Affiche et synopsis
Suite au crash de leur vaisseau, des voyageurs d'horizons divers et un tueur sauvage se retrouvent coincés sur une planète qui ne semble jamais voir la nuit sauf à l'occasion d'une rare éclipse qui laisse surgir des créatures sanguinaires...
Présentation
« Une étoile filante ! Vite, faites un vœu ! » Les occupants du Hunter-Gratzner auraient sans doute fait le vœu de ne pas la voir de si près ! En fait d’étoile filante, c’était une comète non-répertoriée. La rencontre endommage gravement le vaisseau, tuant son capitaine au passage. En perdition, il n’évite la destruction totale que de justesse, grâce à la pilote, Carolyn, qui parvient à atteindre la surface de la planète la plus proche.
L’arrivée n’en est pas moins catastrophique : seule une bonne dizaine des 40 passagers survit au crash. Parmi eux, des pèlerins, un antiquaire, des colons, un chasseur de primes et son prisonnier, Riddick.
Heureusement, l’air est respirable et il ne fait jamais nuit, car la planète fait partie d’un système à trois étoiles. Les survivants se mettent à explorer les lieux et découvrent un camp abandonné, près d’un puits. Ils ne manqueront donc pas d’eau. Mais où sont passés les géologues qui occupaient le camp ?
Mais soudain, un des survivants disparaît sans trace. Tout le monde soupçonne le seul malfaiteur présent : Riddick. Il faut dire que ce dernier a un CV de criminel bien rempli. Mais, pour une fois, il n’y est pour rien.
En cherchant le corps du disparu, un autre membre du petit groupe échappe de toute justesse au véritable coupable : des créatures sanguinaires, vivant dans des tunnels souterrains. Heureusement, elles ne supportent pas la lumière. Tant que l’on reste dans la lumière, on ne risque donc rien.
Et de la lumière, il y en a partout sur ce monde, baigné en permanence par ses trois soleils. Sauf s’il devait se produire une éclipse. Manque de pot, voilà qu’il y en a une qui débute… et qui semble devoir durer un bon bout de temps.
Sans lumière, ni moyen de quitter la planète, les derniers survivants vont devoir s’entraider. Et miser sur le moins probable allié : Riddick, qui a la particularité de voir dans le noir comme en plein jour.
L’arrivée n’en est pas moins catastrophique : seule une bonne dizaine des 40 passagers survit au crash. Parmi eux, des pèlerins, un antiquaire, des colons, un chasseur de primes et son prisonnier, Riddick.
Heureusement, l’air est respirable et il ne fait jamais nuit, car la planète fait partie d’un système à trois étoiles. Les survivants se mettent à explorer les lieux et découvrent un camp abandonné, près d’un puits. Ils ne manqueront donc pas d’eau. Mais où sont passés les géologues qui occupaient le camp ?
Mais soudain, un des survivants disparaît sans trace. Tout le monde soupçonne le seul malfaiteur présent : Riddick. Il faut dire que ce dernier a un CV de criminel bien rempli. Mais, pour une fois, il n’y est pour rien.
En cherchant le corps du disparu, un autre membre du petit groupe échappe de toute justesse au véritable coupable : des créatures sanguinaires, vivant dans des tunnels souterrains. Heureusement, elles ne supportent pas la lumière. Tant que l’on reste dans la lumière, on ne risque donc rien.
Et de la lumière, il y en a partout sur ce monde, baigné en permanence par ses trois soleils. Sauf s’il devait se produire une éclipse. Manque de pot, voilà qu’il y en a une qui débute… et qui semble devoir durer un bon bout de temps.
Sans lumière, ni moyen de quitter la planète, les derniers survivants vont devoir s’entraider. Et miser sur le moins probable allié : Riddick, qui a la particularité de voir dans le noir comme en plein jour.
Mélangeant Science-fiction et Horreur, le scénario tient plutôt de la série B « survitaminée ». Avec un budget modeste (23 millions USD), le succès ne semblait d’abord pas au rendez-vous. Mais sur le long terme, il rentra largement dans ses frais (53 millions USD à travers le monde). Il généra aussi un « culte », largement grâce à l’anti-héros incarné par Vin Diesel. « Riddick » allait d’ailleurs revenir à l’écran par la suite, via deux films (« Les Chroniques de Riddick » et « Riddick », aux budgets plus conséquents mais avec des succès inégaux), des jeux vidéos, séries télé...