Affiche et synopsis
Après la disparition des mers, une jeune pilote courageuse lutte contre les pirates du ciel pour le contrôle de la dernière source d'eau : les nuages.
Genres : animation, science-fiction
Présentation
Avez-vous déjà vu un court-métrage de 10 minutes de SF « post-apo » capable de vous scotcher à votre siège sans aucune parole ?
Moi oui avec The OceanMaker.
Dans ce court métrage animé en 3D, on suit une jeune pilote anonyme dans un monde désertique, mélange de Mad Max et des Têtes Brûlées.
Lucas Martell et ses compères parviennent à vous faire passer de l’angoisse d’un monde sans eau à des combats aériens de qualité, passer de l’admiration à la tristesse. Et ceci sans un mot.
Je pourrais regarder ce film avec une personne dont je ne maîtrise pas la langue : nous parviendrions quand même à communiquer, à échanger quelque chose via ce film.
C’est un superbe exercice d’écriture scénaristique tout en concision : là où certains ouvrages de SF nécessitent des pages et des pages de description/présentation d’univers, The OceanMaker installe et règle son histoire montre en main. C’est comme un plat de chef : tout est parfait, rien n’est à retirer, rien n’est à ajouter.
Ce court-métrage, porté par le Studio DUST, a aussi été pour moi une ouverture vers des productions de ce studio. J’en épluche petit à petit le catalogue, disponible sur YouTube : https://www.youtube.com/@watchdust. Catalogue qui semble rempli de petites pépites méconnues de cet acabit.
Genres : animation, science-fiction
Présentation
Avez-vous déjà vu un court-métrage de 10 minutes de SF « post-apo » capable de vous scotcher à votre siège sans aucune parole ?
Moi oui avec The OceanMaker.
Dans ce court métrage animé en 3D, on suit une jeune pilote anonyme dans un monde désertique, mélange de Mad Max et des Têtes Brûlées.
Lucas Martell et ses compères parviennent à vous faire passer de l’angoisse d’un monde sans eau à des combats aériens de qualité, passer de l’admiration à la tristesse. Et ceci sans un mot.
Je pourrais regarder ce film avec une personne dont je ne maîtrise pas la langue : nous parviendrions quand même à communiquer, à échanger quelque chose via ce film.
C’est un superbe exercice d’écriture scénaristique tout en concision : là où certains ouvrages de SF nécessitent des pages et des pages de description/présentation d’univers, The OceanMaker installe et règle son histoire montre en main. C’est comme un plat de chef : tout est parfait, rien n’est à retirer, rien n’est à ajouter.
Ce court-métrage, porté par le Studio DUST, a aussi été pour moi une ouverture vers des productions de ce studio. J’en épluche petit à petit le catalogue, disponible sur YouTube : https://www.youtube.com/@watchdust. Catalogue qui semble rempli de petites pépites méconnues de cet acabit.