Synopsis
Une flotte de Daleks entoure un vaisseau rebelle solitaire et seul le Docteur peut les aider maintenant. Alors que le Docteur fait face à son plus grand ennemi, il a besoin de Clara à ses côtés. Confronté à une décision qui pourrait changer les Daleks à jamais, il est forcé d’examiner sa conscience. Est-ce qu’il va trouver réponse à sa question : suis-je un homme bien ?
Présentation
- Il y a longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine …
- Non, ça, cela a déjà été pris, jeune homme !
- Et « Au fin fond de l'Univers, à des années et des années-lumière de la Terre… » ?
- Egalement. Ne cherchez pas la phrase idéale pour lancer l’épisode. Pour vos débuts en tant que narrateur, contentez-vous de quelque chose de sobre. Les jeux de mots, les phrases-chocs, ce sera pour plus tard.
- Euh … Que pensez-vous de : « Lors d’une bataille contre les Daleks… » ?
- Pas mal ! Continuez comme ça…
- Non, ça, cela a déjà été pris, jeune homme !
- Et « Au fin fond de l'Univers, à des années et des années-lumière de la Terre… » ?
- Egalement. Ne cherchez pas la phrase idéale pour lancer l’épisode. Pour vos débuts en tant que narrateur, contentez-vous de quelque chose de sobre. Les jeux de mots, les phrases-chocs, ce sera pour plus tard.
- Euh … Que pensez-vous de : « Lors d’une bataille contre les Daleks… » ?
- Pas mal ! Continuez comme ça…
Lors d’une bataille contre les Daleks, le vaisseau de combat du Lieutenant Journey Blue est gravement endommagé par les tirs ennemis. Alors que l’appareil finit par exploser, Journey doit la vie sauve au Docteur, qui est parvenu à la téléporter à bord du Tardis.
D’abord méfiante (allant jusqu’à pointer son arme vers son sauveur), la jeune femme lui demande de la ramener jusqu’à l’Aristote, un ancien vaisseau hôpital converti en vaisseau de commandement de la « Galactic Combined Resistance », une alliance qui lutte contre les Daleks. Le Docteur ne s’exécute que lorsque la jeune femme ajoute : « s’il vous plaît ».
A leur arrivée sur l’Aristote, Journey présente le Docteur au commandant, le Colonel Morgan Blue (oncle de Journey). Celui-ci n’a aucune confiance en son visiteur : il pourrait s’agir d’un espion ennemi, qu’il faut exécuter au plus vite. Mais Journey insiste : c’est un Docteur. Or, ils ont justement besoin d’un médecin. Un besoin qui étonne le Docteur : pourquoi un hôpital manquerait-il de médecins ?
Se gardant bien de dire qu’il n’est pas un docteur au sens « médical », le Seigneur du Temps découvre un « miniaturisateur » : un appareil qui permet de réduire la taille d’individus pour qu’ils puissent soigner un malade de l’intérieur. « Excellente idée … pour un film seulement », fait-il. Il est alors amené auprès d’un malade un peu particulier, qu’il ne peut décemment pas aider : un Dalek !
D’abord méfiante (allant jusqu’à pointer son arme vers son sauveur), la jeune femme lui demande de la ramener jusqu’à l’Aristote, un ancien vaisseau hôpital converti en vaisseau de commandement de la « Galactic Combined Resistance », une alliance qui lutte contre les Daleks. Le Docteur ne s’exécute que lorsque la jeune femme ajoute : « s’il vous plaît ».
A leur arrivée sur l’Aristote, Journey présente le Docteur au commandant, le Colonel Morgan Blue (oncle de Journey). Celui-ci n’a aucune confiance en son visiteur : il pourrait s’agir d’un espion ennemi, qu’il faut exécuter au plus vite. Mais Journey insiste : c’est un Docteur. Or, ils ont justement besoin d’un médecin. Un besoin qui étonne le Docteur : pourquoi un hôpital manquerait-il de médecins ?
Se gardant bien de dire qu’il n’est pas un docteur au sens « médical », le Seigneur du Temps découvre un « miniaturisateur » : un appareil qui permet de réduire la taille d’individus pour qu’ils puissent soigner un malade de l’intérieur. « Excellente idée … pour un film seulement », fait-il. Il est alors amené auprès d’un malade un peu particulier, qu’il ne peut décemment pas aider : un Dalek !
