Peinture @ Josh Kirby, couverture de "The Silver Locusts" (Les Sauterelles Argentées) de Ray Bradbury en 1965 au Royaume-Uni chez Corgi Books, ouvrage plus connu sous le titre de "Chroniques Martiennes"
On devait s’y attendre. Les velléités de sécession de Mars ne pouvaient laisser la Terre de marbre. Résoudre ce genre de désaccord a rarement pu trouver une issue pacifique. Ce n’est pas un lecteur du 21e siècle qui pourra nous contredire. Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ? Même sur le papier, il n’est jamais vraiment entendu. Mais pouvait-on s’attendre à un tel déferlement de violence ?
D’une façon ou d’une autre, aucun des acteurs en présence ne saurait être épargné. Y compris ceux qu’on aime. Quoi qu’il advienne, vainqueurs, s’il en existe, ou vaincus, à coup sûr, les conséquences ne peuvent jamais effacer les traces de la confrontation passée. Tout juste, sans doute, les cicatrices s’estomperont avec le temps, même si elles demeureront toujours présentes. Mais la vie doit continuer. Sur Mars comme ailleurs, elle reprend ses droits. On saura la goûter dans ses décors admirables et avec ses représentants de toute nature. Des promesses de lendemains pour avancer, plus que jamais ensemble.
Ce troisième volet, après « Androïde Blues » et « Nous les Martiens », bien que pouvant éventuellement se lire sans les deux premiers, trouve sa place dans une continuité temporelle avec les mêmes personnages. Si vous le souhaitez, si le cœur vous en dit, vous pouvez toujours faire connaissance avec eux dans ces deux récits.
P.-S. : Je ne remercierai jamais assez Jean-Michel Archaimbault pour ses relectures et corrections tellement précieuses. Et « At last but not least » le Capitaine fidèle à la barre, le regard vers ces horizons lointains où nous mène l’impétueux Galion.
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D’une façon ou d’une autre, aucun des acteurs en présence ne saurait être épargné. Y compris ceux qu’on aime. Quoi qu’il advienne, vainqueurs, s’il en existe, ou vaincus, à coup sûr, les conséquences ne peuvent jamais effacer les traces de la confrontation passée. Tout juste, sans doute, les cicatrices s’estomperont avec le temps, même si elles demeureront toujours présentes. Mais la vie doit continuer. Sur Mars comme ailleurs, elle reprend ses droits. On saura la goûter dans ses décors admirables et avec ses représentants de toute nature. Des promesses de lendemains pour avancer, plus que jamais ensemble.
Ce troisième volet, après « Androïde Blues » et « Nous les Martiens », bien que pouvant éventuellement se lire sans les deux premiers, trouve sa place dans une continuité temporelle avec les mêmes personnages. Si vous le souhaitez, si le cœur vous en dit, vous pouvez toujours faire connaissance avec eux dans ces deux récits.
P.-S. : Je ne remercierai jamais assez Jean-Michel Archaimbault pour ses relectures et corrections tellement précieuses. Et « At last but not least » le Capitaine fidèle à la barre, le regard vers ces horizons lointains où nous mène l’impétueux Galion.
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