Affiche et synopsis
Le Dr. Margaret Matheson est une psychologue spécialisée dans l'étude des phénomènes paranormaux. Lorsque le légendaire médium Simon Silver refait surface après 30 ans d'absence, elle met en garde son assistant Tom Buckley. Mais celui-ci est déterminé à découvrir la vérité sur ce mystérieux et charismatique individu...
Présentation
Les histoires ayant pour thème l’activité paranormale ne sont pas du tout ma tasse de thé. Les « esprits es-tu là ? » dans l’obscurité, autour d’une table ronde qui tremble et se soulève : non merci ! Cependant, en voyant le casting (Robert De Niro et Sigourney Weaver), il m’était quand même difficile de passer à côté de ce film pour une simple question de… goût.
Fort heureusement, je constate rapidement que le sujet du film n’est pas la chasse aux esprits, mais plutôt, le fait de débusquer les charlatans qui se font passer pour des médiums ou des voyants. C’est pourquoi le personnage du Dr Margaret Matheson, interprété par Sigourney Weaver, m’a été d’entrée sympathique, puisque c’est son métier. Cette psychologue, spécialisée dans le paranormal, a pour but de démasquer tous les tricheurs et leurs supercheries. Elle est directe et ne mâche pas ses mots, et il semble impossible de la berner ou de la piéger. Elle est accompagnée de Tom, son assistant, dont le rôle va se développer tout au long du film.
Lorsque l’arrivée du célèbre médium Simon Silver (joué par le charismatique Robert de Niro) est annoncée en ville, après 30 ans d’absence sur la scène, c’est l’euphorie parmi la population. En effet, ses « pouvoirs » pourraient bien remettre en cause la science établie. Margaret, que cette venue inquiète, avertit son assistant : cet homme est dangereux ! Elle est pourtant bien incapable de dire s’il est réellement doté de dons ou si, au contraire, c’est juste un puissant manipulateur. La psychologue est donc bien déterminée à percer son « secret », mais un événement tragique va bouleverser le cours de son enquête…
L’histoire de ce thriller fantastique américano-espagnol a capté dès le départ mon attention, peut-être et surtout grâce à son duo, Margaret et Tom, dont les conclusions parfois cyniques sur les affaires - ou devrais-je dire : supercheries ? - examinées m’ont arraché quelques sourires. Margaret Matheson est à Red Lights ce que Dana Scully est à X-Files : un contre-point scientifique et sceptique à ceux qui croient en ces phénomènes inexplicables.
Le scénario est assez rythmé, je ne me suis pas ennuyée un seul instant. Et ce que j’ai bien apprécié, c’est que tout au long du film, on s’interroge : est-ce que Simon Silver bluffe ou pas ? Quel est son rapport avec Margaret ? Comment tout cela va-t-il se terminer ? Des intrigues se profilent et se tissent, et je peux vous dire que chacun de nous, bien calé dans son fauteuil devant la TV, y est allé de ses suppositions. Le virus « Matheson » est contagieux !
La fin est surprenante et détonne un peu avec le tout. On l’appréciera ou pas. Pourtant, à y réfléchir, elle me semble finalement assez logique, mais nous n’étions pas tous du même avis dans la pièce. A mon avis, de la question suivante dépendra l'interprétation - propre à chacun - de la fin : « Jusqu'où voulez-vous y croire ? »....
Fort heureusement, je constate rapidement que le sujet du film n’est pas la chasse aux esprits, mais plutôt, le fait de débusquer les charlatans qui se font passer pour des médiums ou des voyants. C’est pourquoi le personnage du Dr Margaret Matheson, interprété par Sigourney Weaver, m’a été d’entrée sympathique, puisque c’est son métier. Cette psychologue, spécialisée dans le paranormal, a pour but de démasquer tous les tricheurs et leurs supercheries. Elle est directe et ne mâche pas ses mots, et il semble impossible de la berner ou de la piéger. Elle est accompagnée de Tom, son assistant, dont le rôle va se développer tout au long du film.
Lorsque l’arrivée du célèbre médium Simon Silver (joué par le charismatique Robert de Niro) est annoncée en ville, après 30 ans d’absence sur la scène, c’est l’euphorie parmi la population. En effet, ses « pouvoirs » pourraient bien remettre en cause la science établie. Margaret, que cette venue inquiète, avertit son assistant : cet homme est dangereux ! Elle est pourtant bien incapable de dire s’il est réellement doté de dons ou si, au contraire, c’est juste un puissant manipulateur. La psychologue est donc bien déterminée à percer son « secret », mais un événement tragique va bouleverser le cours de son enquête…
L’histoire de ce thriller fantastique américano-espagnol a capté dès le départ mon attention, peut-être et surtout grâce à son duo, Margaret et Tom, dont les conclusions parfois cyniques sur les affaires - ou devrais-je dire : supercheries ? - examinées m’ont arraché quelques sourires. Margaret Matheson est à Red Lights ce que Dana Scully est à X-Files : un contre-point scientifique et sceptique à ceux qui croient en ces phénomènes inexplicables.
Le scénario est assez rythmé, je ne me suis pas ennuyée un seul instant. Et ce que j’ai bien apprécié, c’est que tout au long du film, on s’interroge : est-ce que Simon Silver bluffe ou pas ? Quel est son rapport avec Margaret ? Comment tout cela va-t-il se terminer ? Des intrigues se profilent et se tissent, et je peux vous dire que chacun de nous, bien calé dans son fauteuil devant la TV, y est allé de ses suppositions. Le virus « Matheson » est contagieux !
La fin est surprenante et détonne un peu avec le tout. On l’appréciera ou pas. Pourtant, à y réfléchir, elle me semble finalement assez logique, mais nous n’étions pas tous du même avis dans la pièce. A mon avis, de la question suivante dépendra l'interprétation - propre à chacun - de la fin : « Jusqu'où voulez-vous y croire ? »....