Affiche et synopsis
Captain America : First Avenger nous plonge dans les premières années de l’univers Marvel. Steve Rogers, frêle et timide, se porte volontaire pour participer à un programme expérimental qui va le transformer en un Super Soldat connu sous le nom de Captain America. Allié à Bucky Barnes et Peggy Carter, il sera confronté à la diabolique organisation HYDRA dirigée par le redoutable Red Skull.
Présentation
Nous sommes en 1943, dans le New Jersey. Steve Rogers rêve de rejoindre l’armée pour libérer l’Europe, mais les chances du jeune homme sont aussi minces que sa carrure…
Malgré les refus successifs, il ne perd pourtant pas espoir. Et il a raison d’y croire : la chance semble enfin lui sourire quand un médecin du nom de Abraham Erskine le remarque lors d’une énième tentative, et lui propose de rejoindre la SSR ou « Strategic Scientific Reserve » (Section Scientifique de Réserve). L’objectif de cette unité ? Créer des « super-soldats », capable de donner la victoire aux Alliés.
Rogers n’en reste pas moins le candidat le moins convaincant de son unité aux yeux du Colonel Chester Phillips, en charge de la SSR. Mais malgré les réserves de l’Etat-Major à son égard, Erskine porte son choix sur Rogers pour tester son sérum « super-soldat ». L’expérience est un succès, mais un espion s’est glissé parmi les invités et tue Erskine, qui emporte ainsi le secret de sa formule dans la tombe. Rogers est donc l’unique super-soldat dont disposent les alliés. Pas de quoi crier victoire…
Le projet « super-soldat » est enterré, tandis que l’on refuse à Steve Rogers d’aller s’exposer sur le front : s’il y a une quelconque chance de reprendre le projet, ce sera en analysant le sang et la physiologie du jeune homme. Il accepte donc l’offre d’un homme politique d’animer des spectacles destinés à lever des fonds pour soutenir l’effort de guerre, ainsi que des films de propagande.
Alors qu’il est en tournée en Europe, Rogers apprend que l’unité dont fait partie Bucky, son meilleur ami, a été faite prisonnière par Hydra, l'unité scientifique secrète du 3e Reich. À la tête d’Hydra se trouve Johann Schmidt, pour qui Erskine avait été obligé de travailler avant de fuir l’Europe. Schmidt, d’ailleurs, porte les stigmates d’un essai prématuré du sérum « super-soldat ». Ce n’est pas pour rien qu’il est surnommé le Crâne Rouge…
Courant seul au secours de son ami, Steve Rogers parvient à libérer les soldats, tout en constatant que Schmidt dispose d’un arsenal largement supérieur aux autres armées – y compris celle de l’Allemagne nazie. « Captain America » – comme on le surnomme – aura besoin de bien plus que sa (super-)force pour l’emporter…
Pour cela, il peut compter sur Bucky et plusieurs soldats qu’il vient de libérer, ainsi que le Colonel Chester Phillips (désormais convaincu de l’apport du « Captain ») et Peggy Carter, officier détachée de l’armée britannique, qui n’est pas insensible au charme du héros. La fine équipe se met alors à traquer les bases d’Hydra en Europe, avant que le « Crâne Rouge » ne lance son arsenal à la conquête du monde …
Avec des avis largement positifs, « Captain America » est une belle réussite, offrant un regard quelque peu nostalgique sur le genre des superhéros tel qu’on l’imaginait autrefois (sans pour cela tomber dans les travers de cette époque-là). On n’en est d’ailleurs guère surpris quand on sait que la réalisation a été confiée à Joe Johnston, à qui l’on devait « The Rocketeer », autre exemple de super-héros « à l’ancienne ».
Tourné en grande partie en Angleterre (pour les scènes d’époque), le film permet à Chris Evans de trouver « son » personnage de comics, après un premier contact avec Marvel lors de deux films « Fantastic 4 » qui ne resteront pas dans les annales. Il est entouré de « grosses pointures », comme Tommy Lee Jones, Hugo Weaving et Stanley Tucci.
Parmi les effets spéciaux, il y a le changement de carrure de l’acteur principal, dont le corps a été « rétréci » pour donner l’allure chétive de Steve Rogers au début du film. Si techniquement, c’était relativement facile (les FX permettent tellement de choses aujourd’hui), le plus compliqué était pour les autres acteurs, qui devaient constamment regarder sensiblement plus bas que le visage de Chris Evans pour tenir compte de l’image finale !
Côté scénario, l’histoire ouvre plusieurs pistes pour la suite de la franchise, comme le Tesseract (source d’énergie aliène des armes d’Hydra) ou Stark Industries (avec la présence d’Howard Stark, père de Tony et fondateur du S.H.I.E.L.D.).
