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Affiche et synopsis
2348. Bloqué sur une planète corrompue que la mécanisation déshumanise toujours davantage, Tetsuro vit avec sa mère dans le bonheur et la misère matérielle. Il n'a guère beaucoup de souvenirs de son père, mort quand il était jeune. Il habite une petite cabane à l'extérieur de Megalopolis, ville à la démographie grouillante où les riches s'installent dans de luxueux buildings et où les miséreux croupissent et s'entassent toujours plus nombreux dans les bas-fonds. Tetsuro entretient le rêve d'une vie tranquille avec sa mère adorée, loin de la folie des hommes et du tumulte des machines.
Mais voilà, un jour, impuissant face à l'assassinat de sa mère, abattue comme un animal par le Comte mécanique, il perd définitivement cette naïveté enfantine. Ivre de douleur, le jeune garçon décide de partir pour Andromède. Sur cette planète très lointaine, où se trouve l'usine où l'on fabrique les corps mécaniques, il désir trouver le moyen d'obtenir la vie éternelle. Pour atteindre son objectif, il devra monter à bord d'un train intergalactique : Le Galaxy Express 999.
Malheureusement, une vie de labeur ne lui permettrait pas de s'offrir un billet. Dans son errance, il finit par rencontrer la mystérieuse Maetel qui lui offre le billet tant convoité à condition qu'il la laisse voyager à ses côtés. Maetel, douce et prévenante, apparaît aux yeux du jeune orphelin comme une seconde mère. Aux côté de cette jeune femme dont il ne sait rien, hormis le nom, Tetsuro entame un voyage qui est aussi le nôtre...
Chaque arrêt du Galaxy Express est propice à l'exploration d'étranges planètes, chacune illustrant un drame de la mécanisation et le bonheur de se sentir vivant. L'immortalité...Est-ce vraiment la solution ? Ce qui fait la beauté de la vie, n'est-ce pas justement son caractère éphémère, nous intimant de profiter de chaque instant comme s'il s'agissait du dernier ? La douleur ne permait-elle pas d'apprécier le bonheur à sa juste valeur tout comme la maladie nous fait mieux prendre conscience de la bonne santé ? Et qui est cette mystérieuse Maetel, voyageuse de l'éternel, accompagnant le jeune garçon aux confins de l'univers ?
Mais voilà, un jour, impuissant face à l'assassinat de sa mère, abattue comme un animal par le Comte mécanique, il perd définitivement cette naïveté enfantine. Ivre de douleur, le jeune garçon décide de partir pour Andromède. Sur cette planète très lointaine, où se trouve l'usine où l'on fabrique les corps mécaniques, il désir trouver le moyen d'obtenir la vie éternelle. Pour atteindre son objectif, il devra monter à bord d'un train intergalactique : Le Galaxy Express 999.
Malheureusement, une vie de labeur ne lui permettrait pas de s'offrir un billet. Dans son errance, il finit par rencontrer la mystérieuse Maetel qui lui offre le billet tant convoité à condition qu'il la laisse voyager à ses côtés. Maetel, douce et prévenante, apparaît aux yeux du jeune orphelin comme une seconde mère. Aux côté de cette jeune femme dont il ne sait rien, hormis le nom, Tetsuro entame un voyage qui est aussi le nôtre...
Chaque arrêt du Galaxy Express est propice à l'exploration d'étranges planètes, chacune illustrant un drame de la mécanisation et le bonheur de se sentir vivant. L'immortalité...Est-ce vraiment la solution ? Ce qui fait la beauté de la vie, n'est-ce pas justement son caractère éphémère, nous intimant de profiter de chaque instant comme s'il s'agissait du dernier ? La douleur ne permait-elle pas d'apprécier le bonheur à sa juste valeur tout comme la maladie nous fait mieux prendre conscience de la bonne santé ? Et qui est cette mystérieuse Maetel, voyageuse de l'éternel, accompagnant le jeune garçon aux confins de l'univers ?
Présentation
Lorsque j'ai vu pour la première fois Galaxy Express 999 à la TV, c'était la série et non pas ce film, et c'était avec des yeux d'enfants. L'histoire m'a tout de suite fascinée, envoûtée et j'ai été transportée au cœur des voyages à bord du triple 9. En visionnant ce film, bien des années plus tard, j'ai redécouvert avec émotion ce beau voyage. Mais ce qui m'a impressionnée, c'est que ce dessin animé ne raconte pas seulement une histoire, il traite également en profondeur deux thèmes importants de la vie : l'immortalité et la maturité.
