Un des meilleurs Vance
L’histoire :
La Thaérie est un petit territoire sur la planète isolée Maske. Les habitants, les Thariotes, sont les lointains descendants d’exilés arrivés sur des vaisseaux spatiaux.
Le héros Jubal Droad est un jeune homme du comté éloigné du Glentlin dont Les habitants sont des parias pour ceux des autres comtés.
Après une mésaventure désagréable avec un mysterieux chevaucheur d’ercycle dans les montagnes à la frontière de la Thaérie, il part pour la « capitale » Wysrod, muni d’un lettre de recommandation pour Naï le Hever, chef d’un des grandes familles de Thaérie.
À peine arrivé il est confronté à l’adversité, il rencontre son dangereux adversaire Ramus Ymph, ainsi que son nouvel employeur et sa fille -tout deux aussi dangereux- et il est au centre de complots mystérieux. Après avoir échappé à la mort (par assassinat légal) Naï le Hever l’envoie sur la planète Eiselbar à la poursuite de son adversaire mais doit bientôt revenir vers le nid de vipères de la Thaerie et contrer les traîtres comploteurs qui l’assaillent de toute parts.
Il embarque sur la felouque de son ami le capitaine Shrack avec Mieltrude -la fille de son « patron » Naï le Hever- (contre son gré) et suivent Ramus Ymph vers le continent du Wellas où il semble vouloir établir des relations commerciales avec les Waels, une étrange peuplade qui vit avec les arbres.
Ymph essaie de négocier le Minie qui semble être leur représentant immatériel de Waels.
Le résultat est déroutant et Jubal Droad doit retourner avec son équipage vers la Thaérie pour expliquer le fin mot de l’histoire.
*
Ce roman assez court est un concentré de tout ce qui fait le piment des œuvres de Vance :
Tous les ingrédients sont réunis : un héros jeune, compétent, déterminé, une énigme mystérieuse, des vaisseaux spatiaux, un voyage hors planète, des personnages féminins déroutants, des sociétés étonnantes, des dialogues recherchés, un environnement dépaysant décrit avec une précision frappante.
L’intrigue est prenante, malgré le ton mesuré -voire bonhomme- certaines scènes sont très violentes. Le temps du livre nous sommes transportés loin, très loin de notre environnement.
On sent que l’auteur a pris un plaisir particulier à la création de ce monde – profitons-en !.

Un film de SF coréen ? Voilà qui m'intéresse fortement, parce que je n'en peux plus de ces films SF bourrins réalisés par les amères loques. Merci pour la recommandation ! 👍

C'est intéressant que l'un des textes figurant parmi les plus lointains précurseurs de la SF soit à ce point parodique, tout en débridant l'imagination. On pourrait tirer le fil au-delà de Verne et aller jusqu'au surréalisme, à la Pataphysique du Dr Faustroll sous la plume de Jarry, pourquoi pas K. Dick aussi par le déploiement d'une raison démentielle ?

Merci d'avoir pensé à présenter ce récit à bord du Galion. Ton enthousiasme est communicatif, cela donne envie de partir à la découverte de ce conte philosophique de SF !

Beau récit, beau navire, belles photos, c'est génial que tu aies pu monter à son bord !

J'ai connu ça aussi en tant que responsable

Merci à vous tous pour votre retour. Ça me réconforte en ce dimanche un peu maussade. Gapdy, non, je n'avais pensé mi à pouce, ni à boîte ou poubelle. Koyo, que je comprends ton souhait de te baigner seule à l'étang de l'auberge du héron!

Pauvre Pax, espérons qu'il trouvera la paix dans un rôle de jardinier solitaire. A l'écart des contradictions incessantes et de injonctions forcément en opposition de l'égoïsme humain, grilleur des circuits positroniques des robots à la logique perturbée. La vie n'est pas toujours facile pour nos chers tas de ferraille dont, dans le confort de notre dimanche, l'esprit au repos, nous ne pouvons que partager avec compassion le désarroi. Certes il ne faudrait pas se retrouver avec les autres à "L'étang du Héron", qui sait de quoi nous serions capables pour faire tourner en bourrique le gardien des lieux.
Merci Robert pour ce nouvel Opus !