Sur Terre, de nos jours, un nouveau professeur fait ses débuts à l’école de Coal Hill : Danny Pink (jeune) vétéran de guerre. Danny a décidé de donner une nouvelle orientation à sa carrière en enseignant les mathématiques. Mais ses élèves s’intéressent plus à son passé militaire, allant jusqu’à lui demander s’il a déjà tué quelqu’un, ce qui ébranle et dérange le nouvel enseignant. Pour toute réponse, il laisse entendre qu’en tant que soldat, on peut être amené à tuer un ennemi, refusant de préciser si cela a été le cas pour lui. Devant l’insistance de son jeune public, il met fin au cours, tandis qu’une larme lui colle sur la joue.
Peu après Danny est présenté à Clara, qui l’a croisé plus tôt dans la journée alors qu’il donnait quelques exercices de gymnastique à ses élèves avant le cours (sur un ton très militaire – déformation professionnelle !). La conversation entre les deux enseignants est assez maladroite, et pour « rattraper la sauce », Clara lui demande s’il vient au verre offert par l’un de leurs collègues. Maladroitement, il répond que non, ne percevant pas que Clara l’invite à l’accompagner. Après son départ, il peste sur sa maladresse, mais Clara, l’ayant entendu, revient dans la classe de Danny, qui, cette fois, accepte.
La jeune femme tombe alors sur le Docteur, qui lui apporte le café qu’il était allé lui chercher… trois semaines plus tôt, la laissant en plan à Glasgow (8.01 Deep Breath) ! Malgré l’attitude désinvolte du Docteur, qui lui demande de l’aider, elle accepte de l’accompagner. Pendant leur voyage jusqu’à l’Aristote, il lui avoue qu’il est terrifié. « Par quoi ? », fait-elle. « Par la réponse à la question que je vais vous poser. » Il lui demande alors s’il est quelqu’un de bon. Elle lui répond qu’elle n’en sait rien… « Moi non plus », ajoute-t-il.
« Où allons-nous ? », demande Clara.
« Dans les ténèbres… », répond-il.
Dans un flashback, nous revoyons alors le Docteur au moment où il rencontre le Dalek, à bord de l’Aristote. Refusant d’abord d’aider à la soigner, le Docteur est alors surpris de l’entendre dire qu’il faut détruire tous les Daleks !
Peu après Danny est présenté à Clara, qui l’a croisé plus tôt dans la journée alors qu’il donnait quelques exercices de gymnastique à ses élèves avant le cours (sur un ton très militaire – déformation professionnelle !). La conversation entre les deux enseignants est assez maladroite, et pour « rattraper la sauce », Clara lui demande s’il vient au verre offert par l’un de leurs collègues. Maladroitement, il répond que non, ne percevant pas que Clara l’invite à l’accompagner. Après son départ, il peste sur sa maladresse, mais Clara, l’ayant entendu, revient dans la classe de Danny, qui, cette fois, accepte.
La jeune femme tombe alors sur le Docteur, qui lui apporte le café qu’il était allé lui chercher… trois semaines plus tôt, la laissant en plan à Glasgow (8.01 Deep Breath) ! Malgré l’attitude désinvolte du Docteur, qui lui demande de l’aider, elle accepte de l’accompagner. Pendant leur voyage jusqu’à l’Aristote, il lui avoue qu’il est terrifié. « Par quoi ? », fait-elle. « Par la réponse à la question que je vais vous poser. » Il lui demande alors s’il est quelqu’un de bon. Elle lui répond qu’elle n’en sait rien… « Moi non plus », ajoute-t-il.
« Où allons-nous ? », demande Clara.
« Dans les ténèbres… », répond-il.
Dans un flashback, nous revoyons alors le Docteur au moment où il rencontre le Dalek, à bord de l’Aristote. Refusant d’abord d’aider à la soigner, le Docteur est alors surpris de l’entendre dire qu’il faut détruire tous les Daleks !
Revenons au présent.
A bord du Tardis, Clara est surprise d’apprendre l’existence d’un « bon » Dalek, mais le Docteur lui dit que ce genre de chose n’existe pas. A leur arrivée sur l’Aristote, le Docteur explique que le Dalek est atteint d’un dysfonctionnement qui est en train de le tuer, mais qui lui a aussi donné une conscience. Un cas passionnant, qui a poussé le Docteur à accepter de fournir son aide.
