Affiche et synopsis
Ère cosmique, année 75 : les conflits font toujours rage. Mouvements indépendantistes, offensives du Blue Cosmos…
Afin d'enrayer cette spirale naît l'organisation de surveillance de la paix dans le monde « COMPASS », sous l'égide de Lacus et au nom de laquelle Kira et ses camarades sont amenés à intervenir dans les conflits de par le monde.
C'est alors que le jeune royaume de Fondation leur propose de mener une opération conjointe contre le quartier général du Blue Cosmos…
Source : AllôCiné
Afin d'enrayer cette spirale naît l'organisation de surveillance de la paix dans le monde « COMPASS », sous l'égide de Lacus et au nom de laquelle Kira et ses camarades sont amenés à intervenir dans les conflits de par le monde.
C'est alors que le jeune royaume de Fondation leur propose de mener une opération conjointe contre le quartier général du Blue Cosmos…
Source : AllôCiné
Présentation
Difficile d'aller voir un film sans avoir vu ses précédents épisodes. Ce n'est finalement pas une reproduction d'un atout originel, mais l'axe d'une histoire dans l'univers de la franchise.
Malgré la grande concentration pour essayer de comprendre les différentes adversités politiques "tenant en joue" un scénario riche et complexe, cette guerre est sur Terre entre mechas, comme dans l'espace, avec des chevaliers à inspiration du Moyen Âge qui s'affrontent en exaltant leur côté noir et blanc. Facile traduction du bien contre le mal, mais un mal pensant faire le bien en imposant sa stratégie basée sur la génétique "unique", d'une espèce humaine améliorée et vouée à se propager.
Le récit se mue sur une ossature qui crie son amour pour ces robots et pour leur mission aux effets humanistes. La destruction en masse des peuples et de leur territoire est à la mesure de la rage des soldats du COMPASS (organisation de surveillance de la paix) qui mène une contre-offensive en faveur de ses principes bienveillants. Ces héros se confrontent à cette "race génétique" avec une ténacité où beaucoup de personnages et de situations interfèrent d'une manière tenue, passionnante. Les héros, jamais lisses dans l'interprétation de leur rôle, se sacrifient devant l'hôtel de la philanthropie.
L'animation est admirable. Les actions sont impressionnantes et surtout, lisibles par un jeu de couleurs nécessaire pour saisir les interactions.
Les connaisseurs abdiqueront une nouvelle fois devant des plans rythmés aussi excellents. Si l'on ne connaît pas son sujet, l'histoire est construite de telle façon que l'intrigue donne, par ses points d'ancrage, une compréhension progressivement abordable. La puissance des images nous fait fermer - quand même - les yeux sur l'accroche amoureuse qui est assez pompeuse.
Cependant, je peux dire qu'en termes d'animé, j'ai été impressionné, et dans le genre de la science-fiction, Mobile Suit Gundam SEED Freedom est le plus beau space opera dans le pur style graphique du manga que j'ai pu voir.
Malgré la grande concentration pour essayer de comprendre les différentes adversités politiques "tenant en joue" un scénario riche et complexe, cette guerre est sur Terre entre mechas, comme dans l'espace, avec des chevaliers à inspiration du Moyen Âge qui s'affrontent en exaltant leur côté noir et blanc. Facile traduction du bien contre le mal, mais un mal pensant faire le bien en imposant sa stratégie basée sur la génétique "unique", d'une espèce humaine améliorée et vouée à se propager.
Le récit se mue sur une ossature qui crie son amour pour ces robots et pour leur mission aux effets humanistes. La destruction en masse des peuples et de leur territoire est à la mesure de la rage des soldats du COMPASS (organisation de surveillance de la paix) qui mène une contre-offensive en faveur de ses principes bienveillants. Ces héros se confrontent à cette "race génétique" avec une ténacité où beaucoup de personnages et de situations interfèrent d'une manière tenue, passionnante. Les héros, jamais lisses dans l'interprétation de leur rôle, se sacrifient devant l'hôtel de la philanthropie.
L'animation est admirable. Les actions sont impressionnantes et surtout, lisibles par un jeu de couleurs nécessaire pour saisir les interactions.
Les connaisseurs abdiqueront une nouvelle fois devant des plans rythmés aussi excellents. Si l'on ne connaît pas son sujet, l'histoire est construite de telle façon que l'intrigue donne, par ses points d'ancrage, une compréhension progressivement abordable. La puissance des images nous fait fermer - quand même - les yeux sur l'accroche amoureuse qui est assez pompeuse.
Cependant, je peux dire qu'en termes d'animé, j'ai été impressionné, et dans le genre de la science-fiction, Mobile Suit Gundam SEED Freedom est le plus beau space opera dans le pur style graphique du manga que j'ai pu voir.
