Affiche et synopsis
Abby, une mystérieuse fille de 12 ans, vient d'emménager dans l'appartement à côté de celui où vit Owen. Lui est marginal, il vit seul avec sa mère, et est constamment martyrisé par les garçons de sa classe. Dans son isolement, il s'attache à sa nouvelle voisine qu'il trouve si différente des autres personnes qu'il connaît. Alors que l'arrivée d'Abby dans le quartier coïncide avec une série de meurtres inexplicables et de disparitions mystérieuses, Owen comprend que l'innocente jeune fille est un vampire.
Présentation
Los Alamos, Nouveau-Mexique, mars 1983.
Owen, 12 ans, est le souffre-douleur d’une bande d’élèves de son école. Chétif, timide, solitaire, il est la victime idéale pour ces Iâches qui s’en prennent à plus faible qu’eux. Inutile d’en parler à sa mère: en plein divorce, celle-ci ne lui accorde presqu’aucune attention.
Après avoir été malmené une fois de plus, Owen s’achète un minuscule canif, dont il espère que la seule vue suffira à convaincre ses tortionnaires de le laisser tranquille. Alors qu’un soir, il mime ce qu’il fera lors d’une prochaine agression, Owen est surpris par Abby, une adolescente qui vient d’emménager avec son père dans l’appartement voisin.
Abby est un peu bizarre : elle ne sort que la nuit, ne va pas à l’école et se promène pieds nus dehors malgré la neige. Mais, rapidement, les deux adolescents se lient d’amitié, et la nouvelle venue devient la confidente du jeune garçon.
Sans doute enhardi par l’amitié de sa nouvelle voisine, Owen ose, pour la première fois, répliquer à l’un de ses tyrans qu’il frappe violemment à l’aide d’un stick de hockey sur glace, lors d’une sortie de classe. Mais cette altercation passe quasi inaperçue car, au même moment, un cri retentit ailleurs parmi les élèves : on vient de découvrir un cadavre dans la neige, entièrement vidé de son sang. Il s’agit là d’un meurtre parmi plusieurs autres qui se sont récemment déroulés dans la région.
Un peu plus tard, après l’avoir invitée à entrer chez lui, Owen propose à Abby de symboliser leur amitié par un pacte de sang. Mais lorsqu’il s’entaille le doigt et lui demande d’en faire de même, la seule vue du sang la perturbe considérablement.
Le jeune garçon découvre alors la véritable nature de son amie…
Owen, 12 ans, est le souffre-douleur d’une bande d’élèves de son école. Chétif, timide, solitaire, il est la victime idéale pour ces Iâches qui s’en prennent à plus faible qu’eux. Inutile d’en parler à sa mère: en plein divorce, celle-ci ne lui accorde presqu’aucune attention.
Après avoir été malmené une fois de plus, Owen s’achète un minuscule canif, dont il espère que la seule vue suffira à convaincre ses tortionnaires de le laisser tranquille. Alors qu’un soir, il mime ce qu’il fera lors d’une prochaine agression, Owen est surpris par Abby, une adolescente qui vient d’emménager avec son père dans l’appartement voisin.
Abby est un peu bizarre : elle ne sort que la nuit, ne va pas à l’école et se promène pieds nus dehors malgré la neige. Mais, rapidement, les deux adolescents se lient d’amitié, et la nouvelle venue devient la confidente du jeune garçon.
Sans doute enhardi par l’amitié de sa nouvelle voisine, Owen ose, pour la première fois, répliquer à l’un de ses tyrans qu’il frappe violemment à l’aide d’un stick de hockey sur glace, lors d’une sortie de classe. Mais cette altercation passe quasi inaperçue car, au même moment, un cri retentit ailleurs parmi les élèves : on vient de découvrir un cadavre dans la neige, entièrement vidé de son sang. Il s’agit là d’un meurtre parmi plusieurs autres qui se sont récemment déroulés dans la région.
Un peu plus tard, après l’avoir invitée à entrer chez lui, Owen propose à Abby de symboliser leur amitié par un pacte de sang. Mais lorsqu’il s’entaille le doigt et lui demande d’en faire de même, la seule vue du sang la perturbe considérablement.
Le jeune garçon découvre alors la véritable nature de son amie…
Remake américain d’un film suédois (lui-même tiré d’un roman à succès de même origine), « Let me in » est d’abord un film de vampire. Mais c’est aussi l’histoire d’une amitié pas comme les autres, entre deux « exclus » de la société, et une critique du manichéisme du bien et du mal.
L’ambiance est lourde, mais on se prend d’affection pour la jeune Abby, parfaitement interprétée par Chloë Moretz, qui dégage de l’innocence malgré ses actes. Son personnage est une victime qui, bien que ne résistant pas toujours à la tentation, est surtout condamnée à tuer pour se nourrir.
Réalisé par Matt Reeves, à qui l’on doit La Planète des Singes : l’Affrontement, le film a été largement applaudi par la critique, ainsi que par Stephen King (l’un des maîtres du Fantastique) et par John Ajvide Lindqvist, l’auteur du roman qui a inspiré le film. Il a également été récompensé et nominé à de nombreux prix. A elle seule, Chloë Moretz a raflé la moitié des récompenses remportées par le film.
Malgré cela, les entrées dans les salles n’ont pas été glorieuses, avec environ 24 millions de dollars, pour un budget estimé à 20 millions.
L’ambiance est lourde, mais on se prend d’affection pour la jeune Abby, parfaitement interprétée par Chloë Moretz, qui dégage de l’innocence malgré ses actes. Son personnage est une victime qui, bien que ne résistant pas toujours à la tentation, est surtout condamnée à tuer pour se nourrir.
Réalisé par Matt Reeves, à qui l’on doit La Planète des Singes : l’Affrontement, le film a été largement applaudi par la critique, ainsi que par Stephen King (l’un des maîtres du Fantastique) et par John Ajvide Lindqvist, l’auteur du roman qui a inspiré le film. Il a également été récompensé et nominé à de nombreux prix. A elle seule, Chloë Moretz a raflé la moitié des récompenses remportées par le film.
Malgré cela, les entrées dans les salles n’ont pas été glorieuses, avec environ 24 millions de dollars, pour un budget estimé à 20 millions.