« Comment allons-nous l’aider ? » (Clara)
« Nous allons dans sa tête » (Docteur)
Il ne s’agit pas d’une métaphore : grâce à la technologie de miniaturisation, l’équipage va envoyer Clara, le Docteur, Journey et deux autres soldats à l’intérieur du Dalek.
Clara reçoit quelques mots d’explication de la part de Journey Blue, qui s’inquiète d’emmener dans une mission aussi dangereuse une jeune femme qui ressemble plus à une enseignante qu’à un soldat. Répliquant qu’elle est effectivement enseignante, Clara sourit en apprenant le nom de famille de Journey – Blue (« bleu » en anglais) : c’est le jour des couleurs pour elle, puisqu’elle a aussi fait la connaissance de Danny Pink (« rose » en anglais).
Passant par « l’œil » du Dalek, les cinq explorateurs arrivent dans les « étages supérieurs », où ils découvrent le cortex de « Rusty » (« Rouillé »), comme le Docteur le surnomme. Ce cortex contient la mémoire artificielle tout en assurant la « pureté » du Dalek : il agit de telle sorte que les mauvais souvenirs sont accentués, tout en empêchant l’individu de se rappeler des bonnes choses du passé, supprimant la moindre de trace de compassion, bonté ou tout autre sentiment positif.
Pour continuer leur exploration, il leur faut descendre plus bas. Mais quand Ross, l’un des soldats, harponne un câble pour leur permettre de rejoindre le bas du Dalek, il blesse Rusty, ce qui entraîne l’arrivée des « anticorps Daleks », qui attaquent et pulvérisent le malheureux, sans que les autres ne puissent intervenir. La seule chose que le Docteur ait pu faire, c’est de lui faire ingurgiter un « traceur », grâce auquel il trouve où les restes du soldat ont été envoyés – le seul endroit où les quatre survivants peuvent espérer se mettre à l’abri des anticorps. Plongeant à l’aveugle dans un puits, le quatuor arrive dans une mare faite des restes des victimes de Rusty. Quand Journey lui demande si Ross se trouve ici, le Docteur répond cyniquement qu’il se trouve dans la première couche du liquide. Une réponse qui n’est vraiment pas du goût de Journey !
A bord du Tardis, Clara est surprise d’apprendre l’existence d’un « bon » Dalek, mais le Docteur lui dit que ce genre de chose n’existe pas. A leur arrivée sur l’Aristote, le Docteur explique que le Dalek est atteint d’un dysfonctionnement qui est en train de le tuer, mais qui lui a aussi donné une conscience. Un cas passionnant, qui a poussé le Docteur à accepter de fournir son aide.
« Comment allons-nous l’aider ? » (Clara)
« Nous allons dans sa tête » (Docteur)
Il ne s’agit pas d’une métaphore : grâce à la technologie de miniaturisation, l’équipage va envoyer Clara, le Docteur, Journey et deux autres soldats à l’intérieur du Dalek.
Clara reçoit quelques mots d’explication de la part de Journey Blue, qui s’inquiète d’emmener dans une mission aussi dangereuse une jeune femme qui ressemble plus à une enseignante qu’à un soldat. Répliquant qu’elle est effectivement enseignante, Clara sourit en apprenant le nom de famille de Journey – Blue (« bleu » en anglais) : c’est le jour des couleurs pour elle, puisqu’elle a aussi fait la connaissance de Danny Pink (« rose » en anglais).
Passant par « l’œil » du Dalek, les cinq explorateurs arrivent dans les « étages supérieurs », où ils découvrent le cortex de « Rusty » (« Rouillé »), comme le Docteur le surnomme. Ce cortex contient la mémoire artificielle tout en assurant la « pureté » du Dalek : il agit de telle sorte que les mauvais souvenirs sont accentués, tout en empêchant l’individu de se rappeler des bonnes choses du passé, supprimant la moindre de trace de compassion, bonté ou tout autre sentiment positif.
