Jenny Sparks #1 @ 2024 DC Comics
Lorsque Captain Atom se prend pour Dieu, la Justice League se trouve plutôt démunie et doit faire appel à Jenny Sparks, l'esprit du XXème siècle, afin de régler le problème...
Informations
- Comic Book
- Editeur : DC Comics
- Tom King (scénario)
- Jeff Stokes (dessin & couleurs)
NB : Pour l'heure, ce comic book n'est pas encore traduit en français.
- Editeur : DC Comics
- Tom King (scénario)
- Jeff Stokes (dessin & couleurs)
NB : Pour l'heure, ce comic book n'est pas encore traduit en français.
Présentation
J'ai encore du mal avec le rachat des titres Wildstorm comme Authority ou Planetary par DC comics, et l'inclusion aux forceps de leurs personnages dans le moule super-héroïque à l'ancienne.
Ici, Tom King signe le transfert de Jenny Sparks, ancienne Authority, sur le black label de DC, pour une histoire renouant avec son caractère, disons un peu entier, son vilain langage et une manière de gérer les problèmes de mecs en slips pouvant choquer ce bon vieux Superman.
Difficile de mettre à niveau la fée électricité, incarnation du XXème siècle, ne pouvant pas mourir, et des personnages emblématiques comme Batman. D'ailleurs, celui-ci se fait gentiment congédier par Jenny Sparks dès la page 3 et Superman apparaît comme un gros lourdaud, un boyscout incapable de comprendre la problématique d'un Captain Atom devenu fou.
L'histoire est rondement menée avec de très longs discours, des flashbacks et des monologues de Jenny Sparks. Du très bon Tom King, parvenant à nous faire ici de la jonglerie efficace entre ce qui fait vendre auprès du public de DC (Batman, peu importe la qualité du récit) et une approche plus mature, correspondant mieux à des personnages complexes comme Jenny Sparks.
Ici, Tom King signe le transfert de Jenny Sparks, ancienne Authority, sur le black label de DC, pour une histoire renouant avec son caractère, disons un peu entier, son vilain langage et une manière de gérer les problèmes de mecs en slips pouvant choquer ce bon vieux Superman.
Difficile de mettre à niveau la fée électricité, incarnation du XXème siècle, ne pouvant pas mourir, et des personnages emblématiques comme Batman. D'ailleurs, celui-ci se fait gentiment congédier par Jenny Sparks dès la page 3 et Superman apparaît comme un gros lourdaud, un boyscout incapable de comprendre la problématique d'un Captain Atom devenu fou.
L'histoire est rondement menée avec de très longs discours, des flashbacks et des monologues de Jenny Sparks. Du très bon Tom King, parvenant à nous faire ici de la jonglerie efficace entre ce qui fait vendre auprès du public de DC (Batman, peu importe la qualité du récit) et une approche plus mature, correspondant mieux à des personnages complexes comme Jenny Sparks.
