Affiche et synopsis
Se réveillant sans aucun souvenir dans une chambre d'hôtel impersonnelle, John Murdoch découvre bientôt qu'il est recherché pour une série de meurtres sadiques. Traqué par l'inspecteur Bumstead, il cherche à retrouver la mémoire et ainsi comprendre qui il est. Il s'enfonce dans un labyrinthe mystérieux où il croise des créatures douées de pouvoirs effrayants. Grâce au docteur Schreber, Murdoch réussit à se remémorer certains détails de son passé trouble...
Présentation
Un homme se réveille dans la baignoire d’une chambre d’hôtel. Il ne se souvient de rien. Pas même de son nom. Soudain, le téléphone sonne. À l’autre bout du fil, une voix lui dit de fuir les lieux : « ils » arrivent. C’est là que l’amnésique remarque un cadavre de femme gisant dans la chambre. Vite, il faut partir sans attendre son reste.
Suivant de maigres pistes, l’homme découvre son nom (John Murdoch). Qu’il est marié. Et qu’il est recherché par la police pour une série de meurtres ! Mais John, évidemment, ne s’en souvient pas. Plus étrange encore, il possède le pouvoir de télékinésie ! Un don bien utile pour fuir : « ils » sont sur le point de l’attraper. « Ils » : un groupe d’étranges individus d’une pâleur morbide et habillés en trench-coats (ils ont dû avoir un prix de groupe !).
Mais pourquoi fait-il nuit en permanence ? À part lui, personne ne semble pourtant s’en formaliser. Quand minuit arrive, tous s’endorment – sauf John. « Ils » en profitent pour réagencer toute la ville grâce au même don de télékinésie que John. L’identité et les souvenirs des (autres) habitants est également modifiée.
John apprend qu’il est originaire d’une ville côtière du nom de Shell Beach. Tout le monde semble connaître cet endroit, mais personne ne sait comment s’y rendre ! Convaincu qu’il peut y trouver les réponses qu’il cherche désespérément, John multiplie les tentatives pour trouver Shell Beach – en vain. Mais, tout bien réfléchi, Shell Beach existe-t-elle ? Et la « cité sombre » où il se trouve bloqué est-elle vraiment une ville ? Qui sont-« ils » ? Rien n’est normal ici. Et si l’anomalie, c’était plutôt John lui-même ?
Suivant de maigres pistes, l’homme découvre son nom (John Murdoch). Qu’il est marié. Et qu’il est recherché par la police pour une série de meurtres ! Mais John, évidemment, ne s’en souvient pas. Plus étrange encore, il possède le pouvoir de télékinésie ! Un don bien utile pour fuir : « ils » sont sur le point de l’attraper. « Ils » : un groupe d’étranges individus d’une pâleur morbide et habillés en trench-coats (ils ont dû avoir un prix de groupe !).
Mais pourquoi fait-il nuit en permanence ? À part lui, personne ne semble pourtant s’en formaliser. Quand minuit arrive, tous s’endorment – sauf John. « Ils » en profitent pour réagencer toute la ville grâce au même don de télékinésie que John. L’identité et les souvenirs des (autres) habitants est également modifiée.
John apprend qu’il est originaire d’une ville côtière du nom de Shell Beach. Tout le monde semble connaître cet endroit, mais personne ne sait comment s’y rendre ! Convaincu qu’il peut y trouver les réponses qu’il cherche désespérément, John multiplie les tentatives pour trouver Shell Beach – en vain. Mais, tout bien réfléchi, Shell Beach existe-t-elle ? Et la « cité sombre » où il se trouve bloqué est-elle vraiment une ville ? Qui sont-« ils » ? Rien n’est normal ici. Et si l’anomalie, c’était plutôt John lui-même ?
Sorti en 1998, Dark City porte bien son nom, puisqu’on le classe parmi les films « (néo-)noirs » de science-fiction ! De peur que le public se perde dans un scénario ambitieux mais obscur (!), les producteurs insistèrent pour qu’on ajoute une voix-off en guise d’introduction à l’histoire.
Pour beaucoup, c’était un mauvais calcul, qui gâche l’œuvre imaginée par le réalisateur (Alex Proyas – Prédictions, The Crow, I, Robot, Gods of Egypt). Une version restaurée, sans la voix off, est sortie en 2008.
S’il rentra tout juste dans ses frais, le long métrage reçut d’excellentes critiques, ainsi que plusieurs prix et nominations (six rien qu’aux Saturn Awards).
Pour beaucoup, c’était un mauvais calcul, qui gâche l’œuvre imaginée par le réalisateur (Alex Proyas – Prédictions, The Crow, I, Robot, Gods of Egypt). Une version restaurée, sans la voix off, est sortie en 2008.
S’il rentra tout juste dans ses frais, le long métrage reçut d’excellentes critiques, ainsi que plusieurs prix et nominations (six rien qu’aux Saturn Awards).