Pour continuer leur exploration, il leur faut descendre plus bas. Mais quand Ross, l’un des soldats, harponne un câble pour leur permettre de rejoindre le bas du Dalek, il blesse Rusty, ce qui entraîne l’arrivée des « anticorps Daleks », qui attaquent et pulvérisent le malheureux, sans que les autres ne puissent intervenir. La seule chose que le Docteur ait pu faire, c’est de lui faire ingurgiter un « traceur », grâce auquel il trouve où les restes du soldat ont été envoyés – le seul endroit où les quatre survivants peuvent espérer se mettre à l’abri des anticorps. Plongeant à l’aveugle dans un puits, le quatuor arrive dans une mare faite des restes des victimes de Rusty. Quand Journey lui demande si Ross se trouve ici, le Docteur répond cyniquement qu’il se trouve dans la première couche du liquide. Une réponse qui n’est vraiment pas du goût de Journey !
Malgré cette perte, l’expédition poursuit son chemin pour arriver dans les zones inférieures, où se trouvent les batteries. Quand Le Docteur lui demande ce qui l’a poussé à se retourner contre ses semblables, Rusty explique qu’il a assisté à la naissance d’une étoile, ce qui lui a fait comprendre que toute résistance est futile. Malgré les milliards de mondes et d’étoiles détruits par les Daleks, la vie renaît à nouveau. La raison d’être des Daleks (détruire encore et toujours) n’a donc aucun sens.
L’équipe découvre l’origine de la fuite d’où s’échappe une substance radioactive responsable de l’état actuel de Rusty, que le Docteur répare à l’aide de son incontournable tournevis sonique. Mais en agissant de la sorte, ils arrêtent non seulement l’empoisonnement du Dalek, mais suppriment aussi sa conscience. Retrouvant ses instincts « exterminateurs », Rusty se met à attaquer l‘équipage de l’Aristote, tout en appelant ses semblables pour qu’ils lui envoient des renforts.
Quand Clara lui demande ce qui vient de se produire, le Docteur répond qu’il avait raison : Rusty n’était pas devenu « bon », mais il était simplement endommagé. Il ne peut y avoir de « bon » Dalek. La conscience que Rusty avait acquise n’était rien d’autre qu’un accident.
Il faut que Clara le gifle pour qu’il se rende compte de l’effet dévastateur de cette « réparation ». Et que ce qu’ils viennent d’apprendre, ce n’est pas qu’il n’existe pas de bon Dalek, mais qu’il est possible de leur donner une conscience, de les rendre bons.
Tandis que Journey place des explosifs pour détruire Rusty de l’intérieur, le Docteur réalise toute la véracité des propos de sa compagne. Il lui demande, ainsi qu’à Journey et l’autre militaire (prénommée Gretchen), de retourner à l’unité de mémoire pour rétablir son souvenir de l’étoile en train de naître, tandis que, lui, va tenter – sans encore savoir comment il va s’y prendre – de ramener Rusty à la raison.
Clara et Journey parviennent jusqu’à l’unité de mémoire située dans le cortex, grâce au sacrifice de Gretchen, qui plante un câble pour leur permettre de monter plus vite, et se laisse détruire par les « anticorps ».
Petite parenthèse : Gretchen se réveille au « paradis » en présence de la mystérieuse Missy… Mais revenons à l’histoire principale…
L’équipe découvre l’origine de la fuite d’où s’échappe une substance radioactive responsable de l’état actuel de Rusty, que le Docteur répare à l’aide de son incontournable tournevis sonique. Mais en agissant de la sorte, ils arrêtent non seulement l’empoisonnement du Dalek, mais suppriment aussi sa conscience. Retrouvant ses instincts « exterminateurs », Rusty se met à attaquer l‘équipage de l’Aristote, tout en appelant ses semblables pour qu’ils lui envoient des renforts.
Quand Clara lui demande ce qui vient de se produire, le Docteur répond qu’il avait raison : Rusty n’était pas devenu « bon », mais il était simplement endommagé. Il ne peut y avoir de « bon » Dalek. La conscience que Rusty avait acquise n’était rien d’autre qu’un accident.
Il faut que Clara le gifle pour qu’il se rende compte de l’effet dévastateur de cette « réparation ». Et que ce qu’ils viennent d’apprendre, ce n’est pas qu’il n’existe pas de bon Dalek, mais qu’il est possible de leur donner une conscience, de les rendre bons.
