Autre(s) article(s) :
Affiche et synopsis
Le scientifique Bruce Banner cherche désespérément un antidote aux radiations gamma qui ont créé Hulk. Il vit dans l'ombre, toujours amoureux de la belle Betty Ross et parcourt la planète à la recherche d'un remède. La force destructrice de Hulk attire le Général Thunderbolt Ross et son bras droit Blonsky qui rêvent de l'utiliser à des fins militaires. Ils tentent de développer un sérum pour créer des soldats surpuissants. De retour aux Etats-Unis, Bruce Banner se découvre un nouvel ennemi. Après avoir essayé le sérum expérimental, Blonsky est devenu L'Abomination, un monstre incontrôlable dont la force pure est même supérieure à celle de Hulk. Devenu fou, il s'est transformé en plein coeur de New York. Pour sauver la ville de la destruction totale, Bruce Banner va devoir faire appel au monstre qui sommeille en lui...
Présentation
Après avoir testé sur lui-même une expérience visant officiellement à immuniser les humains aux rayons gamma, le professeur Bruce Banner voit la chimie de son corps modifiée. En effet, le général Thunderbolt Ross (le commanditaire du test) lui avait caché le vrai objectif : tenter de reprendre des travaux de « super-soldat » datant de la Seconde Guerre Mondiale.
Le résultat : à chaque fois que son rythme cardiaque dépasse une certaine limite, Banner se transforme en un colosse (vert) capable de tout balayer sur son passage. C’est d’ailleurs ce qui se produit dans son laboratoire, l’obligeant à prendre la fuite.
Se cachant désormais du général Ross déterminé à récupérer Banner pour créer ses super-soldats, le chercheur se trouve au Brésil, où il travaille discrètement dans une usine de limonade. Durant ses temps libres, il apprend à contrôler ses montées d’adrénaline, tandis que le soir, il contacte, anonymement, un chercheur aux USA, pour tenter de trouver une solution pour supprimer ce que Banner considère comme un mal et non comme un pouvoir.
Mais un accident stupide permet à Ross de retrouver sa trace, et Banner n’a d’autre choix que de reprendre la fuite...
Deuxième volet de la franchise « MCU » (Univers Cinématographique Marvel), le film a la particularité de condenser toute une partie de l’histoire dans le générique de début. En effet, celui-ci présente brièvement les circonstances qui ont amené Banner à devenir Hulk, tandis que le film lui-même débute quand le chercheur est déjà au Brésil. Il est vrai que l’histoire rend largement hommage à la série des années 1970-1980 (*), et que les événements qui ont transformé Banner sont archi-connus des fans.
Même s’il a reçu des critiques tout à fait correctes, le film sera loin d’atteindre le même succès qu’Iron Man (dont les entrées en salle ont fait le double que Hulk). Peut-être faut-il y voir la raison pour laquelle le « géant vert » n’a pas eu droit à un second film en solo, au contraire des autres personnages de la franchise.
Le choix de l’acteur principal était tout de même excellent, Edward Norton offrant une même « fragilité » et sensibilité que donnait Bill Bixby au personnage dans la série citée plus haut.
(*) Cameo de Lou Ferrigno, qui incarnait le Hulk, dans la série, et brève apparition de Bill Bixby dans un film qui passe à la télé dans une scène.
Le résultat : à chaque fois que son rythme cardiaque dépasse une certaine limite, Banner se transforme en un colosse (vert) capable de tout balayer sur son passage. C’est d’ailleurs ce qui se produit dans son laboratoire, l’obligeant à prendre la fuite.
Se cachant désormais du général Ross déterminé à récupérer Banner pour créer ses super-soldats, le chercheur se trouve au Brésil, où il travaille discrètement dans une usine de limonade. Durant ses temps libres, il apprend à contrôler ses montées d’adrénaline, tandis que le soir, il contacte, anonymement, un chercheur aux USA, pour tenter de trouver une solution pour supprimer ce que Banner considère comme un mal et non comme un pouvoir.
Mais un accident stupide permet à Ross de retrouver sa trace, et Banner n’a d’autre choix que de reprendre la fuite...
Deuxième volet de la franchise « MCU » (Univers Cinématographique Marvel), le film a la particularité de condenser toute une partie de l’histoire dans le générique de début. En effet, celui-ci présente brièvement les circonstances qui ont amené Banner à devenir Hulk, tandis que le film lui-même débute quand le chercheur est déjà au Brésil. Il est vrai que l’histoire rend largement hommage à la série des années 1970-1980 (*), et que les événements qui ont transformé Banner sont archi-connus des fans.
Même s’il a reçu des critiques tout à fait correctes, le film sera loin d’atteindre le même succès qu’Iron Man (dont les entrées en salle ont fait le double que Hulk). Peut-être faut-il y voir la raison pour laquelle le « géant vert » n’a pas eu droit à un second film en solo, au contraire des autres personnages de la franchise.
Le choix de l’acteur principal était tout de même excellent, Edward Norton offrant une même « fragilité » et sensibilité que donnait Bill Bixby au personnage dans la série citée plus haut.
(*) Cameo de Lou Ferrigno, qui incarnait le Hulk, dans la série, et brève apparition de Bill Bixby dans un film qui passe à la télé dans une scène.