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Affiche et synopsis
Ce n’est un secret pour personne que le combat le plus rude de Spider-Man est celui qu’il mène contre lui-même en tentant de concilier la vie quotidienne de Peter Parker et les lourdes responsabilités de Spider-Man. Mais Peter Parker va se rendre compte qu’il fait face à un conflit de bien plus grande ampleur. Être Spider-Man, quoi de plus grisant ? Peter Parker trouve son bonheur entre sa vie de héros, bondissant d’un gratte-ciel à l’autre, et les doux moments passés aux côté de Gwen. Mais être Spider-Man a un prix : il est le seul à pouvoir protéger ses concitoyens new-yorkais des abominables méchants qui menacent la ville. Face à Electro, Peter devra affronter un ennemi nettement plus puissant que lui. Au retour de son vieil ami Harry Osborn, il se rend compte que tous ses ennemis ont un point commun : OsCorp.
Présentation
Enfin une adaptation intéressante de Spider-Man ! Dans le premier opus, on posait déjà un Peter Parker possédant du relief. On ressent bien les doutes, les craintes et la colère de ce héros si emblématique, sans doute un des préférés des geeks de la planète.
Avec ce deuxième volet, le réalisateur, bien aidé par l'acteur vedette, a l'occasion d'encore épaissir le personnage. On voit Peter Parker passer de l'euphorie de la célébrité aux affres de l'abattement. Ce Spider-Man là est à la fois humain et jouissif. Je vois bien tous les ados torturés s'y identifier tellement le personnage est bien campé. Evidemment, on n'échappe pas à certains poncifs très américains, mais même la tradition du happy end n'est pas totalement respectée.
Au niveau du scénario, je dois dire que j'ai rarement vu autant de rebondissements dans un film de super-héros. Le fait que les nouveaux ennemis soient issus de son entourage est une idée géniale. Je ne sais pas si elle vient des comics (je ne les ai pas lus) ou si elle est développée pour le film, mais il faut féliciter celui qui l'a trouvée. Il y a là une belle leçon sur la fragilité de tout statut, de toute situation.
Ceci étant dit, n'allez pas penser non plus que c'est un film d'auteur à vocation philosophique. Ca reste un film d'action avec de bons gros effets spéciaux, des combats bien bourrins et des scènes spectaculaires. On y voit Spider-Man bondir d'immeuble en immeuble et parcourir les rues de Manhattan accroché à un fil. Ca remue bien !
En conclusion, c'est un film excellent qui ravira tous les publics, sauf peut-être les plus jeunes trop sensibles.
Avec ce deuxième volet, le réalisateur, bien aidé par l'acteur vedette, a l'occasion d'encore épaissir le personnage. On voit Peter Parker passer de l'euphorie de la célébrité aux affres de l'abattement. Ce Spider-Man là est à la fois humain et jouissif. Je vois bien tous les ados torturés s'y identifier tellement le personnage est bien campé. Evidemment, on n'échappe pas à certains poncifs très américains, mais même la tradition du happy end n'est pas totalement respectée.
Au niveau du scénario, je dois dire que j'ai rarement vu autant de rebondissements dans un film de super-héros. Le fait que les nouveaux ennemis soient issus de son entourage est une idée géniale. Je ne sais pas si elle vient des comics (je ne les ai pas lus) ou si elle est développée pour le film, mais il faut féliciter celui qui l'a trouvée. Il y a là une belle leçon sur la fragilité de tout statut, de toute situation.
Ceci étant dit, n'allez pas penser non plus que c'est un film d'auteur à vocation philosophique. Ca reste un film d'action avec de bons gros effets spéciaux, des combats bien bourrins et des scènes spectaculaires. On y voit Spider-Man bondir d'immeuble en immeuble et parcourir les rues de Manhattan accroché à un fil. Ca remue bien !
En conclusion, c'est un film excellent qui ravira tous les publics, sauf peut-être les plus jeunes trop sensibles.