Trois tireurs armés jusqu’aux dents lâchés dans un « environnement » public aléatoire délimité.
Un but : abattre le plus de personnes possible.
Une promesse : un énorme paquet de fric pour celui qui quitte les lieux indemne.
Si l’une des « cibles » met hors d’état de nuire l’un des tireurs et survit, une part du pactole lui échoit. Des règles simplissimes, et des dizaines de drones qui filment le tout pour le plus grand bonheur de millions de spectateurs hystérisés, d’annonceurs aux anges et de John McDean, producteur et chef d’orchestre de Vigilance, le show TV qui a résolu le problème des tueries de masses aux États-Unis…
Un but : abattre le plus de personnes possible.
Une promesse : un énorme paquet de fric pour celui qui quitte les lieux indemne.
Si l’une des « cibles » met hors d’état de nuire l’un des tireurs et survit, une part du pactole lui échoit. Des règles simplissimes, et des dizaines de drones qui filment le tout pour le plus grand bonheur de millions de spectateurs hystérisés, d’annonceurs aux anges et de John McDean, producteur et chef d’orchestre de Vigilance, le show TV qui a résolu le problème des tueries de masses aux États-Unis…
Fiche de lecture
L’Amérique brûle. De ses choix politiques, de sa population vieillissante, de ses peurs.
Dans Vigilance de Robert Jackson Bennet, c’est l’Amérique fantasmée de Donald Trump que nous retrouvons. L’Amérique des winners, blanche, masculine et armée.
Une dystopie glaçante, réelle qui vous coupe le souffle tant l’histoire vous saisit à la gorge !
Le rythme est soutenu (pas de temps mort, sans mauvais jeu de mots), la fin magistrale ! Une lecture coup de poing qui vous ouvre un peu plus l’esprit.
En conclusion : encore une excellente novella de la collection Une Heure Lumière du Bélial’
PS : à lire conjointement avec l’excellent article de Barry C. Lynn paru dans le dernier @americamook, sur les GAFA, les nouveaux maîtres du monde.
Dans Vigilance de Robert Jackson Bennet, c’est l’Amérique fantasmée de Donald Trump que nous retrouvons. L’Amérique des winners, blanche, masculine et armée.
Une dystopie glaçante, réelle qui vous coupe le souffle tant l’histoire vous saisit à la gorge !
Le rythme est soutenu (pas de temps mort, sans mauvais jeu de mots), la fin magistrale ! Une lecture coup de poing qui vous ouvre un peu plus l’esprit.
En conclusion : encore une excellente novella de la collection Une Heure Lumière du Bélial’
PS : à lire conjointement avec l’excellent article de Barry C. Lynn paru dans le dernier @americamook, sur les GAFA, les nouveaux maîtres du monde.