « le consolateur, le conseiller, le guide, l'ouvrier par excellence de l'infortunée colonie ». Aidé par ses pairs, il construira une maison pour affronter le froid intense de ces contrées, établira une micro société régie par quelques lois, inventera des jeux, fabriquera une forge, socle de leur chantier naval destiné à transformer une chaloupe en navire prêt à affronter le Pacifique... Il fallait bien rentrer !
De retour dans sa patrie, il publie, en 1870, Les Naufragés des Aukland, qui rencontre un très vif succès, au point que pour Simon Leys, qui préface cette édition, tout porte à croire que la lecture de Raynal a inspiré à Jules Verne son roman le plus célèbre, L'Île mystérieuse.
Pendant les vingt mois qu'ils y passent, le second, François-Edouard Raynal, à l’intelligence pratique et à la solide expérience, apparaît comme « le consolateur, le conseiller, le guide, l'ouvrier par excellence de l'infortunée colonie ». Aidé par ses pairs, il construira une maison pour affronter le froid intense de ces contrées, établira une micro société régie par quelques lois, inventera des jeux, fabriquera une forge, socle de leur chantier naval destiné à transformer une chaloupe en navire prêt à affronter le Pacifique... Il fallait bien rentrer !
De retour dans sa patrie, il publie, en 1870, Les Naufragés des Aukland, qui rencontre un très vif succès, au point que pour Simon Leys, qui préface cette édition, tout porte à croire que la lecture de Raynal a inspiré à Jules Verne son roman le plus célèbre, L'Île mystérieuse.