Affiche et synopsis
Que feriez-vous si on vous proposait de vivre éternellement ? Damian Hale, un richissime homme d’affaire new yorkais atteint d’une maladie incurable, se voit proposer une opération révolutionnaire par le mystérieux groupe Phénix : transférer son esprit dans un corps de substitution, « une enveloppe vide », un nouveau corps jeune et athlétique pour prolonger sa vie. Comment résister à une telle proposition ? Damian Hale procède au transfert et redécouvre les joies de la jeunesse, du luxe et des femmes dans son nouveau corps. Jusqu’au jour où Damian découvre un terrible secret sur l’opération. Un secret pour lequel Phénix est prêt à tuer.
Présentation
Damian Hale (Ben Kingsley) est condamné. Rongé par le cancer, ce puissant homme d’affaires new-yorkais n’en a plus que pour quelques mois à vivre – tout au plus. Alors qu’il a réussi une carrière exemplaire, Damian ne peut se vanter d’en avoir fait de même avec sa vie. La meilleure preuve, c’est sa fille, Claire, avec laquelle il est brouillé depuis de nombreuses années.
Damian trouve une carte de visite d’un laboratoire, avec un commentaire : « Ils peuvent t’aider. ». Ignorant qui lui a laissé ce mot, mais n’ayant plus rien à perdre, il fait la connaissance du responsable du laboratoire, le Dr. Albright. Celui-ci lui propose une solution révolutionnaire : la Mue. Il s’agit rien moins que de transférer son esprit dans un nouveau corps créé en laboratoire !
Alors que son état ne fait que de se dégrader, Damian décide d’accepter l’offre d’Albright. L’opération réussit parfaitement, et Damian débute une nouvelle vie sous une autre identité (Ryan Reynolds) se faisant de nombreux amis, et accumulant les conquêtes féminines.
Mais oubliant un jour de prendre le médicament prescrit par Albright pour assurer l’adaptation de son esprit à ce nouveau corps, Damian est sujet à d’étranges hallucinations. Simple confusion de son esprit, qui doit encore s’habituer au système neurologique qu’il habite, selon le médecin. Mais ces visions avaient l’air si réelles – au point que Damian en vient à se demander si Albright lui a bien dit toute la vérité…
Soyons honnêtes : « Self/less » (« Renaissances », en français) n’a rien d’un chef-d’œuvre et ne fait pas non plus preuve de beaucoup d’originalité. L’intrigue, elle, est cousue de fil blanc. Mais l’ayant vu après avoir lu des critiques, souvent fort négatives, j’ai finalement plutôt apprécié ces 2 heures devant le grand écran. Mais je ne compte pas non plus le revoir !
Il est dommage que les scénaristes aient largement privilégié l’action, alors qu’il y avait tout de même pas mal de choses à développer sur la psychologie du personnage et sur ce que vit un septuagénaire en se retrouvant dans un corps de trentenaire.
Financé par les mêmes producteurs que « Looper », ce long-métrage est à classer parmi les fiascos (« box office bomb »), ses entrées en salle ne couvrant que la moitié de son budget.
« Self/less », réalisé par Tarsem Singh, sorti en 2015, mais tourné dès 2013 (principalement à la Nouvelle-Orléans), a aussi pâti de la fermeture de la compagnie FilmDistrict, qui aurait dû se charger de le distribuer aux États-Unis.
En résumé, si cette analyse ne vous a pas dissuadé de voir le voir, contentez-vous de louer le DVD.
Damian trouve une carte de visite d’un laboratoire, avec un commentaire : « Ils peuvent t’aider. ». Ignorant qui lui a laissé ce mot, mais n’ayant plus rien à perdre, il fait la connaissance du responsable du laboratoire, le Dr. Albright. Celui-ci lui propose une solution révolutionnaire : la Mue. Il s’agit rien moins que de transférer son esprit dans un nouveau corps créé en laboratoire !
Alors que son état ne fait que de se dégrader, Damian décide d’accepter l’offre d’Albright. L’opération réussit parfaitement, et Damian débute une nouvelle vie sous une autre identité (Ryan Reynolds) se faisant de nombreux amis, et accumulant les conquêtes féminines.
Mais oubliant un jour de prendre le médicament prescrit par Albright pour assurer l’adaptation de son esprit à ce nouveau corps, Damian est sujet à d’étranges hallucinations. Simple confusion de son esprit, qui doit encore s’habituer au système neurologique qu’il habite, selon le médecin. Mais ces visions avaient l’air si réelles – au point que Damian en vient à se demander si Albright lui a bien dit toute la vérité…
Soyons honnêtes : « Self/less » (« Renaissances », en français) n’a rien d’un chef-d’œuvre et ne fait pas non plus preuve de beaucoup d’originalité. L’intrigue, elle, est cousue de fil blanc. Mais l’ayant vu après avoir lu des critiques, souvent fort négatives, j’ai finalement plutôt apprécié ces 2 heures devant le grand écran. Mais je ne compte pas non plus le revoir !
Il est dommage que les scénaristes aient largement privilégié l’action, alors qu’il y avait tout de même pas mal de choses à développer sur la psychologie du personnage et sur ce que vit un septuagénaire en se retrouvant dans un corps de trentenaire.
Financé par les mêmes producteurs que « Looper », ce long-métrage est à classer parmi les fiascos (« box office bomb »), ses entrées en salle ne couvrant que la moitié de son budget.
« Self/less », réalisé par Tarsem Singh, sorti en 2015, mais tourné dès 2013 (principalement à la Nouvelle-Orléans), a aussi pâti de la fermeture de la compagnie FilmDistrict, qui aurait dû se charger de le distribuer aux États-Unis.
En résumé, si cette analyse ne vous a pas dissuadé de voir le voir, contentez-vous de louer le DVD.
