Dans un Paris alternatif, Clémence, médecin légiste fraîchement diplômée, reçoit une offre d'emploi qu'elle ne peut pas refuser. La mission qu’on lui propose : libérer les Arimaspes, ces êtres presque humains aux mystérieux pouvoirs psychiques, de leur double nature. Mais lorsqu'elle s'installe dans la Station de la Butte Montmartre, elle ne se doute pas de ce qu'elle va y trouver...
Fiche de lecture
Clémence Escoffier, jeune médecin légiste se voit offrir par un groupe d'Arimaspes, créatures mythiques pourvues d'un seul oeil comme les cyclopes et cachant le manque par un bandeau, une offre d'emploi si alléchante (gros salaire plus prime de 100 000 euros en cas de réussite de la mission) qu'il lui est impossible de refuser. Elle devra séjourner dans un joli appartement de la station des Arimaspes située à Paris, sur la butte Montmartre. Mais ce que Aiakos Ioannis lui fait découvrir dans un des tiroirs de la morgue la terrorise à un tel point qu'elle veut abandonner avant même d'avoir commencé son travail. Mais on ne quitte pas aussi facilement ce genre de personnes. D'ailleurs qui sont-ils vraiment ? Des êtres supérieurs, élégants et plein de charme ou de simples monstres sans aucun scrupule ?
« Arimaspes » est un court roman ou une longue nouvelle (une novella) sur le thème de la monstruosité, de l'étrange et même de l'horreur, surtout vers la fin. L'héroïne et le lecteur qui s'identifie fort bien à elle oscille en permanence entre un sentiment naturel de répulsion et une attirance un peu étrange voire malsaine.
Alice Pervilhac sait très bien nous faire partager tous les ressentis de Clémence, candidate-cobaye choisie parce qu'elle est sans famille et que personne ne s'inquiétera si elle disparaît. Ainsi le lecteur est-il fixé dès le début de l'histoire. Il y a fort peu de chance que cette sombre et perverse affaire finisse sur un happy end !
L'intrigue est rondement menée, sur un style enlevé et bien rythmé au point qu'il est difficile voire impossible de lâcher la lecture avant la fin. On notera toutefois quelques (rares) expressions malheureuses ou phrases un peu bancales.
La chute est aussi logique que terrifiante. Elle clôt une histoire qui plaira sans nul doute à celles et à ceux qui aiment lire pour se faire peur !
« Arimaspes » est un court roman ou une longue nouvelle (une novella) sur le thème de la monstruosité, de l'étrange et même de l'horreur, surtout vers la fin. L'héroïne et le lecteur qui s'identifie fort bien à elle oscille en permanence entre un sentiment naturel de répulsion et une attirance un peu étrange voire malsaine.
Alice Pervilhac sait très bien nous faire partager tous les ressentis de Clémence, candidate-cobaye choisie parce qu'elle est sans famille et que personne ne s'inquiétera si elle disparaît. Ainsi le lecteur est-il fixé dès le début de l'histoire. Il y a fort peu de chance que cette sombre et perverse affaire finisse sur un happy end !
L'intrigue est rondement menée, sur un style enlevé et bien rythmé au point qu'il est difficile voire impossible de lâcher la lecture avant la fin. On notera toutefois quelques (rares) expressions malheureuses ou phrases un peu bancales.
La chute est aussi logique que terrifiante. Elle clôt une histoire qui plaira sans nul doute à celles et à ceux qui aiment lire pour se faire peur !