Affiche et synopsis
Année 2199. L’humanité vit ses derniers jours. La puissante flotte de la planète Gamilas envoie des astéroïdes radioactifs s’abattre sans relâche sur la surface de la Terre, la rendant inhabitable. Les survivants se sont réfugiés dans de vastes cités souterraines, mais les radiations s’enfoncent toujours plus profond, et il n’y aura bientôt plus de refuge possible pour l’espèce humaine…
Présentation
Quel film ! Voilà de la SF comme je l'aime !
Avant Star Wars et avant Battlestar Galactica, il y avait Yamato, le cuirassé de l’espace. Un monument de la culture japonaise ! J’avais donc prévu de vous pondre toute une critique mettant en rapport ce qui avait été fait dans les années 70 au niveau de l’animé, et ce film, qui reprend le tout en le condensant. Mais finalement, j’ai décidé de faire plus simple, en me concentrant sur ce petit bijou uniquement.
Oui, ce film est pour moi une perle. J’ai adoré ! Alors bien sûr, il faut savoir que dans la culture japonaise, on interprète son rôle de manière théâtrale. Ainsi, certaines scènes peuvent paraître comiques, alors que ce n’est pas le cas. Et inversement, les scènes dramatiques y gagnent en intensité. Mais enfin cette exagération me plaît bien, j'adore même, car elle donne un certain dynamisme aux personnages, tout en accentuant de manière parfois caricaturale leurs défauts et qualités. Le jeu des acteurs est donc très vivant, et c’est quelque chose que j’aime beaucoup, car cela me rappelle des séries TV que j’affectionne, comme par exemple San Ku Kai.
Ici le scénario – bien que compressé par rapport à l’œuvre originale – est très bien ficelé, avec une bonne intrigue, et des scènes spatiales à couper le souffle. C’est beau. On retrouve pour mon plus grand plaisir cette ambiance dramatique et mélancolique à souhait apportée par Leiji Matsumoto, le « papa » d’Albator, mais aussi celui de cette œuvre. Beaucoup d’émotion est véhiculée ici, et je dois dire que pour la première fois de ma vie, j’ai pleuré à chaudes larmes devant un film de SF. Cela ne m’était encore jamais arrivé. Et plus jamais depuis !
Donc beaucoup d’émotions, de belles scènes dans l’espace, une histoire intéressante et sombre, pour moi sont donc réunis ici tous les ingrédients d’un petit chef-d’œuvre très particulier. 🖤
Avant Star Wars et avant Battlestar Galactica, il y avait Yamato, le cuirassé de l’espace. Un monument de la culture japonaise ! J’avais donc prévu de vous pondre toute une critique mettant en rapport ce qui avait été fait dans les années 70 au niveau de l’animé, et ce film, qui reprend le tout en le condensant. Mais finalement, j’ai décidé de faire plus simple, en me concentrant sur ce petit bijou uniquement.
Oui, ce film est pour moi une perle. J’ai adoré ! Alors bien sûr, il faut savoir que dans la culture japonaise, on interprète son rôle de manière théâtrale. Ainsi, certaines scènes peuvent paraître comiques, alors que ce n’est pas le cas. Et inversement, les scènes dramatiques y gagnent en intensité. Mais enfin cette exagération me plaît bien, j'adore même, car elle donne un certain dynamisme aux personnages, tout en accentuant de manière parfois caricaturale leurs défauts et qualités. Le jeu des acteurs est donc très vivant, et c’est quelque chose que j’aime beaucoup, car cela me rappelle des séries TV que j’affectionne, comme par exemple San Ku Kai.
Ici le scénario – bien que compressé par rapport à l’œuvre originale – est très bien ficelé, avec une bonne intrigue, et des scènes spatiales à couper le souffle. C’est beau. On retrouve pour mon plus grand plaisir cette ambiance dramatique et mélancolique à souhait apportée par Leiji Matsumoto, le « papa » d’Albator, mais aussi celui de cette œuvre. Beaucoup d’émotion est véhiculée ici, et je dois dire que pour la première fois de ma vie, j’ai pleuré à chaudes larmes devant un film de SF. Cela ne m’était encore jamais arrivé. Et plus jamais depuis !
Donc beaucoup d’émotions, de belles scènes dans l’espace, une histoire intéressante et sombre, pour moi sont donc réunis ici tous les ingrédients d’un petit chef-d’œuvre très particulier. 🖤