Personnellement, je vous recommande ce film, plus que la série. Il en est un très bon condensé, et est tout simplement sublime. Il comporte les excellentes musiques de Nozomi Aoki. Dans ce dessin animé, on retrouve avec plaisir quelques personnages récurrents de l'univers de Matsumoto, comme Emeraldas ou Albator. On retrouve également d'autres personnages clé de l'animé, comme Claire, le pirate Antarès et ses enfants.
Le film de Galaxy Express 999 débarque dans les salles au Japon le 4 août 1979, soit près d'un an après la diffusion du premier épisode de la saga. C'est un véritable chef-d’œuvre de plus de 2 heures réalisé par le grand Rintaro (Albator, Grand Prix, Kamui, X1999, Metropolis) et dessiné par Kazuo Komatsubara (Goldorak, Devilman, Albator).
Il s'agit en fait d'un très bon résumé de la série télévisée. On note quelques petites différences comme par exemple : la vengeance de Tetsuro arrive plus tard dans le film que dans la série et devient l'un des fils conducteurs, Tetsuro est représenté plus âgé dans le film que dans la série, ou encore, l'action dans le film se déroule plusieurs années après l'assassinat de sa mère par le Comte mécanique.
Le Film est disponible en une très belle édition Collector éditée par Déclic Image, présentée sous forme de coffret, comprenant deux DVD : un avec le film divisé en 14 chapitres (CD fond noir, image : l'avant du Galaxy Express). L’autre avec des bonus (CD fond noir, image : avant Atlantis) : reportage vidéo, bande annonce japonaise, galerie de croquis, galerie d'illustrations 3D, clips karaoké. Le coffret est cartonné est la couverture est superbe. Sur fond galactique, parmi la profonde obscurité de l'univers, on trouve côte à côte le Galaxy Express, le Queen Emeraldas et l'Atlantis. Sur la couverture sont dessinés les visages de la belle Maetel et de Tetsuro. Un bel objet donc, pour les collectionneurs.
Personnellement, je vous recommande ce film, plus que la série. Il en est un très bon condensé, et est tout simplement sublime. Il comporte les excellentes musiques de Nozomi Aoki. Dans ce dessin animé, on retrouve avec plaisir quelques personnages récurrents de l'univers de Matsumoto, comme Emeraldas ou Albator. On retrouve également d'autres personnages clé de l'animé, comme Claire, le pirate Antarès et ses enfants.
Le film de Galaxy Express 999 débarque dans les salles au Japon le 4 août 1979, soit près d'un an après la diffusion du premier épisode de la saga. C'est un véritable chef-d’œuvre de plus de 2 heures réalisé par le grand Rintaro (Albator, Grand Prix, Kamui, X1999, Metropolis) et dessiné par Kazuo Komatsubara (Goldorak, Devilman, Albator).
Il s'agit en fait d'un très bon résumé de la série télévisée. On note quelques petites différences comme par exemple : la vengeance de Tetsuro arrive plus tard dans le film que dans la série et devient l'un des fils conducteurs, Tetsuro est représenté plus âgé dans le film que dans la série, ou encore, l'action dans le film se déroule plusieurs années après l'assassinat de sa mère par le Comte mécanique.
Le Film est disponible en une très belle édition Collector éditée par Déclic Image, présentée sous forme de coffret, comprenant deux DVD : un avec le film divisé en 14 chapitres (CD fond noir, image : l'avant du Galaxy Express). L’autre avec des bonus (CD fond noir, image : avant Atlantis) : reportage vidéo, bande annonce japonaise, galerie de croquis, galerie d'illustrations 3D, clips karaoké. Le coffret est cartonné est la couverture est superbe. Sur fond galactique, parmi la profonde obscurité de l'univers, on trouve côte à côte le Galaxy Express, le Queen Emeraldas et l'Atlantis. Sur la couverture sont dessinés les visages de la belle Maetel et de Tetsuro. Un bel objet donc, pour les collectionneurs.