Affiche et synopsis
Modeste employé de banque, Stanley Ipkiss découvre un masque magique qui le transforme en un délirant personnage de cartoon. Doté de super-pouvoirs, il va enfin réaliser ses rêves les plus fous...
Présentation
Stanley Ipkiss est un brave type. Bien trop brave d’ailleurs. Maltraité par sa logeuse et escroqué par son garagiste (là, il n’est pas le seul, sans doute – pardon à tous les garagistes !), il est aussi exploité par son patron, dans l’agence de banque où il travaille. Et quand il tombe sous le charme d’une nouvelle cliente, il ignore encore qu’elle vient, en fait, reconnaître les lieux pour une bande de voleurs !
Un soir, après s’être vu refuser l’entrée du bar à la mode « le Coco Bongo », Stanley erre aux abords du port. Soudain, à la surface de l’eau, il croit apercevoir un corps. Croyant que quelqu’un est en train de se noyer, il plonge sans hésiter. Mais, arrivé à hauteur du corps, il réalise que ce n’est qu’un tas de détritus, surmontés d’un vieux masque en bois. Faute d’avoir pu jouer les héros, Stanley emporte cet étrange objet avant de rejoindre la terre ferme.
De retour chez lui, il se rappelle l’interview d’un psychiatre, comme quoi nous portons tous un masque. Par jeu, il essaie celui qu’il vient de ramener. Mais l’objet fusionne littéralement avec Stanley. En quelques secondes, le jeune homme se transforme – physiquement et mentalement. Le « Mask » vient de naître.
D’une personnalité exubérante et haute en couleurs (à commencer par le visage, vert), le Mask possède également des pouvoirs étonnants, dignes des personnages de dessins animés. Il peut changer d’apparence et de costume (!) à volonté. D’une souplesse « inhumaine », le Mask peut également créer des objets, tels que mitraillette, canard en caoutchouc, etc.
Désireux de changer la vie morne de Stanley, le Mask décide d’abord d’augmenter ses capitaux … en cambriolant sa propre banque ! Le tout en brûlant la politesse aux voleurs qui s’apprêtaient à en faire de même. Ensuite, direction le Coco Bongo, où il se fait remarquer par le patron du bar (qui n’est autre que le commanditaire des voleurs nommés plus haut !) et sa petite amie (la même qui était venue le voir à la banque).
Le lendemain matin, Stanley se réveille en se disant qu’il a fait un bien étrange rêve. Avant de découvrir que sa chambre est remplie de sacs de billets de banque !
Tenté de redevenir le Mask pour profiter de la vie et, surtout, séduire la petite amie du gangster, Stanley va aussi devoir composer avec les malfaiteurs, décidés à récupérer le magot (et le masque), ainsi qu’avec la police qui mène l’enquête sur l’étrange personnage au visage vert.
Librement inspiré de la bande dessinée du même nom, le Mask a été un énorme succès lors de sa sortie, en 1994. Un scénario également taillé sur mesure pour Jim Carrey, habitué aux grimaces et aux films délirants. Mais, en même temps, l’acteur y opère déjà un premier virage, qui se confirmera plus tard avec The Truman Show. En effet, si le Mask est un pur délire, Stanley, lui, est quelqu’un de bien plus modéré. Mais il est vrai que sa personnalité évolue au cours du film au fur et à mesure qu’il prend plus d’assurance et qu’il se rend compte qu’il n’a pas forcément besoin d’un masque pour atteindre ses objectifs.
Un soir, après s’être vu refuser l’entrée du bar à la mode « le Coco Bongo », Stanley erre aux abords du port. Soudain, à la surface de l’eau, il croit apercevoir un corps. Croyant que quelqu’un est en train de se noyer, il plonge sans hésiter. Mais, arrivé à hauteur du corps, il réalise que ce n’est qu’un tas de détritus, surmontés d’un vieux masque en bois. Faute d’avoir pu jouer les héros, Stanley emporte cet étrange objet avant de rejoindre la terre ferme.
De retour chez lui, il se rappelle l’interview d’un psychiatre, comme quoi nous portons tous un masque. Par jeu, il essaie celui qu’il vient de ramener. Mais l’objet fusionne littéralement avec Stanley. En quelques secondes, le jeune homme se transforme – physiquement et mentalement. Le « Mask » vient de naître.
D’une personnalité exubérante et haute en couleurs (à commencer par le visage, vert), le Mask possède également des pouvoirs étonnants, dignes des personnages de dessins animés. Il peut changer d’apparence et de costume (!) à volonté. D’une souplesse « inhumaine », le Mask peut également créer des objets, tels que mitraillette, canard en caoutchouc, etc.
Désireux de changer la vie morne de Stanley, le Mask décide d’abord d’augmenter ses capitaux … en cambriolant sa propre banque ! Le tout en brûlant la politesse aux voleurs qui s’apprêtaient à en faire de même. Ensuite, direction le Coco Bongo, où il se fait remarquer par le patron du bar (qui n’est autre que le commanditaire des voleurs nommés plus haut !) et sa petite amie (la même qui était venue le voir à la banque).
Le lendemain matin, Stanley se réveille en se disant qu’il a fait un bien étrange rêve. Avant de découvrir que sa chambre est remplie de sacs de billets de banque !
Tenté de redevenir le Mask pour profiter de la vie et, surtout, séduire la petite amie du gangster, Stanley va aussi devoir composer avec les malfaiteurs, décidés à récupérer le magot (et le masque), ainsi qu’avec la police qui mène l’enquête sur l’étrange personnage au visage vert.
Librement inspiré de la bande dessinée du même nom, le Mask a été un énorme succès lors de sa sortie, en 1994. Un scénario également taillé sur mesure pour Jim Carrey, habitué aux grimaces et aux films délirants. Mais, en même temps, l’acteur y opère déjà un premier virage, qui se confirmera plus tard avec The Truman Show. En effet, si le Mask est un pur délire, Stanley, lui, est quelqu’un de bien plus modéré. Mais il est vrai que sa personnalité évolue au cours du film au fur et à mesure qu’il prend plus d’assurance et qu’il se rend compte qu’il n’a pas forcément besoin d’un masque pour atteindre ses objectifs.