Autre(s) article(s) :
Affiche et synopsis
Proposant un nouveau regard sur l'origine des personnages légendaires créés par J.M. Barrie, le film s'attache à l'histoire d'un orphelin enlevé au Pays Imaginaire. Là-bas, il vivra une aventure palpitante et bravera maints dangers, tout en découvrant son destin : devenir le héros connu dans le monde entier sous le nom de Peter Pan.
Présentation
Peter Pan semble être à la mode, ces temps-ci. Après la comédie musicale, voici un nouveau film. Et comme c'est devenu une habitude depuis Hook, ce film prend un point de vue original : celui de l'arrivée de Peter au Pays Imaginaire.
Abandonné peu de temps après sa naissance, Peter grandit dans un orphelinat de Londres. A son cou, sa mère a laissé un pendentif figurant une flûte de pan. Voilà pourquoi on l'appelle Peter Pan. On ne peut pas dire que les religieuses qui gèrent l'établissement soient des modèles de bonté. Régulièrement, des garçons disparaissent. Peter mène alors une petite enquête et découvre des choses bizarres. Il se tient sur ses gardes. Et quand, un soir, les sœurs hissent un drapeau pirate au sommet de l'établissement, il se tient prêt. Cette nuit-là, des pirates viennent et enlèvent les garçons. Peter tente de s'échapper, mais il est finalement pris et emmené vers le Pays Imaginaire à bord d'un galion volant...
Le Pays Imaginaire que Peter découvre n'a pas grand-chose de féerique. Il est prisonnier dans des mines tenues par le grand pirate Barbe Noire. On y extrait du "pixom", une matière précieuse et magique. A peine arrivé, Peter trouve une pépite mais se la fait voler et provoque un scandale. Accusé de rébellion, il est condamné à la planche, mais presque arrivé au sol, il se met à planer et s'en sort indemne. Il est alors remarqué par le capitaine qui semble en savoir long sur lui. Il est emprisonné, mais un autre mineur, un certain Crochet, le fait libérer et, après bien des péripéties, ils arrivent sur le territoire des Indiens. Là, Peter en apprend plus sur ses origines : sa mère, son père et le secret de sa naissance. Il décide de retrouver sa mère au royaume des fées mais est suivi par Barbe Noire qui a retrouvé sa piste. Celui-ci pénètre dans le Royaume grâce au pendentif de Pan, qui est en fait une clé. Il s'ensuit une succession de bagarres et de scènes spectaculaires. Mais grâce à ses pouvoirs de Jedi, Peter déjoue les plans de.... heu.... non, ce n'est pas ça. Enfin bref, tout finit bien. Blablabla, ils vécurent heureux, ils allèrent libérer les orphelins à Londres et Peter devint l'ami éternel de Crochet.
Voilà voilà voilà... Ouf, quel film ! J'avoue avoir réussi à tenir concentré à peu près 40 minutes. Après, je suis resté devant la télé, mais plus distraitement. Le début m'a bien plu. C'est un point de vue original, comme je le disais plus haut, une explication de l'origine de Peter Pan. Mais à un moment, le film part totalement en vrille. L'action prend le dessus sur tous les autres aspects. Les scènes spectaculaires s'enchaînent à toute vitesse, entrecoupées de révélations expresses. Ça fonctionne à flux tendu, comme dans une usine de boudin. Ça peut être marrant pour les gosses et les adolescents, mais il n'y a pas de magie. Le film ne dégage jamais cette touche de je-ne-sais-quoi qui fait de Peter Pan un héros totalement à part. En fait, pour le coup, il pourrait tout-à-fait s’appeler Anakin et être pilote, voyez-vous, un genre de Peter Skywalker, ou de Anakin Pan. A un moment, je me suis même demandé si Crochet n'allait pas avouer un truc du genre : "Peter, je suis ton père". Et surtout, il n'y a pas cette réflexion sur la nature de l'enfance qui est le fondement du conte de Peter Pan.
Une bien belle idée, un bon début, et un fin en queue de boudin.
Abandonné peu de temps après sa naissance, Peter grandit dans un orphelinat de Londres. A son cou, sa mère a laissé un pendentif figurant une flûte de pan. Voilà pourquoi on l'appelle Peter Pan. On ne peut pas dire que les religieuses qui gèrent l'établissement soient des modèles de bonté. Régulièrement, des garçons disparaissent. Peter mène alors une petite enquête et découvre des choses bizarres. Il se tient sur ses gardes. Et quand, un soir, les sœurs hissent un drapeau pirate au sommet de l'établissement, il se tient prêt. Cette nuit-là, des pirates viennent et enlèvent les garçons. Peter tente de s'échapper, mais il est finalement pris et emmené vers le Pays Imaginaire à bord d'un galion volant...
Le Pays Imaginaire que Peter découvre n'a pas grand-chose de féerique. Il est prisonnier dans des mines tenues par le grand pirate Barbe Noire. On y extrait du "pixom", une matière précieuse et magique. A peine arrivé, Peter trouve une pépite mais se la fait voler et provoque un scandale. Accusé de rébellion, il est condamné à la planche, mais presque arrivé au sol, il se met à planer et s'en sort indemne. Il est alors remarqué par le capitaine qui semble en savoir long sur lui. Il est emprisonné, mais un autre mineur, un certain Crochet, le fait libérer et, après bien des péripéties, ils arrivent sur le territoire des Indiens. Là, Peter en apprend plus sur ses origines : sa mère, son père et le secret de sa naissance. Il décide de retrouver sa mère au royaume des fées mais est suivi par Barbe Noire qui a retrouvé sa piste. Celui-ci pénètre dans le Royaume grâce au pendentif de Pan, qui est en fait une clé. Il s'ensuit une succession de bagarres et de scènes spectaculaires. Mais grâce à ses pouvoirs de Jedi, Peter déjoue les plans de.... heu.... non, ce n'est pas ça. Enfin bref, tout finit bien. Blablabla, ils vécurent heureux, ils allèrent libérer les orphelins à Londres et Peter devint l'ami éternel de Crochet.
Voilà voilà voilà... Ouf, quel film ! J'avoue avoir réussi à tenir concentré à peu près 40 minutes. Après, je suis resté devant la télé, mais plus distraitement. Le début m'a bien plu. C'est un point de vue original, comme je le disais plus haut, une explication de l'origine de Peter Pan. Mais à un moment, le film part totalement en vrille. L'action prend le dessus sur tous les autres aspects. Les scènes spectaculaires s'enchaînent à toute vitesse, entrecoupées de révélations expresses. Ça fonctionne à flux tendu, comme dans une usine de boudin. Ça peut être marrant pour les gosses et les adolescents, mais il n'y a pas de magie. Le film ne dégage jamais cette touche de je-ne-sais-quoi qui fait de Peter Pan un héros totalement à part. En fait, pour le coup, il pourrait tout-à-fait s’appeler Anakin et être pilote, voyez-vous, un genre de Peter Skywalker, ou de Anakin Pan. A un moment, je me suis même demandé si Crochet n'allait pas avouer un truc du genre : "Peter, je suis ton père". Et surtout, il n'y a pas cette réflexion sur la nature de l'enfance qui est le fondement du conte de Peter Pan.
Une bien belle idée, un bon début, et un fin en queue de boudin.