Affiche et synopsis
Angleterre, 1963. Stephen Hawking est un brillant étudiant en cosmologie à l'université de Cambridge. Un soir, alors qu'il regarde les étoiles aux côtés de Jane Wilde dont il est éperdument amoureux, il se retrouve paralysé, incapable de se relever. Atteint de la maladie de Charcot, le diagnostic révèle qu'il ne lui reste que deux ans à vivre. Il se lance dans une recherche acharnée sur la création de l'univers avec une soif de vivre décuplée.
Présentation
Angleterre, 1963. Stephen Hawking a 21 ans et c’est un brillant étudiant en cosmologie à l'université de Cambridge. Le soir de son anniversaire, alors qu’il est couché dans l’herbe et qu'il regarde les étoiles en compagnie de Jane Wilde, une étudiante dont il est amoureux, il ne peut plus se relever. Paralysé, il est emmené à l’hôpital et subit toute une batterie de tests. Le verdict est lourd : atteint de la maladie de Charcot, le diagnostic révèle qu'il ne lui reste que deux ans à vivre. Stephen Hawking se fixe alors l’objectif de finir sa thèse avant de mourir. Mais il lui faut encore trouver le sujet de celle-ci. Et c’est en poursuivant les travaux d’Albert Einstein sur la théorie de la relativité qu’une géniale illumination lui viendra à l’esprit.
En alternance à l’histoire du jeune physicien à l’université de Cambridge, il y a des scènes se déroulant en 1978, avec les physiciens Arno Penzias et Robert Wilson, interviewés dans un studio radio et sur le point d’aller chercher leur prix Nobel pour – on va le comprendre petit à petit – leur découverte du rayonnement thermique cosmologique.
Je n’irai pas par quatre chemins : ce film est EXCELLENT !
Voici le récit subtil et instructif d’un jeune homme à l’intelligence hors du commun, qu’une maladie handicape progressivement et de manière irréversible, qui se démène assidûment pour une reconnaissance scientifique. L’histoire des débuts de Stephen Hawking en tant que physicien est passionnante et émotionnellement forte. Quel personnage ce Hawking ! Il est brillant.
Stephen Hawking est remarquablement interprété par l’acteur Benedict Cumberbatch. C’est si bien joué, qu’on croit vraiment qu’il est Hawking. Dans le rôle du physicien Arno Penzias on retrouve l’acteur Michael Brandon (Dempsey, de « Mission Casse-cou ») qui nous livre lui-aussi une jolie prestation. Quant à l’actrice Lisa Dillon, elle apporte de la sensibilité et du cœur à cette histoire par le biais de son personnage de Jane Wilde, des émotions qui font défaut au personnage de Stephen Hawking. En effet, le scénario ne prévoit pas que le personnage s’exprime sur sa maladie ou ses sentiments à l’égard de sa future femme.
Ce film m’a tellement plu que je l’ai vu deux fois en très peu de temps. En réalité, les notions (mathématiques, physiques) abordées sont fascinantes, mais pas forcément à la portée de tout le monde. C’est pourquoi par curiosité, entre deux visionnages, je me suis documentée davantage sur la théorie de la relativité, le Big Bang, la gravité quantique et les trous noirs, pour mieux appréhender et comprendre l’ampleur du génie d’Hawking.
Ce film m’a également donné l’envie d’en apprendre plus sur la vie de ce physicien et pourquoi pas à l’occasion de me procurer son ouvrage « Une brève Histoire du Temps » (1988).
En conclusion, la passion n’a pas de limites et c’est bien là tout le propos de ce film. A voir absolument !
En alternance à l’histoire du jeune physicien à l’université de Cambridge, il y a des scènes se déroulant en 1978, avec les physiciens Arno Penzias et Robert Wilson, interviewés dans un studio radio et sur le point d’aller chercher leur prix Nobel pour – on va le comprendre petit à petit – leur découverte du rayonnement thermique cosmologique.
Je n’irai pas par quatre chemins : ce film est EXCELLENT !
Voici le récit subtil et instructif d’un jeune homme à l’intelligence hors du commun, qu’une maladie handicape progressivement et de manière irréversible, qui se démène assidûment pour une reconnaissance scientifique. L’histoire des débuts de Stephen Hawking en tant que physicien est passionnante et émotionnellement forte. Quel personnage ce Hawking ! Il est brillant.
Stephen Hawking est remarquablement interprété par l’acteur Benedict Cumberbatch. C’est si bien joué, qu’on croit vraiment qu’il est Hawking. Dans le rôle du physicien Arno Penzias on retrouve l’acteur Michael Brandon (Dempsey, de « Mission Casse-cou ») qui nous livre lui-aussi une jolie prestation. Quant à l’actrice Lisa Dillon, elle apporte de la sensibilité et du cœur à cette histoire par le biais de son personnage de Jane Wilde, des émotions qui font défaut au personnage de Stephen Hawking. En effet, le scénario ne prévoit pas que le personnage s’exprime sur sa maladie ou ses sentiments à l’égard de sa future femme.
Ce film m’a tellement plu que je l’ai vu deux fois en très peu de temps. En réalité, les notions (mathématiques, physiques) abordées sont fascinantes, mais pas forcément à la portée de tout le monde. C’est pourquoi par curiosité, entre deux visionnages, je me suis documentée davantage sur la théorie de la relativité, le Big Bang, la gravité quantique et les trous noirs, pour mieux appréhender et comprendre l’ampleur du génie d’Hawking.
Ce film m’a également donné l’envie d’en apprendre plus sur la vie de ce physicien et pourquoi pas à l’occasion de me procurer son ouvrage « Une brève Histoire du Temps » (1988).
En conclusion, la passion n’a pas de limites et c’est bien là tout le propos de ce film. A voir absolument !
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