Affiche et synopsis
En une journée, la petite ville de Silverton est dévastée par une multitude de tornades sans précédent. Les habitants sont désormais à la merci de ces cyclones ravageurs et meurtriers, alors même que les météorologues annoncent que le pire est à venir…
Source : AlloCiné (allocine.fr)
Source : AlloCiné (allocine.fr)
Présentation
Une nuit, dans la ville de Silverton aux USA, quatre jeunes gens font une virée en voiture. Le temps se gâte et un violent orage éclate, lorsque soudain, un entonnoir nuageux se forme, donnant naissance à une tornade qui les ramasse sur son passage… Le ton est donné.
Quelques jours plus tard, nous voici sur la route en présence d’une équipe de chasseurs de tornades au volant d’une voiture blindée hightech tout spécialement conçue pour filmer et mesurer ces phénomènes météorologiques et plus particulièrement, l’œil du cyclone. Ils sont accompagnés par une météorologue qui, à bord de son van, leur indique en continu quelle direction prendre pour se rapprocher au plus près des potentiels tornades à se manifester. Cap sur Silverton.
En parallèle, dans cette ville, nous assistons à la remise des diplômes de fin d’étude dans une école, lorsque rapidement le temps se dégrade. Le ciel vire au noir. Les étudiants et leur directeur courent se réfugier dans leur lycée. Dehors, il pleut des cordes, les rafales de vents sont de plus en plus fortes, puis une tornade se forme et frappe le bâtiment. Tout est ravagé.
Par la force des choses, les chasseurs de tornades, la météorologue et le directeur de l’école et ses deux enfants vont tous converger vers un même endroit de la ville et donc, être amenés à faire connaissance. Alors qu’ils font bravement face aux éléments déchaînés, ce qu’ils apprennent grâce à la météorologue, c’est que cette catastrophe n’est qu’un début, parce que quelque chose d’une ampleur gargantuesque se prépare et va frapper…
***
Réalisé par Steven Quale avec dans les rôles principaux - entre autres - Richard Armitage, Sarah Wayne Callies et Matt Walsh, Black Storm est un film qui surfe sur la vague Twister (1996), sans pour autant arriver à l’égaler. Selon mes goûts en matière de films catastrophe, alors que Twister est au top en matière d’histoires de chasseurs de tornades, je dirais de celui-ci qu’il est dans la moyenne. Ni bon, ni mauvais, bien au contraire…
Les personnages sont assez insipides et caricaturaux. Mais associés les uns aux autres, ils font preuve d’un bel élan de solidarité et de courage, ce qui les rend plus crédibles. Quant aux deux ploucs qui survivent à tout malgré leur comportement insensé, ils m'ont beaucoup amusée.
Le scénario ne casse pas la barraque (enfin si, grâce à ses tornades), il est un peu cucul la praline par moments. Mais c’est ok.
En revanche, et à mon avis, le point fort de ce film réside dans la manière dont s’est filmé, c’est-à-dire avec les caméras épaules, mais aussi avec celles des Smartphones. Ainsi, on a l’impression de suivre un reportage en direct, ce qui confère beaucoup de réalisme à la situation. On sent bien la tension qui règne, le danger immédiat auquel sont exposés les divers protagonistes.
Et puis, qui dit « film catastrophe », dit « effets spéciaux ». Et là, il faut le dire : ils sont spec-ta-cu-laires ! Petit conseil : prévoyez un peigne, parce que ça ébouriffe et arrimez-vous bien à votre fauteuil, parce que ça arrache !
Au final, Black Storm n’est pas un film mémorable, néanmoins, avec ses qualités et ses défauts, il se laisse agréablement suivre. A visualiser en mode « neurones off » pour profiter de son aspect sensationnel, car avec ce film décoiffant, vous en aurez pour votre argent en matière de sensations fortes !
Quelques jours plus tard, nous voici sur la route en présence d’une équipe de chasseurs de tornades au volant d’une voiture blindée hightech tout spécialement conçue pour filmer et mesurer ces phénomènes météorologiques et plus particulièrement, l’œil du cyclone. Ils sont accompagnés par une météorologue qui, à bord de son van, leur indique en continu quelle direction prendre pour se rapprocher au plus près des potentiels tornades à se manifester. Cap sur Silverton.
En parallèle, dans cette ville, nous assistons à la remise des diplômes de fin d’étude dans une école, lorsque rapidement le temps se dégrade. Le ciel vire au noir. Les étudiants et leur directeur courent se réfugier dans leur lycée. Dehors, il pleut des cordes, les rafales de vents sont de plus en plus fortes, puis une tornade se forme et frappe le bâtiment. Tout est ravagé.
Par la force des choses, les chasseurs de tornades, la météorologue et le directeur de l’école et ses deux enfants vont tous converger vers un même endroit de la ville et donc, être amenés à faire connaissance. Alors qu’ils font bravement face aux éléments déchaînés, ce qu’ils apprennent grâce à la météorologue, c’est que cette catastrophe n’est qu’un début, parce que quelque chose d’une ampleur gargantuesque se prépare et va frapper…
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Réalisé par Steven Quale avec dans les rôles principaux - entre autres - Richard Armitage, Sarah Wayne Callies et Matt Walsh, Black Storm est un film qui surfe sur la vague Twister (1996), sans pour autant arriver à l’égaler. Selon mes goûts en matière de films catastrophe, alors que Twister est au top en matière d’histoires de chasseurs de tornades, je dirais de celui-ci qu’il est dans la moyenne. Ni bon, ni mauvais, bien au contraire…
Les personnages sont assez insipides et caricaturaux. Mais associés les uns aux autres, ils font preuve d’un bel élan de solidarité et de courage, ce qui les rend plus crédibles. Quant aux deux ploucs qui survivent à tout malgré leur comportement insensé, ils m'ont beaucoup amusée.
Le scénario ne casse pas la barraque (enfin si, grâce à ses tornades), il est un peu cucul la praline par moments. Mais c’est ok.
En revanche, et à mon avis, le point fort de ce film réside dans la manière dont s’est filmé, c’est-à-dire avec les caméras épaules, mais aussi avec celles des Smartphones. Ainsi, on a l’impression de suivre un reportage en direct, ce qui confère beaucoup de réalisme à la situation. On sent bien la tension qui règne, le danger immédiat auquel sont exposés les divers protagonistes.
Et puis, qui dit « film catastrophe », dit « effets spéciaux ». Et là, il faut le dire : ils sont spec-ta-cu-laires ! Petit conseil : prévoyez un peigne, parce que ça ébouriffe et arrimez-vous bien à votre fauteuil, parce que ça arrache !
Au final, Black Storm n’est pas un film mémorable, néanmoins, avec ses qualités et ses défauts, il se laisse agréablement suivre. A visualiser en mode « neurones off » pour profiter de son aspect sensationnel, car avec ce film décoiffant, vous en aurez pour votre argent en matière de sensations fortes !
