Affiche et synopsis
Que pourraient bien penser les extra-terrestres s'ils pouvaient nous observer ?
Nos amis les Terriens est précisément un film extra-terrestre sur l'étude de nos cités et de nos comportements. Deux couples "tests" sont tout particulièrement étudiés...
Source : AlloCiné
Nos amis les Terriens est précisément un film extra-terrestre sur l'étude de nos cités et de nos comportements. Deux couples "tests" sont tout particulièrement étudiés...
Source : AlloCiné
Le livre : Nos Amis les Humains @ 2023 Albin Michel | Illustration de couverture @ Didier Graffet
Présentation
Mettons les choses au clair :
Si vous détestez Werber, fuyez !
Si vous vous attendiez à une guerre entre humains et extraterrestres, fuyez !
Si vous vous attendiez à une histoire de savants fous, fuyez !
Paris, début du XXI ème siècle. Un homme et une femme, partant faire de l’exercice en forêt de Fontainebleau, chacun de leur côté. Ils ne se connaissent pas. Leurs conjoints non plus. Nos sportifs disparaissent sans donner de nouvelles. Et petit à petit d’autres personnages disparaissent également.
Tous ont été kidnappés à fin d’études par des extraterrestres qu’on ne verra jamais. Ils ne sont qu’une voix off (celle de Pierre Arditi).
Le film suit les aventures des « kidnappés » et de leurs conjoints respectifs demeurés seuls.
Ces aventures sont commentées par un chercheur extraterrestre curieux des mœurs, de l’anatomie et de la culture des humains ? Ceux-ci peuvent-ils être dressés pour un spectacle, voire respectés comme des égaux ?
Tourné en reprenant les codes d’un documentaire animalier, « Nos amis les Terriens » interroge notre rapport aux autres, aux animaux ainsi que les fondements de notre société contemporaine.
Des objets et concepts aussi diversifiés que la télécommande, la voiture, la cage à hamsters ou la boîte de nuit sont analysés, soumis à hypothèses de la part de la voix off.
Si on peut critiquer la vision parfois caricaturale de certains personnages (notamment « le syndicaliste », incarné par l’humoriste Sellig), ou le public homogène « testé » (des trentenaires urbains de la classe moyenne parisienne), ce film d’une heure et demie est une bouffée d’oxygène comme il en manque.
Limité du fait de son petit budget sans aucun effets spéciaux (ou si peu) « Nos amis les Terriens » mériterait une nouvelle version, bien plus longue, et adoptant une perspective comparative entre différentes sociétés humaines (à la façon du documentaire « Bébés » de Thomas Balmès qui met en parallèle la vie de quatre bébés, nés respectivement en Mongolie, aux Etats-Unis, au Japon et en Namibie).
Même si à mon sens, rien ne vaut la lecture du livre presque éponyme « Nos amis les Humains » de Bernard Werber dont le film est adapté.
Si vous détestez Werber, fuyez !
Si vous vous attendiez à une guerre entre humains et extraterrestres, fuyez !
Si vous vous attendiez à une histoire de savants fous, fuyez !
Paris, début du XXI ème siècle. Un homme et une femme, partant faire de l’exercice en forêt de Fontainebleau, chacun de leur côté. Ils ne se connaissent pas. Leurs conjoints non plus. Nos sportifs disparaissent sans donner de nouvelles. Et petit à petit d’autres personnages disparaissent également.
Tous ont été kidnappés à fin d’études par des extraterrestres qu’on ne verra jamais. Ils ne sont qu’une voix off (celle de Pierre Arditi).
Le film suit les aventures des « kidnappés » et de leurs conjoints respectifs demeurés seuls.
Ces aventures sont commentées par un chercheur extraterrestre curieux des mœurs, de l’anatomie et de la culture des humains ? Ceux-ci peuvent-ils être dressés pour un spectacle, voire respectés comme des égaux ?
Tourné en reprenant les codes d’un documentaire animalier, « Nos amis les Terriens » interroge notre rapport aux autres, aux animaux ainsi que les fondements de notre société contemporaine.
Des objets et concepts aussi diversifiés que la télécommande, la voiture, la cage à hamsters ou la boîte de nuit sont analysés, soumis à hypothèses de la part de la voix off.
Si on peut critiquer la vision parfois caricaturale de certains personnages (notamment « le syndicaliste », incarné par l’humoriste Sellig), ou le public homogène « testé » (des trentenaires urbains de la classe moyenne parisienne), ce film d’une heure et demie est une bouffée d’oxygène comme il en manque.
Limité du fait de son petit budget sans aucun effets spéciaux (ou si peu) « Nos amis les Terriens » mériterait une nouvelle version, bien plus longue, et adoptant une perspective comparative entre différentes sociétés humaines (à la façon du documentaire « Bébés » de Thomas Balmès qui met en parallèle la vie de quatre bébés, nés respectivement en Mongolie, aux Etats-Unis, au Japon et en Namibie).
Même si à mon sens, rien ne vaut la lecture du livre presque éponyme « Nos amis les Humains » de Bernard Werber dont le film est adapté.