Illustration et quatrième de couverture
Une fois par siècle, Mort parcourt la Terre pour mieux comprendre ceux dont elle recueillera les dernières paroles. Sous la forme d'une jeune mortelle nommée Didi, elle se liera tour à tour avec une adolescente, aidera une sans abri de 250 ans à retrouver son coeur perdu et encouragera une jeune étoile montante de la musique luttant pour dévoiler son orientation sexuelle.
Death
- La vie n'a pas de prix (Death : The High Cost of Living, 1993, Vertigo)
- Le choix d'une vie (Death : The Time of Your Life, 1996, Vertigo)
- Episodes US : The Absolute Death
Scénariste : Neil Gaiman
Dessin : Dave McKean, Mike Dringenberg, Chris Bachalo, Jeff Jones, Mark Buckingham, Malcolm Jones III, Colleen Doran, Philip Craig Russell
Intégrale, 368 pages, Urban Comics
Death
- La vie n'a pas de prix (Death : The High Cost of Living, 1993, Vertigo)
- Le choix d'une vie (Death : The Time of Your Life, 1996, Vertigo)
- Episodes US : The Absolute Death
Scénariste : Neil Gaiman
Dessin : Dave McKean, Mike Dringenberg, Chris Bachalo, Jeff Jones, Mark Buckingham, Malcolm Jones III, Colleen Doran, Philip Craig Russell
Intégrale, 368 pages, Urban Comics
Fiche de lecture
Marrant tout de même comment le trait de Chris Bachalo à cette époque était bien plus supportable que ses cochonneries sur X-Men dans les années 2000. Bon, Death, par Môssieur Neil Gaiman qui, vous commencez à le savoir, est mon auteur préféré. Death donc, grande sœur de Dream, aussi connu sous le nom de Sandman, aussi connu comme LE graphic novel (roman graphique) ayant propulsé le genre dans la cour des grands.
Death, une fois par siècle, va passer une journée parmi les mortels, afin de voir un peu comment ils sont avant d’arriver chez elle. Oui car Death, c’est la Mort, la vraie, mais ici dépeinte comme une personne plutôt originale et faisant parfois des exceptions dans son boulot. Là, nous suivons Death dans sa journée sur Terre, où elle se heurte à quelques fanatiques voulant la vie éternelle ou tout simplement à leur cœur égaré. Elle rencontre également les gens ordinaires et s’attache à un adolescent suicidaire blasé de tout, qui en la compagnie de la Mort va trouver goût à la vie.
Bon, je suis peu objectif, c’est mon dieu livresque tout de même, mais vraiment, c’est une très jolie histoire, très positive et avec un personnage principal particulièrement attachant. Je ne dis pas que c’est Brad dans Meet Joe Black hein, mais le trait de Bachalo fait passer plein de belles émotions et nous rend Death toute croquignolette ! Clairement, les récits sur son frère, Sandman, sont plus profonds, plus fouillés, mais l’espace d’un titre sur la grande soeur, eh bien c’est très agréable, et l’on arrive à la fin de cette journée avec l’envie d’en savoir plus sur cette Mort qui fait vraiment un boulot pas glop du tout.
Death, une fois par siècle, va passer une journée parmi les mortels, afin de voir un peu comment ils sont avant d’arriver chez elle. Oui car Death, c’est la Mort, la vraie, mais ici dépeinte comme une personne plutôt originale et faisant parfois des exceptions dans son boulot. Là, nous suivons Death dans sa journée sur Terre, où elle se heurte à quelques fanatiques voulant la vie éternelle ou tout simplement à leur cœur égaré. Elle rencontre également les gens ordinaires et s’attache à un adolescent suicidaire blasé de tout, qui en la compagnie de la Mort va trouver goût à la vie.
Bon, je suis peu objectif, c’est mon dieu livresque tout de même, mais vraiment, c’est une très jolie histoire, très positive et avec un personnage principal particulièrement attachant. Je ne dis pas que c’est Brad dans Meet Joe Black hein, mais le trait de Bachalo fait passer plein de belles émotions et nous rend Death toute croquignolette ! Clairement, les récits sur son frère, Sandman, sont plus profonds, plus fouillés, mais l’espace d’un titre sur la grande soeur, eh bien c’est très agréable, et l’on arrive à la fin de cette journée avec l’envie d’en savoir plus sur cette Mort qui fait vraiment un boulot pas glop du tout.