Affiche et synopsis
Lorsqu'Abraham Lincoln découvre que des vampires assoiffés de sang se préparent à envahir le pays, il jure de les éliminer les uns après les autres, à coups de hache. C'est alors que se révèle un chasseur hors pair, menant une guerre secrète sans précédent, avant même de devenir l'illustre figure de la guerre de Sécession.
Présentation
Tout jeune, Abraham Lincoln démontre déjà un intérêt pour l’égalité de ses semblables. Mal lui en prend : pour avoir défendu un jeune Noir contre un esclavagiste, il provoque le renvoi de son père, travailleur dans un champ de coton. Le soir, Abraham voit Jack Barts, l’ex-patron de son père entrer dans leur maison et agresser sa mère. Cette dernière meurt peu de temps après, soi-disant victime d’un empoisonnement. Neuf ans plus tard, Abraham tente de se venger de Barts, mais il a la désagréable surprise de découvrir que celui-ci est un vampire, ne devant la vie sauve qu’à Henry Sturgess, qui devient son mentor.
Au bout de plusieurs années, Abraham Lincoln parvient enfin à tuer Barts, mais ce dernier lui révèle alors que Sturgess est également un « buveur de sang ». Ce dernier avoue : devenu vampire il y a bien longtemps, il ne peut tuer ses semblables, mais il a trouvé la parade, en formant des hommes comme Abraham pour s’en charger et tenter d’éliminer le « vampire alpha », Adam, propriétaire d’une plantation à la Nouvelle-Orléans.
Alors que, déçu par le mensonge de Sturgess, Abraham décide d’abandonner cette guerre contre les vampires, les événements le rattrapent quand il apprend qu’Adam a l’intention de transformer les Etats-Unis en une Nation habitée uniquement de « buveurs de sang ». Le combat prend une autre dimension, d’autant que les vampires entretiennent l’esclavagisme, les esclaves leur servent de nourriture !
Devenu Président des Etats-Unis, Abraham Lincoln se lance dans une guerre sans merci, luttant contre les Etats sécessionnistes du Sud, alliés aux buveurs de sang.
Au bout de plusieurs années, Abraham Lincoln parvient enfin à tuer Barts, mais ce dernier lui révèle alors que Sturgess est également un « buveur de sang ». Ce dernier avoue : devenu vampire il y a bien longtemps, il ne peut tuer ses semblables, mais il a trouvé la parade, en formant des hommes comme Abraham pour s’en charger et tenter d’éliminer le « vampire alpha », Adam, propriétaire d’une plantation à la Nouvelle-Orléans.
Alors que, déçu par le mensonge de Sturgess, Abraham décide d’abandonner cette guerre contre les vampires, les événements le rattrapent quand il apprend qu’Adam a l’intention de transformer les Etats-Unis en une Nation habitée uniquement de « buveurs de sang ». Le combat prend une autre dimension, d’autant que les vampires entretiennent l’esclavagisme, les esclaves leur servent de nourriture !
Devenu Président des Etats-Unis, Abraham Lincoln se lance dans une guerre sans merci, luttant contre les Etats sécessionnistes du Sud, alliés aux buveurs de sang.
S’il aborde l’histoire sous un angle inhabituel, on ne peut pas dire que le film ait convaincu les critiques, généralement peu favorables (35% seulement sur Rotten Tomatoes, par ex.). Les effets spéciaux sont pauvres, les acteurs manquent de charisme, … Le journal « Le Monde » écrit, par exemple : « Ce film est voué à être rangé dans la case ignominieuse du spectacle pur, abrutissant et gratuit. »
Sur le plan des performances en salles, le résultat n’est pas mauvais pourtant, avec 116 millions de dollars (pour un budget de près de 70 tout de même).
A noter, d’autre part, que la maison de production « The Asylum », spécialisée dans la récupération de titres des succès en salles, a aussi sorti, au même moment « Abraham Lincoln, tueur de zombies » (eh oui !). Ce dernier film fut tout aussi descendu en flammes par la critique (là, c’est normal : TOUS les films de « The Asylum » le sont, frôlant toujours le zéro absolu sur le plan qualitatif), mais, une fois n’est pas coutume, Bill Oberst Jr, l’acteur qui y interprète Lincoln, lui, a eu droit aux louanges pour avoir réussi une performance tout à fait convaincante du 16ème Président des Etats-Unis !
Sur le plan des performances en salles, le résultat n’est pas mauvais pourtant, avec 116 millions de dollars (pour un budget de près de 70 tout de même).
A noter, d’autre part, que la maison de production « The Asylum », spécialisée dans la récupération de titres des succès en salles, a aussi sorti, au même moment « Abraham Lincoln, tueur de zombies » (eh oui !). Ce dernier film fut tout aussi descendu en flammes par la critique (là, c’est normal : TOUS les films de « The Asylum » le sont, frôlant toujours le zéro absolu sur le plan qualitatif), mais, une fois n’est pas coutume, Bill Oberst Jr, l’acteur qui y interprète Lincoln, lui, a eu droit aux louanges pour avoir réussi une performance tout à fait convaincante du 16ème Président des Etats-Unis !