Tandis que Journey place des explosifs pour détruire Rusty de l’intérieur, le Docteur réalise toute la véracité des propos de sa compagne. Il lui demande, ainsi qu’à Journey et l’autre militaire (prénommée Gretchen), de retourner à l’unité de mémoire pour rétablir son souvenir de l’étoile en train de naître, tandis que, lui, va tenter – sans encore savoir comment il va s’y prendre – de ramener Rusty à la raison.
Clara et Journey parviennent jusqu’à l’unité de mémoire située dans le cortex, grâce au sacrifice de Gretchen, qui plante un câble pour leur permettre de monter plus vite, et se laisse détruire par les « anticorps ».
Petite parenthèse : Gretchen se réveille au « paradis » en présence de la mystérieuse Missy… Mais revenons à l’histoire principale…
Les efforts du Docteur semblent inopérants : Rusty se prépare à rejoindre les autres Daleks arrivés en renfort pour détruire l’Aristote et son équipage…
Heureusement, Clara a plus de réussite : alors que les anticorps sont sur le point la rejoindre, elle parvient à réactiver les souvenirs de Rusty et permet au Docteur d’établir un lien psychique avec le Dalek. Au départ, Rusty perçoit la beauté, la bonté dans l’âme du Docteur. Malheureusement, le lien lui donne aussi accès à la haine du Seigneur du Temps envers les Daleks : au lieu de réveiller son bon côté, cela le pousse à nouveau à détruire ses semblables. Rusty attaque son propre camp, détruisant les siens en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire ! Pour sauver l’Aristote, il envoie un message à la flotte Dalek que le vaisseau a activé son autodestruction.
Ramené à leur vraie taille, les trois membres survivants de l’expédition se retrouvent en présence de Rusty. Ce dernier s’apprête à rejoindre les siens, qu’il a désormais bien l’intention de continuer à saboter.
Avant de partir, il informe le Docteur que celui-ci se trompe : Rusty lui-même n’est pas un bon Dalek, mais le Seigneur du Temps en est un à n’en pas douter…
Pour ce dernier, cette victoire est amère : en explorant sa conscience, Rusty n’y a trouvé que de la haine…
C’est l’heure du départ pour Clara et son ami. Journey lui demande de l’accepter comme compagne également. Mais il refuse : s’il a senti du bien en elle, il regrette qu’elle soit un soldat.
De retour à son école quelques instants à peine après son départ, Clara s’apprête à rejoindre Danny. Mais elle a encore quelque chose à dire, en réponse à sa question : « Suis-je quelqu’un de bon ? ». Elle lui dit qu’elle ne peut pas être sûre qu’il le soit, mais qu’il essaie de l’être, et c’est bien là le plus important. Une réponse qui réconforte le Docteur.
Heureusement, Clara a plus de réussite : alors que les anticorps sont sur le point la rejoindre, elle parvient à réactiver les souvenirs de Rusty et permet au Docteur d’établir un lien psychique avec le Dalek. Au départ, Rusty perçoit la beauté, la bonté dans l’âme du Docteur. Malheureusement, le lien lui donne aussi accès à la haine du Seigneur du Temps envers les Daleks : au lieu de réveiller son bon côté, cela le pousse à nouveau à détruire ses semblables. Rusty attaque son propre camp, détruisant les siens en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire ! Pour sauver l’Aristote, il envoie un message à la flotte Dalek que le vaisseau a activé son autodestruction.
Ramené à leur vraie taille, les trois membres survivants de l’expédition se retrouvent en présence de Rusty. Ce dernier s’apprête à rejoindre les siens, qu’il a désormais bien l’intention de continuer à saboter.
Avant de partir, il informe le Docteur que celui-ci se trompe : Rusty lui-même n’est pas un bon Dalek, mais le Seigneur du Temps en est un à n’en pas douter…
Pour ce dernier, cette victoire est amère : en explorant sa conscience, Rusty n’y a trouvé que de la haine…
C’est l’heure du départ pour Clara et son ami. Journey lui demande de l’accepter comme compagne également. Mais il refuse : s’il a senti du bien en elle, il regrette qu’elle soit un soldat.
De retour à son école quelques instants à peine après son départ, Clara s’apprête à rejoindre Danny. Mais elle a encore quelque chose à dire, en réponse à sa question : « Suis-je quelqu’un de bon ? ». Elle lui dit qu’elle ne peut pas être sûre qu’il le soit, mais qu’il essaie de l’être, et c’est bien là le plus important. Une réponse qui réconforte le Docteur.