Affiche et synopsis
Cette histoire se déroule dans une petite ville perdue, quelque part en Californie. George Malley est mécanicien. Il ne roule pas sur l'or mais mène une vie calme, entouré de ses voisins et amis. Il est secrètement amoureux de Lace, une jeune femme ayant deux enfants. George est donc un homme ordinaire, pas très malin mais d'une grande gentillesse. Une nuit, alors qu'il est dehors, il aperçoit une lumière dans le ciel. Celle-ci lui tombe dessus et il perd connaissance. A son réveil, certaines choses ont changé : George comprend mieux le monde qui l'entoure. Il comprend enfin d'où vient le lapin qui ruine son potager, il bat le médecin aux échecs, il aide ses amis à réparer différentes choses, il prédit un tremblement de terre et finalement il se découvre des dons de télékinésie. Le gentil George voit sa vie bouleversée, ses relations avec ses amis mises en péril, et surtout il devra faire preuve de patience pour conquérir le coeur de Lace.
Présentation
Ce film nous raconte une belle histoire, et c'est déjà un excellent point. Il n'essaye pas de nous vendre des scènes enrobées dans un scénario, mais une véritable histoire, avec des personnages qui nous touchent. Il ne sacrifie pas au traditionnel happy end, cher aux Américains. On en ressort avec des émotions contradictoires, mais aucune qui mette en question la qualité du film. Cela part d'une bonne idée, qui est bien développée. Je dirais même qu'une base improbable (c'est du fantastique) est développée de manière très probable. Et ça, c'est un tour de force. Le film nous parle des gens, de leurs sentiments, de leurs relations... mais sans tomber dans la guimauve ou dans de la psychologie de comptoir. C'est un film vrai !
C'est aussi un film sobre, que ce soit par ses acteurs, sa réalisation ou ses effets spéciaux. Travolta joue juste. Whitaker est excellent, comme toujours. Duvall est impeccable. Même Kyra Sedgwick, pourtant moins connue, est au niveau de ses compagnons masculins. Notons au passage la présence de David Gallagher, connu depuis pour son rôle de Simon dans "Sept à la Maison". Les effets spéciaux sont limités à ce qui est nécessaire, ce qui est un point essentiel pour moi. La réalisation est au service de l'histoire.
Pourtant, si ce film a été un grand succès, il a aussi été décrié. A part des prix secondaires pour Travolta et Whitaker, il n'a rien gagné malgré un énorme succès commercial. Travolta, qui venait d'être oscarisé pour Pulp Fiction, n'a même pas été nominé. Les critiques venaient principalement de personnes qui trouvaient le scénario et certains éléments trop proches de la doctrine et des pratiques de la scientologie, une religion/secte à laquelle appartient John Travolta. Personnellement, je n'ai rien remarqué qui puisse faire penser à du prosélytisme. Je suis pourtant le premier à râler quand je vois des scènes trop messianiques dans cinéma américain.
A noter, comme cerise sur le gâteau, la très belle chanson d’Eric Clapton : "Change the World", qui fait partie de la bande originale. Une de mes chansons préférées, par un de mes musiciens préférés.
Bref, je trouve que c'est un bon film. Il me touche, il me parle et je le recommande.
C'est aussi un film sobre, que ce soit par ses acteurs, sa réalisation ou ses effets spéciaux. Travolta joue juste. Whitaker est excellent, comme toujours. Duvall est impeccable. Même Kyra Sedgwick, pourtant moins connue, est au niveau de ses compagnons masculins. Notons au passage la présence de David Gallagher, connu depuis pour son rôle de Simon dans "Sept à la Maison". Les effets spéciaux sont limités à ce qui est nécessaire, ce qui est un point essentiel pour moi. La réalisation est au service de l'histoire.
Pourtant, si ce film a été un grand succès, il a aussi été décrié. A part des prix secondaires pour Travolta et Whitaker, il n'a rien gagné malgré un énorme succès commercial. Travolta, qui venait d'être oscarisé pour Pulp Fiction, n'a même pas été nominé. Les critiques venaient principalement de personnes qui trouvaient le scénario et certains éléments trop proches de la doctrine et des pratiques de la scientologie, une religion/secte à laquelle appartient John Travolta. Personnellement, je n'ai rien remarqué qui puisse faire penser à du prosélytisme. Je suis pourtant le premier à râler quand je vois des scènes trop messianiques dans cinéma américain.
A noter, comme cerise sur le gâteau, la très belle chanson d’Eric Clapton : "Change the World", qui fait partie de la bande originale. Une de mes chansons préférées, par un de mes musiciens préférés.
Bref, je trouve que c'est un bon film. Il me touche, il me parle et je le recommande.