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Affiche et synopsis
Quatre ans après la destruction de Isla Nublar...
Les dinosaures font désormais partie du quotidien de l’humanité entière. Un équilibre fragile qui va remettre en question la domination de l’espèce humaine maintenant qu’elle doit partager son espace avec les créatures les plus féroces que l’histoire ait jamais connues.
Les dinosaures font désormais partie du quotidien de l’humanité entière. Un équilibre fragile qui va remettre en question la domination de l’espèce humaine maintenant qu’elle doit partager son espace avec les créatures les plus féroces que l’histoire ait jamais connues.
Présentation
Oyez les Galionautes, voici venue la tant redoutée épreuve de la recette - chronique - du KapTain Koyote ! Et bien évidemment, pour corser la chose, j’ai glissé quelques pièges et difficultés techniques au cœur de celle-ci. Alors… lisez bien la recette ! 😜
A vos marques. Prêts ? Dinopâtissez !
Préparation no 1
Plan de travail : la Terre, choisir une époque chronologiquement pas trop éloignée, 4 ans dans le futur feront l’affaire
Déroulement :
Plan de travail : opter pour un décor montagneux idyllique à la Brokeback Mountain
Déroulement :
Plan de travail : Malte, massif alpin des Dolomites, jungle
Déroulement :
A vos marques. Prêts ? Dinopâtissez !
Préparation no 1
Plan de travail : la Terre, choisir une époque chronologiquement pas trop éloignée, 4 ans dans le futur feront l’affaire
Déroulement :
- Placer les dinosaures un peu partout sur la carte du monde, les faire interagir de manière spectaculaire dans le quotidien des êtres humains, se faire plaisir, être créatif
- Fabriquer un maximum d’ellipses pour tout ce qui est inexplicable
- Ajouter des braconniers et défenseurs des dinosaures, les faire se crêper le chignon, se poursuivre, s’humilier parmi
- Parsemer l’état du Texas de sauterelles géantes sorties d’on ne sait quel placard
- Réserver le tout
Plan de travail : opter pour un décor montagneux idyllique à la Brokeback Mountain
Déroulement :
- Installer la famille Ingalls dans une charmante cabane aux abords de la forêt
- Fixer Charles Ingalls sur le dos d’un cheval, lui attribuer une poigne de fer et le munir d’un lasso, puis l’expédier à la sauvegarde des troupeaux de dinosaures sauvages
- Prendre Laura Ingalls, la peindre pour qu’elle paraisse avoir 14 ans et forcer le trait de sorte à ce qu’elle ait l’air insupportable au possible
- Incruster dans le décor des mercenaires au service d’une société de biotechnologie
- Brasser sauvagement le tout (Laura doit disparaître)
- Réserver le tout
Plan de travail : Malte, massif alpin des Dolomites, jungle
Déroulement :
- Utiliser des séquences et des prises de vue qui ont bien fonctionnés dans les précédents films de la franchise Jurassic Park et les réchauffer avec un peu de bave de dinosaure, sprayer copieusement de leur haleine fétide
- Réutiliser tous les personnages des opus précédents, les faire sympathiser vite fait bien fait, puis les balancer dans une casserole avec tous les ingrédients précédents
- Saupoudrer de graines de CIA, de feuilles de services de renseignements français et de germes de docteurs Maboule
- Ajouter à cela des marqueurs de films tiers qui ont fait mouche :
- Star Wars : une pilote à la Han Solo et son vieux coucou aux airs de Faucon Millénium, une taverne bien glauque avec des contrebandiers et des créatures exotiques
- James Bond : une course poursuite à la Bond dans les rues de Malte (difficulté : remplacer les gros méchants maladroits par des dinosaures tout aussi maladroits), faire sauter un parachute à la toile trouée dans les Alpes - euh non, dans le Dolomites, réaliser des cascades d’enfer sans se blesser ni se couper
- Indiana Jones : l’un des personnages doit être déguisé à la Indi avec pour devise « mon chapeau avant tout ! »
- Porter le tout à ébullition (préparations 1 et 2 y comprises)
- Secouer encore et encore, secouer, jusqu’à ce que tout soit bien cassé, décors y compris
- Servir chaud bouillant à coups de louches dans des bols
Dégustation
Avant de manger, accomplir une prière déplorant le réchauffement climatique et l’aberration que sont les mutations génétiques, scander la beauté du berceau de l'humanité. Amen.
Faites la paix avec tout le monde et déguster votre plat. Peut-être alors aurez-vous la chance, après quelques bouchées, d’apercevoir un troupeau composé de Brontosaures, de girafes, de Diplodocus, d’éléphants, de Tricératops et de rhinocéros passer sous vos yeux ébahis et paître en harmonie dans la savane sur fond de soleil couchant.
Bon appétit !
… plus sérieusement, j’ai adoré le premier Jurassic Park. Le deuxième bof. Le troisième est divertissant. Jurassic World m’a beaucoup plu. Le suivant est bien aussi. Quant à ce dernier opus, c’est à mon avis celui de trop. Du réchauffé qui part dans tous les sens et qui, par moments, m’a égaré, avec ces sauterelles géantes et ces références tierces qui ont relégué les dinosaures en arrière-plan. Je n’étais plus trop sûre si je visionnais un Star Wars Disney ou un Jurassic Park raté. Probablement, un peu des deux. Si je dois chercher un point positif à ce Monde d’après, alors je dirais que j’ai trouvé sympathique la rencontre de tous les héros de cette franchise.
Néanmoins, j’espère que c’est bel et bien fini et qu’il n’y aura jamais un septième film. Bon sang, j’aimerais vraiment éviter de me retrouver projetée au cœur d’un complexe procédant à des expériences génétiques sur la face cachée de la Lune afin de donner la vie à un super-méga-ultra dinosaure : le Galaxus Lunosaurus !
Avant de manger, accomplir une prière déplorant le réchauffement climatique et l’aberration que sont les mutations génétiques, scander la beauté du berceau de l'humanité. Amen.
Faites la paix avec tout le monde et déguster votre plat. Peut-être alors aurez-vous la chance, après quelques bouchées, d’apercevoir un troupeau composé de Brontosaures, de girafes, de Diplodocus, d’éléphants, de Tricératops et de rhinocéros passer sous vos yeux ébahis et paître en harmonie dans la savane sur fond de soleil couchant.
Bon appétit !
… plus sérieusement, j’ai adoré le premier Jurassic Park. Le deuxième bof. Le troisième est divertissant. Jurassic World m’a beaucoup plu. Le suivant est bien aussi. Quant à ce dernier opus, c’est à mon avis celui de trop. Du réchauffé qui part dans tous les sens et qui, par moments, m’a égaré, avec ces sauterelles géantes et ces références tierces qui ont relégué les dinosaures en arrière-plan. Je n’étais plus trop sûre si je visionnais un Star Wars Disney ou un Jurassic Park raté. Probablement, un peu des deux. Si je dois chercher un point positif à ce Monde d’après, alors je dirais que j’ai trouvé sympathique la rencontre de tous les héros de cette franchise.
Néanmoins, j’espère que c’est bel et bien fini et qu’il n’y aura jamais un septième film. Bon sang, j’aimerais vraiment éviter de me retrouver projetée au cœur d’un complexe procédant à des expériences génétiques sur la face cachée de la Lune afin de donner la vie à un super-méga-ultra dinosaure : le Galaxus Lunosaurus !