Et voilà, enfin rattrapé mon retard et en passe de le dépasser. Il était temps. Quelle idée de se mettre à faire du tri, du rangement chez soi en vue de faire un peu d'espace. Espace, tiens, quand tu nous tiens. Un bon moment même si un peu fragmenté par ma faute de lecture. Du temps qui prend son temps et pas désarticulé pour autant. Une histoire prenante, oui avec des échos Babylonesques ce qui n'est pas un défaut, bien au contraire. Mais ce qui m'a le plus intéressé, c'est les personnages. Les Aliens bien entendu mais surtout les humains, le mousse, la capitaine Theodora, la médecin Calcutta, mais surtout Juana, dont la folie supposée à du mal à cacher un esprit brillant. Mention particulière enfin pour la tendresse du Post-Scriptum.
Merci J.C.

Merci à Robert Yessouroun de m'avoir fait découvrir un robot avec un Q.I de 250 portant un short rouge. Je pense que cela aurait du mettre la puce à l'oreille. Une bien agréable lecture en ce dimanche pluvieux.

Tout comme dans la fable du futur Trêve de comptoir de ta plume et que j'ai beaucoup appréciée, le pauvre Pax est confronté à une clientèle exigeante, avec ses problèmes et souhaits, à faire stresser et tilter n'importe qui... et n'importe quel robot.

Cet étang du Héron est magnifiquement bien décrit, je voudrais bien goûter à ce havre de paix, le temps d'une baignade... mais seule, sans avoir à subir les tics et les tocs de ces touristes 😉

Merci bien pour ce sympathique moment d'évasion du dimanche matin.

Boudiou de boudiou…
Le pire dans cette histoire reste que les remarques, « râleries » et « rouspétages » des clients et plaisanciers ne sont que le reflet d’une certaine réalité, tant elles me rappellent de souvenirs après mon BAFD quand les parents arrivaient pour déposer ou reprendre leurs marmots ou ados. Ce pauvre Pax s’est donc retrouvé, comme bien des personnes devant gérer un lieu partagé, coincé entre ses devoirs-obligations et les attentes-récriminations, sans que son QI ne puisse contrebalancer son QE qui fut tiré à hue et à dia…
Avec cela, si je ne me trompe pas, Pax peut aussi signifier Pouce en anglais et BIN est aussi, et toujours sauf erreur, une boîte ou une poubelle. Y aurait-il des clins d’œil ?
Un grand merci de nous offrir cette petite « passade » qui fait du bien un dimanche matin, même si un robot en souffre quelque peu.

Exclusivité : deux victoires pour ce film de SF coréen remarquable, à la croisée de "Blade Runner" et de "Edge of Tomorrow" ! En raison d'une faille temporelle entre le XIVe et le XXIe siècle, des moines magiciens et un gardien qui doit protéger le...

Dès que l’on évoque dans un roman ou autres, un vaisseau spatial, des extraterrestres, des ambassadeurs, des complots, des trahisons ... et bien je pense Babylon 5,
à chacun ses références.
Je vois l’ambassadeur G’Kar, l’ambassadeur Londo Mollari, l’ambassadrice Delenn et puis tous les autres. Comme je suis un fan inconditionnel de cette série,
je ne peux qu’adhérer au souffle de cette nouvelle.
Un sympathique moment de lecture donc, à bord du Long Quiet River où les fils de la diplomatie sont aussi embrouillés qu’ailleurs, aux confins de l’espace.
Merci J.C pour le partage.

72m de long... Pour être monté à bord du Mercator qui correspond aux dimensions et me paraissait gigantesque, imaginer pouvoir piloter SEUL ce "Concorde des mers" me parait comme une prouesse humaine et technologique. Au moins j'ai pu me rendre compte du volume d'un tel navire (même si le Focéa est nettement plus effilé que ce bon grand et vieux Mercator.

Les explorateurs maritimes m'ont toujours fasciné. Prenons les cas de Christophe Colomb et Amerigo Vespucci, tous deux italiens et devenus amis en Espagne ! Ces deux personnes auraient pu vivre simplement chacun de leur coté, du commerce maritime méditerranéen mais non ! Ils avaient tous deux les yeux rivés sur cet océan Atlantique qui semblait infini ! Leur envie de démarrer d'un pays côtier à l'Atlantique les aura fait se rencontrer dans leur projet et c'était en l'an 1490-1500 avec de petits galions bien plus petits que les trois mâts qui ont suivi. Tout cela est passionnant !

