Affiche et synopsis
En raison d'une faille temporelle entre le XIVe et le XXIe siècle, des moines magiciens et un gardien qui doit protéger le monde des Aliens se retrouvent réunis. (Amazon Prime)
Présentation
Alienoid est une folie qui se détraque par toutes les exagérations dues à son rythme où tous les enchaînements dramatiques tombent sous le joug soit d'un comique involontaire, soit d'une déconstruction de l'histoire malmenée par une boucle temporelle mal évaluée, et de toutes sortes de choses voulues pour impressionner par un visuel de science-fiction parfois vieillotte, parfois bien vue.
À courir tous les lièvres (les genres) à la fois, le récit peut perdre le spectateur, voire l'irriter. Pour moi, c'est tellement hors-normes (attention spoilers) que l'usage d'utiliser le cerveau humain comme prison d'entités extraterrestres par des gardiens soi-disant protecteurs de l'humanité reste une exploitation incroyable (effroyable ?), foutraque et jamais vue ailleurs. Être, malgré soi, une cellule impénétrable qui renferme un danger est une manière de montrer que le développement d'une production telle que celle-ci - malgré l'inconfort de certains SFX, les époques conçues par le parti pris d'un humour grossier ou où l'action au bas du panier - n'enlève pas l'originalité d'un scénario qui mérite d'exister.
Cette étendue d'essais cinématographiques malgré sa grande Nanardise est un plaisir de tous les instants.
Je pense que je vais aller voir Alienoid : L'Affrontement, sa suite, en ce moment au cinéma. Et dans une salle l'expérience va être incroyable !
Présentation
Alienoid est une folie qui se détraque par toutes les exagérations dues à son rythme où tous les enchaînements dramatiques tombent sous le joug soit d'un comique involontaire, soit d'une déconstruction de l'histoire malmenée par une boucle temporelle mal évaluée, et de toutes sortes de choses voulues pour impressionner par un visuel de science-fiction parfois vieillotte, parfois bien vue.
À courir tous les lièvres (les genres) à la fois, le récit peut perdre le spectateur, voire l'irriter. Pour moi, c'est tellement hors-normes (attention spoilers) que l'usage d'utiliser le cerveau humain comme prison d'entités extraterrestres par des gardiens soi-disant protecteurs de l'humanité reste une exploitation incroyable (effroyable ?), foutraque et jamais vue ailleurs. Être, malgré soi, une cellule impénétrable qui renferme un danger est une manière de montrer que le développement d'une production telle que celle-ci - malgré l'inconfort de certains SFX, les époques conçues par le parti pris d'un humour grossier ou où l'action au bas du panier - n'enlève pas l'originalité d'un scénario qui mérite d'exister.
Cette étendue d'essais cinématographiques malgré sa grande Nanardise est un plaisir de tous les instants.
Je pense que je vais aller voir Alienoid : L'Affrontement, sa suite, en ce moment au cinéma. Et dans une salle l'expérience va être incroyable !
