Asteroid City est une ville minuscule, en plein désert, dans le sud-ouest des États-Unis. Nous sommes en 1955. Le site est surtout célèbre pour son gigantesque cratère de météorite et son observatoire astronomique à proximité. Ce week-end, les militaires et les astronomes accueillent cinq enfants surdoués, distingués pour leurs créations scientifiques, afin qu’ils présentent leurs inventions. À quelques kilomètres de là, par-delà les collines, on aperçoit des champignons atomiques provoqués par des essais nucléaires.
Présentation
Le dernier Wes Anderson en date, dont l'action se situe cette fois-ci dans la ville fictive d'Asteroid City car une météorite a formé un cratère, nous propose comme à son habitude un casting à rallonge, plein de têtes et de talents reconnaissables, autour d'une double histoire : celle d'un concours scientifique à destination de jeunes talents, et une pièce de théâtre sur l'origine de la ville.
Comme de bien entendu avec ce réalisateur, nous avons des enchaînements de situations loufoques, incongrues, avec même l'introduction du fantastique.
Bon, petit problème à mon goût, cela fait quelques films que le réalisateur donne l'impression de tourner un peu en rond et, si l'histoire continue à nous surprendre, nous commençons vraiment à remarquer la même formule, revenant sans cesse.
Alors, Asteroid City mauvais film ?
Non pas du tout. Cependant, il est clairement moins accessible, par son rythme très lent essentiellement, qu'un Grand Budapest Hotel par exemple. Cela confine ici à la caricature de cinéma d'art et d'essai hermétique.
Comme de bien entendu avec ce réalisateur, nous avons des enchaînements de situations loufoques, incongrues, avec même l'introduction du fantastique.
Bon, petit problème à mon goût, cela fait quelques films que le réalisateur donne l'impression de tourner un peu en rond et, si l'histoire continue à nous surprendre, nous commençons vraiment à remarquer la même formule, revenant sans cesse.
Alors, Asteroid City mauvais film ?
Non pas du tout. Cependant, il est clairement moins accessible, par son rythme très lent essentiellement, qu'un Grand Budapest Hotel par exemple. Cela confine ici à la caricature de cinéma d'art et d'essai hermétique.