Affiche et synopsis
Cette histoire se déroule 60 ans avant que la Guerre de l'Anneau ne débute et que l'Anneau ne soit découvert. Le Hobbit est l'histoire de Bilbon Sacquet, oncle de Frodon. Autrefois, Bilbon était un hobbit comme les autres, évitant le danger, l'action, l'aventure et évitant les autres races que les hobbits. Il appréciait le plaisir simple de se sentir bien au chaud dans sa demeure. Mais un soir, treize nains firent leur entrée chez lui, accompagnés du magicien Gandalf le Gris. Ce dernier lui proposa de les suivre pour un long et dangereux voyage vers le Mont Solitaire, où se trouve un trésor gardé par un dragon. Bien que Bilbon se désintéresse dans un premier temps de ce voyage, les nains et Gandalf finissent par réussir à le convaincre de les accompagner. Lors de leur périlleux voyage, ils rencontrent de nombreuses difficultés, et participent à la Bataille des Cinq Armées. Par accident, Bilbon croise la route de la créature nommée Gollum et s'empare de son trésor, un anneau magique qui permet de devenir invisible. Bilbon rentrera chez lui différent, et deviendra un grand ami des elfes. Il écrira ensuite le Livre Rouge, narrant le récit de ce voyage...
Présentation
Pour ceux qui ne le sauraient pas, « le Hobbit » est un « prequel » de la Trilogie du Seigneur des Anneaux. Et tout comme les films de départ, il est réalisé par Peter Jackson. On retrouve d'ailleurs la signature de Jackson à plusieurs reprises. Dès le début, c'est évident. Le premier reproche qu'on pouvait faire à « La Communauté de l'Anneau », à savoir la longueur de la mise en place, se retrouve ici. Il faut près de 30 minutes avant qu'on entre dans le vif du sujet. Pire : si on n’a pas vu la trilogie avant, de nombreux éléments ne seront pas compris, ou sembleront sans intérêt. On ne peut donc pas le considérer comme un film à part. C'est bel et bien une explication.
Les trois films du Seigneur des Anneaux étaient longs, et cette longueur s'expliquait par la longueur des livres d'origine. On ne s'y embêtait donc pas (sauf pendant cette première heure cruciale où il faut s'accrocher). Le livre « Bilbo le Hobbit » fait à peine plus de 300 pages. Et le réalisateur prétend quand même en faire une trilogie de LONGS films, près de 3h pour celui-ci. Je n'ai pas lu les livres, mais fort heureusement mon voisin au cinéma, également un excellent ami, les a tous lus et a pu m'expliquer certaines choses. Par exemple, certains éléments sont repris d'autres ouvrages de cet univers, voire de la trilogie originale. En plus de ça, le réalisateur rallonge la soupe en multipliant et en allongeant les scènes de combat. A certains moments, c'est trop.
Pourtant, le scénario est bien, les acteurs parfaits, les effets spéciaux stupéfiants. C'est un bon film, une excellente adaptation. Alors je ne comprends pas cette obstination de Jackson à vouloir faire durer le plaisir au risque de lasser. C'est vraiment dommage car ce film n'est malheureusement pas au niveau des trois autres.
Les trois films du Seigneur des Anneaux étaient longs, et cette longueur s'expliquait par la longueur des livres d'origine. On ne s'y embêtait donc pas (sauf pendant cette première heure cruciale où il faut s'accrocher). Le livre « Bilbo le Hobbit » fait à peine plus de 300 pages. Et le réalisateur prétend quand même en faire une trilogie de LONGS films, près de 3h pour celui-ci. Je n'ai pas lu les livres, mais fort heureusement mon voisin au cinéma, également un excellent ami, les a tous lus et a pu m'expliquer certaines choses. Par exemple, certains éléments sont repris d'autres ouvrages de cet univers, voire de la trilogie originale. En plus de ça, le réalisateur rallonge la soupe en multipliant et en allongeant les scènes de combat. A certains moments, c'est trop.
Pourtant, le scénario est bien, les acteurs parfaits, les effets spéciaux stupéfiants. C'est un bon film, une excellente adaptation. Alors je ne comprends pas cette obstination de Jackson à vouloir faire durer le plaisir au risque de lasser. C'est vraiment dommage car ce film n'est malheureusement pas au niveau des trois autres.