Affiche et synopsis
Au milieu d'un monde frappé par une étrange épidémie qui détruit progressivement les cinq sens, un cuisinier et une brillante chercheuse tombent amoureux...
Présentation
Une vague de pandémies emporte nos sens les uns après les autres. Comment s'adapter ? Comment vivre ou aimer, en subissant ces pertes terribles ?
Du britannique David Mackenzie ! Avec Ewan McGregor et Eva Green dans les rôles principaux. C’est un film sur l’amour, avec une trame apocalyptique dépeignant l’évolution d’une pandémie privant les humains de leurs sens, l’un après l’autre.
Pour être clair, le film est particulièrement angoissant et les personnages qui tentent de continuer leur existence malgré le fléau n’en sont que plus beaux dans leurs émotions et leurs actes. Concernant Ewan McGregor, rien à redire, c’est Obi Wan, il gère parfaitement la Force, classe et tatouage, what else ? Pour Eva Green, même si je le sais, elle agace, personnellement je l’ai ici trouvée très bien également.
La réalisation est très british, il y a cette façon particulière de traiter les émotions en les traduisant beaucoup en mouvements et expressions, en tout cas sur mon petit cœur de patate, ça marche tout à fait, d’autant plus que l’image et les ambiances sonores soutiennent une réalisation bien ficelée.
Même si sans grand rapport, j’associe toujours cette pandémie au désastre démographique dans Children of Men, alors que ce dernier est réellement plus sombre dans son traitement. Ici, malgré l’extinction graduelle de chaque moyen de perception, il y a comme une forme d’espoir – ou de déni de la réalité – qui amène jusqu’à un final poignant.
Très beau film, et terriblement angoissant également !
Du britannique David Mackenzie ! Avec Ewan McGregor et Eva Green dans les rôles principaux. C’est un film sur l’amour, avec une trame apocalyptique dépeignant l’évolution d’une pandémie privant les humains de leurs sens, l’un après l’autre.
Pour être clair, le film est particulièrement angoissant et les personnages qui tentent de continuer leur existence malgré le fléau n’en sont que plus beaux dans leurs émotions et leurs actes. Concernant Ewan McGregor, rien à redire, c’est Obi Wan, il gère parfaitement la Force, classe et tatouage, what else ? Pour Eva Green, même si je le sais, elle agace, personnellement je l’ai ici trouvée très bien également.
La réalisation est très british, il y a cette façon particulière de traiter les émotions en les traduisant beaucoup en mouvements et expressions, en tout cas sur mon petit cœur de patate, ça marche tout à fait, d’autant plus que l’image et les ambiances sonores soutiennent une réalisation bien ficelée.
Même si sans grand rapport, j’associe toujours cette pandémie au désastre démographique dans Children of Men, alors que ce dernier est réellement plus sombre dans son traitement. Ici, malgré l’extinction graduelle de chaque moyen de perception, il y a comme une forme d’espoir – ou de déni de la réalité – qui amène jusqu’à un final poignant.
Très beau film, et terriblement angoissant également !