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Affiche et synopsis
Tony Stark, l'industriel flamboyant qui est aussi Iron Man, est confronté cette fois à un ennemi qui va attaquer sur tous les fronts. Lorsque son univers personnel est détruit, Stark se lance dans une quête acharnée pour retrouver les coupables. Plus que jamais, son courage va être mis à l'épreuve, à chaque instant. Dos au mur, il ne peut plus compter que sur ses inventions, son ingéniosité, et son instinct pour protéger ses proches. Alors qu'il se jette dans la bataille, Stark va enfin découvrir la réponse à la question qui le hante secrètement depuis si longtemps : est-ce l'homme qui fait le costume ou bien le costume qui fait l'homme ? ...
Présentation
La bataille de New York (voir « The Avengers ») a laissé des traces dans l’esprit de Tony Stark. Souffrant d’insomnies et de crises d’angoisse, le milliardaire passe ses nuits à construire des dizaines d’armures inspirées d’Iron Man. Une situation qui n’est pas du goût de sa compagne, Pepper Pots, qui s’interroge sur leur relation.
Comme si cela ne suffisait pas, une série d’attentats signés par un mystérieux « Mandarin » sèment la terreur et laissent perplexes les enquêteurs, qui ne trouvent aucun indice lors des explosions. L’affaire prend une tournure personnelle quand Happy Hogan, le chauffeur et garde-du-corps de Stark, est grièvement blessé lors d’un de ces attentats, poussant le milliardaire à proférer des menaces télévisées au Mandarin. La réponse de ce dernier ne tarde pas, sous la forme d’une attaque à grande échelle qui détruit la villa de Stark, tuant ce dernier. En tout cas, c’est ce que croit le public, car Stark a réussi à fuir, emporté par l’une de ces armures, pilotée par Jarvis, à des centaines de kilomètres de chez lui (enfin, de ce qui reste de chez lui !).
Arrivé au Tennessee, en pleine région rurale, Stark se lie d’amitié avec un jeune garçon qui lui rappelle un peu lui-même. Avec l’aide de ce jeune fan, et profitant de sa mort officielle, il repart de quasiment rien pour enquêter sur les circonstances des explosions. C’est ainsi qu’il découvre que les (soi-disant) attentats sont liés à un nom qui résonne dans sa mémoire : Extremis.
Certains pourraient penser qu’on exploite la « veine Iron Man » de manière excessive, mais il faut reconnaître que ce troisième opus n’a rien à envier aux deux premiers. Robert Downey Jr. donne une nouvelle fois la pleine mesure de son talent, montrant un héros, mais avant tout un homme souffrant d’angoisse après la bataille de New York, particulièrement traumatisante.
On obtient ainsi un excellent scénario, plus proche d’un thriller que du simple affrontement avec un super-méchant, bourré d’action et marqué également de quelques touches d’humour, tout en donnant une plus grande profondeur à l’ensemble.
La trame, elle, s’inspire librement d’une mini-série d’albums de 2005-2006, considérée par beaucoup comme l’une des meilleures histoires consacrées à Iron Man.
La phase 2 de la franchise Marvel débute donc de la meilleure des manières.
Comme si cela ne suffisait pas, une série d’attentats signés par un mystérieux « Mandarin » sèment la terreur et laissent perplexes les enquêteurs, qui ne trouvent aucun indice lors des explosions. L’affaire prend une tournure personnelle quand Happy Hogan, le chauffeur et garde-du-corps de Stark, est grièvement blessé lors d’un de ces attentats, poussant le milliardaire à proférer des menaces télévisées au Mandarin. La réponse de ce dernier ne tarde pas, sous la forme d’une attaque à grande échelle qui détruit la villa de Stark, tuant ce dernier. En tout cas, c’est ce que croit le public, car Stark a réussi à fuir, emporté par l’une de ces armures, pilotée par Jarvis, à des centaines de kilomètres de chez lui (enfin, de ce qui reste de chez lui !).
Arrivé au Tennessee, en pleine région rurale, Stark se lie d’amitié avec un jeune garçon qui lui rappelle un peu lui-même. Avec l’aide de ce jeune fan, et profitant de sa mort officielle, il repart de quasiment rien pour enquêter sur les circonstances des explosions. C’est ainsi qu’il découvre que les (soi-disant) attentats sont liés à un nom qui résonne dans sa mémoire : Extremis.
Certains pourraient penser qu’on exploite la « veine Iron Man » de manière excessive, mais il faut reconnaître que ce troisième opus n’a rien à envier aux deux premiers. Robert Downey Jr. donne une nouvelle fois la pleine mesure de son talent, montrant un héros, mais avant tout un homme souffrant d’angoisse après la bataille de New York, particulièrement traumatisante.
On obtient ainsi un excellent scénario, plus proche d’un thriller que du simple affrontement avec un super-méchant, bourré d’action et marqué également de quelques touches d’humour, tout en donnant une plus grande profondeur à l’ensemble.
La trame, elle, s’inspire librement d’une mini-série d’albums de 2005-2006, considérée par beaucoup comme l’une des meilleures histoires consacrées à Iron Man.
La phase 2 de la franchise Marvel débute donc de la meilleure des manières.
