Les poches pleines, les poches vides @ 2024 Blogger de Loire | Illustration de couverture @ Vael Cat
Illustration et quatrième de couverture
Dans un bidonville de Mexico, Inès sert de poche pour des laboratoires pharmaceutiques. Son mari la bat et boirait tout l’argent si elle n'en cachait pas une partie.
Quand son médecin lui apprend qu’elle va devoir arrêter, après un dernier contrat qui lui permettra de prendre sa retraite, son quotidien vole en éclats…
Quand son médecin lui apprend qu’elle va devoir arrêter, après un dernier contrat qui lui permettra de prendre sa retraite, son quotidien vole en éclats…
François Manson a étudié les lettres et l’histoire. Enseignant, il vit en Bretagne avec sa famille et s'investit dans la science-fiction avec passion.
Présentation
Inès, victime, peu au courant des risques qu'elle prend est une victime parfaite pour les multinationales qui se servent d'elle comme de « chair à risques » : c'est-à-dire qu'elle accepte de prendre les risques que personne ne prend, surtout pas ceux qui se servent d'elle comme machine biologique.
Dans sa fuite, elle est capturée à plusieurs reprises, et ne doit sa survie qu'à la guerre déclarée entre les factions, qui tentent de récupérer une poche oubliée, dont on ne sait rien... Et soudain, alors qu'elle a tout quitté, tout perdu, et qu'elle vivote comme serveuse d'un restaurant de Mexico, elle sent un regard sur elle, pas celui d'un prédateur, il n'en a pas l'allure, et là, sur ce domaine, Inès a beaucoup d'expérience...
Un roman court, vif, acéré, où l'action sert de vecteur à une réflexion sur le transhumanisme, car, si les promesses des transhumanistes ressemblent au boniment d'un vendeur de miracle, la réalité fait que cette médecine révolutionnaire ne pourrait profiter qu'à une minorité prête à tuer pour en garder le monopole exclusif. Dès lors, même si l'esprit se permet de douter de l'utilité d'une telle médecine, Inès et sa fuite décident de la diffusion de ce capital biologique inattendu...
Où se vérifie une fois de plus l'adage selon lequel les récits brefs drainent souvent une réflexion forte.
Dans sa fuite, elle est capturée à plusieurs reprises, et ne doit sa survie qu'à la guerre déclarée entre les factions, qui tentent de récupérer une poche oubliée, dont on ne sait rien... Et soudain, alors qu'elle a tout quitté, tout perdu, et qu'elle vivote comme serveuse d'un restaurant de Mexico, elle sent un regard sur elle, pas celui d'un prédateur, il n'en a pas l'allure, et là, sur ce domaine, Inès a beaucoup d'expérience...
Un roman court, vif, acéré, où l'action sert de vecteur à une réflexion sur le transhumanisme, car, si les promesses des transhumanistes ressemblent au boniment d'un vendeur de miracle, la réalité fait que cette médecine révolutionnaire ne pourrait profiter qu'à une minorité prête à tuer pour en garder le monopole exclusif. Dès lors, même si l'esprit se permet de douter de l'utilité d'une telle médecine, Inès et sa fuite décident de la diffusion de ce capital biologique inattendu...
Où se vérifie une fois de plus l'adage selon lequel les récits brefs drainent souvent une réflexion forte.