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Affiche et synopsis
Être un adolescent afro-américain à Brooklyn n’est pas facile. Lorsqu’il essaye de s’intégrer dans son nouveau collège, Miles Morales se découvre des pouvoirs extraordinaires après s’être fait mordre par une araignée radioactive.
En attendant que son empire prenne plus d’ampleur, le plus grand criminel de la ville du nom du « Caïd » va créer un accélérateur de particules nucléaires ouvrant un passage vers des dimensions parallèles. Leur route va se croiser.
En attendant que son empire prenne plus d’ampleur, le plus grand criminel de la ville du nom du « Caïd » va créer un accélérateur de particules nucléaires ouvrant un passage vers des dimensions parallèles. Leur route va se croiser.
Présentation
Primé par l'Oscar du meilleur film d'animation en 2019, Spider-Man : New Generation est avant tout une entreprise de réappropriation du mythe.
L'honneur et le respect de remodeler l'esprit adolescent du comics originel atteint son but. Seule l'animation pouvait sauver un projet d'une telle envergure, et à travers un scénario regroupant toutes les possibilités caractéristiques définissant le super-héros par l'introduction d'autres points de vue.
C'est ce méchant, "Le Caïd", qui va réunir tous les éléments attractifs à ce que chaque référence stylistique du personnage créé par Stan Lee soit représentée. Ça sera par l'intersection de ces chemins croisés, causée par la réunion dimensionnelle de la machine que l'adversaire emblématique de "l'araignée" a fait fabriquer.
L'intrigue aboutira à un patchwork aux teintes vives dont chaque couleur contribuera à la particularité physique et psychologique des versions alternatives de Spiderman. De cette alchimie, cette fluidité picturale originale, naîtra une symbiose malgré une narration somme toute classique.
C'est malin, grâce à une combinaison stylistique et graphique de haut niveau, ce film d'animation est une grande réussite.
En prenant le risque d'y mêler l'art du pop’art à la technologie actuelle, le sentier tracé n'était pas gagné, et pourtant, le sentiment d'une fluidité évidente et d'un humour vivifiant, transforme l'action en une énergie positive de tous les instants.
Sans temps morts, on suit cette aventure avec beaucoup de plaisir.
L'honneur et le respect de remodeler l'esprit adolescent du comics originel atteint son but. Seule l'animation pouvait sauver un projet d'une telle envergure, et à travers un scénario regroupant toutes les possibilités caractéristiques définissant le super-héros par l'introduction d'autres points de vue.
C'est ce méchant, "Le Caïd", qui va réunir tous les éléments attractifs à ce que chaque référence stylistique du personnage créé par Stan Lee soit représentée. Ça sera par l'intersection de ces chemins croisés, causée par la réunion dimensionnelle de la machine que l'adversaire emblématique de "l'araignée" a fait fabriquer.
L'intrigue aboutira à un patchwork aux teintes vives dont chaque couleur contribuera à la particularité physique et psychologique des versions alternatives de Spiderman. De cette alchimie, cette fluidité picturale originale, naîtra une symbiose malgré une narration somme toute classique.
C'est malin, grâce à une combinaison stylistique et graphique de haut niveau, ce film d'animation est une grande réussite.
En prenant le risque d'y mêler l'art du pop’art à la technologie actuelle, le sentier tracé n'était pas gagné, et pourtant, le sentiment d'une fluidité évidente et d'un humour vivifiant, transforme l'action en une énergie positive de tous les instants.
Sans temps morts, on suit cette aventure avec beaucoup de plaisir.
