Affiche et synopsis
Après s'être échappés de la planète abritant les aliens, Ripley, Newt et Bishop s'écrasent sur une planète. Mais cette fois, Ripley n'est pas la seule survivante de ce voyage : un alien était à bord de la capsule de sauvetage. La planète en question est Fiorina 16, une planète prison qui n'abrite aucune arme pour se défendre contre la nouvelle créature...
Présentation
Décidément, Ellen Ripley est marquée par la poisse ! Alors qu’elle dort tranquillement (?) à bord du Sulaco, qui doit la ramener sur Terre après avoir littéralement oblitéré les aliens sur LV-426, un incendie se produit à bord du vaisseau. Les capsules de survie sont larguées sur la planète la plus proche, Fiorina 16, qui abrite une colonie pénale du nom de Fury 161 habitée par quelques derniers locataires particulièrement peu fréquentables. Ellen Ripley se réveille pour constater que tous les autres rescapés du Sulaco ont péri. Malheureusement, elle n’est tout de même pas arrivée seule…
Le cauchemar recommence pour la plus malchanceuse exploratrice de l’univers.
Après Ridley Scott et James Cameron, c’est au tour de David Fincher de prendre les choses en main. Nous sommes alors en 1992, et Fincher n’a pas encore réalisé Seven, Fight Club, Benjamin Button ni The Social Network. La production sera chaotique avec plusieurs réécritures du scénario et des modifications importantes alors que Fincher est déjà en train de tourner ! On obtient donc cette version finale, une version qui ne plaira pas du tout à James Cameron, qui regrettera ouvertement que le troisième film détruit d’un trait les relations qu’il avait créées entre les personnages à la fin du deuxième opus.
Le film sera néanmoins un succès – mitigé si l’on considère qu’il ne rapportera pas beaucoup plus que le précédent, alors qu’il a coûté le triple !
A noter la présence, parmi les « locataires » de la colonie, de Paul McGann, qui incarna le huitième Doctor Who.
Le cauchemar recommence pour la plus malchanceuse exploratrice de l’univers.
Après Ridley Scott et James Cameron, c’est au tour de David Fincher de prendre les choses en main. Nous sommes alors en 1992, et Fincher n’a pas encore réalisé Seven, Fight Club, Benjamin Button ni The Social Network. La production sera chaotique avec plusieurs réécritures du scénario et des modifications importantes alors que Fincher est déjà en train de tourner ! On obtient donc cette version finale, une version qui ne plaira pas du tout à James Cameron, qui regrettera ouvertement que le troisième film détruit d’un trait les relations qu’il avait créées entre les personnages à la fin du deuxième opus.
Le film sera néanmoins un succès – mitigé si l’on considère qu’il ne rapportera pas beaucoup plus que le précédent, alors qu’il a coûté le triple !
A noter la présence, parmi les « locataires » de la colonie, de Paul McGann, qui incarna le huitième Doctor Who.