A noter aussi l’excellente bande son due à Alan Silvestri, ainsi que la très brève apparition de Jenna-Louise Coleman, qui incarne par ailleurs Clara Oswald, la compagne du Docteur !
Malgré les refus successifs, il ne perd pourtant pas espoir. Et il a raison d’y croire : la chance semble enfin lui sourire quand un médecin du nom de Abraham Erskine le remarque lors d’une énième tentative, et lui propose de rejoindre la SSR ou « Strategic Scientific Reserve » (Section Scientifique de Réserve). L’objectif de cette unité ? Créer des « super-soldats », capable de donner la victoire aux Alliés.
Rogers n’en reste pas moins le candidat le moins convaincant de son unité aux yeux du Colonel Chester Phillips, en charge de la SSR. Mais malgré les réserves de l’Etat-Major à son égard, Erskine porte son choix sur Rogers pour tester son sérum « super-soldat ». L’expérience est un succès, mais un espion s’est glissé parmi les invités et tue Erskine, qui emporte ainsi le secret de sa formule dans la tombe. Rogers est donc l’unique super-soldat dont disposent les alliés. Pas de quoi crier victoire…
Le projet « super-soldat » est enterré, tandis que l’on refuse à Steve Rogers d’aller s’exposer sur le front : s’il y a une quelconque chance de reprendre le projet, ce sera en analysant le sang et la physiologie du jeune homme. Il accepte donc l’offre d’un homme politique d’animer des spectacles destinés à lever des fonds pour soutenir l’effort de guerre, ainsi que des films de propagande.
Alors qu’il est en tournée en Europe, Rogers apprend que l’unité dont fait partie Bucky, son meilleur ami, a été faite prisonnière par Hydra, l'unité scientifique secrète du 3e Reich. À la tête d’Hydra se trouve Johann Schmidt, pour qui Erskine avait été obligé de travailler avant de fuir l’Europe. Schmidt, d’ailleurs, porte les stigmates d’un essai prématuré du sérum « super-soldat ». Ce n’est pas pour rien qu’il est surnommé le Crâne Rouge…
Courant seul au secours de son ami, Steve Rogers parvient à libérer les soldats, tout en constatant que Schmidt dispose d’un arsenal largement supérieur aux autres armées – y compris celle de l’Allemagne nazie. « Captain America » – comme on le surnomme – aura besoin de bien plus que sa (super-)force pour l’emporter…
Pour cela, il peut compter sur Bucky et plusieurs soldats qu’il vient de libérer, ainsi que le Colonel Chester Phillips (désormais convaincu de l’apport du « Captain ») et Peggy Carter, officier détachée de l’armée britannique, qui n’est pas insensible au charme du héros. La fine équipe se met alors à traquer les bases d’Hydra en Europe, avant que le « Crâne Rouge » ne lance son arsenal à la conquête du monde …
Avec des avis largement positifs, « Captain America » est une belle réussite, offrant un regard quelque peu nostalgique sur le genre des superhéros tel qu’on l’imaginait autrefois (sans pour cela tomber dans les travers de cette époque-là). On n’en est d’ailleurs guère surpris quand on sait que la réalisation a été confiée à Joe Johnston, à qui l’on devait « The Rocketeer », autre exemple de super-héros « à l’ancienne ».
Tourné en grande partie en Angleterre (pour les scènes d’époque), le film permet à Chris Evans de trouver « son » personnage de comics, après un premier contact avec Marvel lors de deux films « Fantastic 4 » qui ne resteront pas dans les annales. Il est entouré de « grosses pointures », comme Tommy Lee Jones, Hugo Weaving et Stanley Tucci.
Parmi les effets spéciaux, il y a le changement de carrure de l’acteur principal, dont le corps a été « rétréci » pour donner l’allure chétive de Steve Rogers au début du film. Si techniquement, c’était relativement facile (les FX permettent tellement de choses aujourd’hui), le plus compliqué était pour les autres acteurs, qui devaient constamment regarder sensiblement plus bas que le visage de Chris Evans pour tenir compte de l’image finale !
Côté scénario, l’histoire ouvre plusieurs pistes pour la suite de la franchise, comme le Tesseract (source d’énergie aliène des armes d’Hydra) ou Stark Industries (avec la présence d’Howard Stark, père de Tony et fondateur du S.H.I.E.L.D.).
A noter aussi l’excellente bande son due à Alan Silvestri, ainsi que la très brève apparition de Jenna-Louise Coleman, qui incarne par ailleurs Clara Oswald, la compagne du Docteur !