Affiche et synopsis
L’US Navy a réuni un groupe de savants pour étudier la résistance humaine. Sous l’autorité du militaire Arthur Nordlund, travaillent des biochimistes, généticiens, biologistes, etc. L’un des scientifiques, Henry Hallson, meurt dans d’étranges circonstances, après avoir laissé entendre qu’il soupçonnait un de ses collègues de posséder des capacités mentales surhumaines. Pour les enquêteurs, les soupçons se tournent vers le biochimiste Jim Tanner. Afin de se disculper, Tanner décide de mener sa propre enquête, en compagnie de sa collègue, la généticienne Margery Lansing. Les morts étranges se succèdent alors dans l’équipe, réduisant le nombre de suspects tout en augmentant le risque que Tanner soit le prochain sur la liste d’un tueur apparemment invincible...
Présentation
Sorti en 1968, ce film, titré « The Power » en V.O., est basé sur le roman du même nom écrit par Frank M. Robinson. Il fut réalisé par Byron Haskin, réalisateur du cultissime "La Guerre des Mondes".
Le contenu de l'oeuvre fut considérablement réduit, supprimant les intrigues secondaires afin de faire tenir l'histoire dans les 2 petites heures d'un long-métrage. On y retrouve plusieurs visages connus du cinéma américain de l'époque, comme George Hamilton ou Suzanne Pleshette, mais le film n'est pas entré dans les mémoires, si ce n'est pour quelques scènes.
Par exemple, l'assassin ne manque pas d'imagination, éliminant ses victimes de diverses manières : dans une centrifugeuse, par des "petits soldats" tirant de vraies balles, en manipulant un feu vert pour le piéton qui est visé, ...
La bande-son offrait aussi l'occasion au spectateur d'entendre que le "méchant" n'était pas loin : on entendait un battement cardiaque qui accélérait au fur et à mesure que le coeur de la victime en faisait autant, ainsi qu'une musique sinistre pour "mettre dans l'ambiance". A noter qu'à un moment donné, on brise "le 4e mur" quand le personnage principal entend soudain la même musique sinistre (alors que seuls les spectateurs devraient l'entendre), faisant croire que l'ennemi approche. Mais c'est là que le héros, soulagé, constate que ce n'est en fait que le début d'un morceau musical qui passe dans le hall où il se trouve!
Le contenu de l'oeuvre fut considérablement réduit, supprimant les intrigues secondaires afin de faire tenir l'histoire dans les 2 petites heures d'un long-métrage. On y retrouve plusieurs visages connus du cinéma américain de l'époque, comme George Hamilton ou Suzanne Pleshette, mais le film n'est pas entré dans les mémoires, si ce n'est pour quelques scènes.
Par exemple, l'assassin ne manque pas d'imagination, éliminant ses victimes de diverses manières : dans une centrifugeuse, par des "petits soldats" tirant de vraies balles, en manipulant un feu vert pour le piéton qui est visé, ...
La bande-son offrait aussi l'occasion au spectateur d'entendre que le "méchant" n'était pas loin : on entendait un battement cardiaque qui accélérait au fur et à mesure que le coeur de la victime en faisait autant, ainsi qu'une musique sinistre pour "mettre dans l'ambiance". A noter qu'à un moment donné, on brise "le 4e mur" quand le personnage principal entend soudain la même musique sinistre (alors que seuls les spectateurs devraient l'entendre), faisant croire que l'ennemi approche. Mais c'est là que le héros, soulagé, constate que ce n'est en fait que le début d'un morceau musical qui passe dans le hall où il se trouve!