Synopsis
Mary Morstan et John Watson – dont Sherlock est le témoin – se marient. Lors du dîner, au moment de prendre la parole pour son discours, Sherlock semble troublé. Il entame un long monologue au cours duquel il évoque à la fois son amitié avec John et d’anciennes affaires, à commencer par la récente énigme de Bainbridge : un membre de la garde royale, se disant harcelé par un inconnu, a été retrouvé poignardé dans les douches du palais, pourtant fermées de l’intérieur. L’arme du crime est introuvable. Puis il en vient à l’affaire de l’amoureux éphémère, un homme qui donnait rendez-vous à des femmes pour une soirée unique avant de disparaître. Sherlock conclut que les victimes, qui pensaient avoir dîné avec un fantôme, ont eu affaire à un homme qui usurpait l’identité de célibataires fraîchement décédés...
Présentation
Ca y’est ! John et Mary se marient. Et pour l’occasion, John demande à son meilleur ami, Sherlock, d’être son témoin. Un fait qui ne va pas manquer de pimenter le grand jour, conduisant à des situations incongrues et cocasses lors du banquet.
Cet épisode se déroule durant le mariage de John Watson, et au travers du discours prononcé par son ami Sherlock à son attention lors du banquet, le détective nous conduit à divers flashbacks : des clins d’œil à leur amitié, aux enquêtes les plus bizarres qu’ils ont eu à élucider, mais aussi aux enquêtes non-résolues, à l’enterrement de vie « de garçon » de Watson, et également à toute la préparation du mariage orchestrée par Sherlock lui-même.
Même si parfois le discours de Sherlock manque de tact ou même si le détective s’égare, il finit toujours par se rattraper et recentre le sujet sur son ami, dont il vante le courage, les qualités et la fidèle amitié. D’ailleurs, Sherlock ne manque pas de souligner à quel point le fait que Watson lui ait demandé d’être son témoin l’a touché et laissé sans voix. Il reconnaît également volontiers de lui-même qu’il est – je cite – un véritable « connard », mais que la présence et l’amitié de John ont fait de lui un homme un peu meilleur.
Naturellement, qui dit un mariage avec Sherlock pour témoin, dit aussi une tentative d’assassinat lors des festivités ! Cela ne serait pas drôle autrement…
Une fois l’orage passé, le repas terminé et la soirée bien entamée, Sherlock joue un morceau de violon – qu’il a composé pour l’occasion – pour ses amis John et Mary. Un air sur lequel les tourtereaux vont danser. Puis une fois sa prestation terminée, c’est sur un air disco des années 60-70 « Oh, what a Night » que la soirée se poursuit, et que Sherlock leur souhaite beaucoup de bonheur à tous les trois (d’où peut-être le titre de l’épisode « Le Signe des Trois »), annonçant de ce fait – sans vraiment le faire exprès – à John et Mary qu’ils attendent un heureux événement ! Une nouvelle qui rend les mariés fous de joie, mais en même temps, qui vexe un tantinet John, qui se demande comment Sherlock a réussi à deviner avant lui que sa femme est enceinte ! Mais si on écoute les déductions et observations du détective à ce sujet, une évidence s’impose : élémentaire, mon cher Watson !
Puis, Sherlock ne trouvant pas de cavalière pour danser, s’éclipse discrètement et quitte la fête.
En conclusion, je dirai de cet épisode qu’il est récréatif et que j’ai eu un plaisir fou à le visionner (et pas qu’une fois !). Je me suis bien amusée et j’ai beaucoup ri. C’est un épisode qui sort du cadre traditionnel de la série, mais il passe très bien tout de même, car même si l’humour et la légèreté sont au rendez-vous, les scénaristes ont réussi haut la main à nous présenter un mariage des plus étonnants, un peu comme si on le percevait du regard de Sherlock. Rappelez-vous le film « Forrest Gump », dont les divers points de vue présentés, sont ceux perçus par Forrest. Et bien ici, j’ai l’impression qu’on a fait de même et j’ai trouvé ceci tout à fait intéressant. C'est une perspective que j'ai appréciée. Et en même, bien que récréatif, le style est respectueux de l’excellent travail effectué sur la série et les personnages.
En bref : un régal, excellent !
Même si parfois le discours de Sherlock manque de tact ou même si le détective s’égare, il finit toujours par se rattraper et recentre le sujet sur son ami, dont il vante le courage, les qualités et la fidèle amitié. D’ailleurs, Sherlock ne manque pas de souligner à quel point le fait que Watson lui ait demandé d’être son témoin l’a touché et laissé sans voix. Il reconnaît également volontiers de lui-même qu’il est – je cite – un véritable « connard », mais que la présence et l’amitié de John ont fait de lui un homme un peu meilleur.
Naturellement, qui dit un mariage avec Sherlock pour témoin, dit aussi une tentative d’assassinat lors des festivités ! Cela ne serait pas drôle autrement…
Une fois l’orage passé, le repas terminé et la soirée bien entamée, Sherlock joue un morceau de violon – qu’il a composé pour l’occasion – pour ses amis John et Mary. Un air sur lequel les tourtereaux vont danser. Puis une fois sa prestation terminée, c’est sur un air disco des années 60-70 « Oh, what a Night » que la soirée se poursuit, et que Sherlock leur souhaite beaucoup de bonheur à tous les trois (d’où peut-être le titre de l’épisode « Le Signe des Trois »), annonçant de ce fait – sans vraiment le faire exprès – à John et Mary qu’ils attendent un heureux événement ! Une nouvelle qui rend les mariés fous de joie, mais en même temps, qui vexe un tantinet John, qui se demande comment Sherlock a réussi à deviner avant lui que sa femme est enceinte ! Mais si on écoute les déductions et observations du détective à ce sujet, une évidence s’impose : élémentaire, mon cher Watson !
Puis, Sherlock ne trouvant pas de cavalière pour danser, s’éclipse discrètement et quitte la fête.
En conclusion, je dirai de cet épisode qu’il est récréatif et que j’ai eu un plaisir fou à le visionner (et pas qu’une fois !). Je me suis bien amusée et j’ai beaucoup ri. C’est un épisode qui sort du cadre traditionnel de la série, mais il passe très bien tout de même, car même si l’humour et la légèreté sont au rendez-vous, les scénaristes ont réussi haut la main à nous présenter un mariage des plus étonnants, un peu comme si on le percevait du regard de Sherlock. Rappelez-vous le film « Forrest Gump », dont les divers points de vue présentés, sont ceux perçus par Forrest. Et bien ici, j’ai l’impression qu’on a fait de même et j’ai trouvé ceci tout à fait intéressant. C'est une perspective que j'ai appréciée. Et en même, bien que récréatif, le style est respectueux de l’excellent travail effectué sur la série et les personnages.
En bref : un régal, excellent !
