Affiche et synopsis
Officiellement, Apollo 17 fut le dernier voyage sur la lune organisé par la NASA en 1972. La mission Apollo 18, « annulée pour des raisons budgétaires », a en fait eu lieu secrètement l'année suivante. Les images qui en furent rapportées, et qui ont été retrouvées, révèlent une réalité que la NASA essaie de nous cacher depuis 40 ans. C'est pour cela qu'aucun autre astronaute n'y est retourné depuis cette époque...
Présentation
Officiellement, Apollo 17 est la dernière mission habitée envoyée par les Etats-Unis sur la Lune. Mais un site internet vient de révéler que ce ne fut pas le cas : dans le plus grand secret, une 18e mission eut bel et bien lieu! Les trois hommes envoyés sur notre satellite naturel ne sont plus là pour confirmer ou non qu’ils ont bel et bien foulé le sol lunaire : ils sont tous morts entre-temps.
Le site Lunartruth.com vient donc de récupérer les images filmées durant ce voyage, gardé secret car il s’agissait d’une mission commandée par le Pentagone : placer des détecteurs sur la Lune pour repérer toute menace de la part des Soviétiques. Et ce que l’on y découvre est effrayant.
Tout a commencé normalement : le module lunaire Liberty a déposé les deux astronautes Nathan Walker et Ben Anderson, tandis que leur compagnon de voyage, John Grey, restait en orbite ; une procédure tout ce qu’il y a de classique lors des missions Apollo. La première sortie de Walker et Anderson leur permet de ramener quelques échantillons et de préparer l’installation des détecteurs de l’armée américaine.
Mais rapidement, d’étranges bruits se font entendre contre les parois du module lunaire. Les communications avec la Terre et le troisième astronaute sont perturbées, avant d’être carrément interrompues. De plus, les deux hommes ne comprennent pas comment l’un des échantillons, pourtant scellé dans un conteneur, se retrouve le lendemain au milieu de la cabine.
Sont-ils vraiment seuls sur la Lune ? Les Soviétiques seraient-ils aussi arrivés ? Peut-être. Mais peut-être aussi qu’il n’y a pas que des hommes sur la Lune …
Le site Lunartruth.com vient donc de récupérer les images filmées durant ce voyage, gardé secret car il s’agissait d’une mission commandée par le Pentagone : placer des détecteurs sur la Lune pour repérer toute menace de la part des Soviétiques. Et ce que l’on y découvre est effrayant.
Tout a commencé normalement : le module lunaire Liberty a déposé les deux astronautes Nathan Walker et Ben Anderson, tandis que leur compagnon de voyage, John Grey, restait en orbite ; une procédure tout ce qu’il y a de classique lors des missions Apollo. La première sortie de Walker et Anderson leur permet de ramener quelques échantillons et de préparer l’installation des détecteurs de l’armée américaine.
Mais rapidement, d’étranges bruits se font entendre contre les parois du module lunaire. Les communications avec la Terre et le troisième astronaute sont perturbées, avant d’être carrément interrompues. De plus, les deux hommes ne comprennent pas comment l’un des échantillons, pourtant scellé dans un conteneur, se retrouve le lendemain au milieu de la cabine.
Sont-ils vraiment seuls sur la Lune ? Les Soviétiques seraient-ils aussi arrivés ? Peut-être. Mais peut-être aussi qu’il n’y a pas que des hommes sur la Lune …
« Apollo 18 » n’a rien d’un grand film, mais il réussit à mettre une ambiance lourde et à créer le suspens, puis l’horreur avec les moyens du bord. Entendez par là, que surfant sur une certaine mode, l’histoire nous est comptée à partir des images soi-disant filmées à bord des véhicules spatiaux. Je ne suis personnellement pas un grand fan de ce type d'approche, mais on a vu pire dans le même genre.
Il faut évidemment accepter le style pour trouver des qualités à une telle œuvre. Ce qui ne semble pas avoir été le cas de la plupart de celles et ceux qui l'ont vue, puisqu’Apollo 18 n’a pas obtenu de critiques favorables, ni du public, ni des spécialistes. Il est vrai que le suspens est tout de même cousu de fil blanc et on se doute de ce que va arriver aux protagonistes.
Plus que le suspens, c’est donc plutôt le look « à l’ancienne » qu’on retiendra de ce film, mêlant véritables archives et scènes tournées avec une qualité d’image volontairement faible, pour «faire vrai».
Cela dit, s’il n’a rapporté qu’environ 25 millions de dollars US, Apollo 18 est largement rentré dans ses frais, puisque le budget n’était que de 5 millions (soit moins que le seul salaire d’une vedette dans une grosse production).
Il faut évidemment accepter le style pour trouver des qualités à une telle œuvre. Ce qui ne semble pas avoir été le cas de la plupart de celles et ceux qui l'ont vue, puisqu’Apollo 18 n’a pas obtenu de critiques favorables, ni du public, ni des spécialistes. Il est vrai que le suspens est tout de même cousu de fil blanc et on se doute de ce que va arriver aux protagonistes.
Plus que le suspens, c’est donc plutôt le look « à l’ancienne » qu’on retiendra de ce film, mêlant véritables archives et scènes tournées avec une qualité d’image volontairement faible, pour «faire vrai».
Cela dit, s’il n’a rapporté qu’environ 25 millions de dollars US, Apollo 18 est largement rentré dans ses frais, puisque le budget n’était que de 5 millions (soit moins que le seul salaire d’une vedette dans une grosse production).