Comme pour beaucoup des Anticipation de cet auteur, on a l'impression de lire une BD ancienne et naïve dont le scénario recycle une foule d'éléments déjà vus ailleurs. Ce sera aussi le cas, un peu plus tard, avec "Le maître de Phallaté" qui réussira à surprendre un peu plus.
Tout à fait d'accord pour dire que cet auteur ne peut intéresser que collectionneurs et passionnés...

Ce film n'est pas mauvais du tout mais n'est pas non plus innovant. S'il semble s'intercaler entre le 1er et le 2ème film , il n'apporte absolument rien à la saga. Sa place dans la chronologie permet juste de démarrer une intrigue qui vient d'un modèle d'humanoïde synthétique bien connu et une fois de plus coupé en deux.
Par contre, je me suis vraiment senti (et mon grand fiston aussi) propulsé dans le décor du jeu vidéo "Alien Isolation". Tout y est : Les décors, les ordinateurs à écran monochrome modèle Commodore 64, les portes des sas et les interrupteurs électriques à enclenchement par 3 pompes de manette, la forme totalement identique des échelles, ces énormes combinés (style cabines téléphonique à pièces) à proximité des portes qui permettent les sauvegardes du jeu, jusqu'à la tenue et même les chaussures (genre baskets sport à lacets) de la protagoniste principale qui d'ailleurs ressemble étrangement (dans sa façon de jouer) à Amanda Ripley, l'héroïne du jeu (la fille de Ellen Ripley).
Si le jeu est du genre "survival" où il faut rester absolument discret, le film ne s'y rapporte en action que sur la séquence des xénomorphes fécondateurs à 8 pattes qu'il faut affronter et là, je dois dire que la séquence est très prenante ! J'y mettrai même 4 étoiles.
Pas de critique négative en ce qui me concerne, surtout que les scènes sont bien visibles et non-filmées dans le noir absolu comme bon nombre de bêtises de films d'horreur. Ce film est un moment qui permet de retrouver cette bestiole qui nous fascine tant et qui est très certainement la pire qui ai pu été inventée dans l'histoire du cinéma.
C'est un film de castagne où le sang vert-gris gicle dans tous les sens et où l'on en prend plein la figure... Attention de bien rester en apesanteur à ce moment-là car c'est très corrosif...
Voilà un bon moment, il ne faudrait pas qu'ils réitèrent l'affaire mais avec les Américains, c'est souvent couru et perdu d'avance ...

Lu il y a longtemps maintenant, sur une relique du passé que les Anciens appelaient livre... 🤣
Cette histoire donnait son nom au recueil, qui était très bien, en hommage a P. K. Dick, que j'avais beaucoup aimé malgré mon désamour de ce dernier.
Une œuvre "de jeunesse" de l'ami Jycé déjà très aboutie.

Un concept très intéressant qui m'a fait sourire (surtout la première note de bas de page...Car oui elle est pertinente!). Mais invoquer et mettre en scène Rémiens et Romuliens a parasité ma lecture : car je ne pouvais penser qu'à Star Trek (tant est si bien que j'ai du vérifier si la planète évoquée par les protagonistes était de celles ou le nom de Tal-Shiar donne des frissons...).
Le clin d'oeil à "Monsieur Sulu", bien qu'amusant, n'aide pas à oublier cela.

L'idée du huis-clos diplomatique mêlé d'un virus est superbe, surtout vis à vis de la langue bien verte du capitaine et de l'équipage, qui est bien obligé de faire des courbettes aux ambassadeurs.
La résolution de l'énigme s'emballe un petit peu...et surtout l'insistance à faire référence à un inspecteur bien connu de fiction (et sa créatrice) était maladroite.

Je pars du principe que "Le public est intelligent" : si tu as pu me faire découvrir l'auteur Thomas Bernhard (et à ma connaissance la note 8 est toujours valable à l'heure ou j'écris ces lignes), il y a d'autres lourdeurs: Le discours de la Rémusienne (ou Romulienne? je ne confonds...) à Juana rejoint le cliché, éculé, du "Nous avons bien étudié votre monde" que je range au même rang que celui des années 50/60 à "Menez nous à votre chef!".

L'idée que les extraterrestres ont une discours critique explicite de nos sociétés me semble aussi usé jusqu'à la corde : Pourquoi ne pas créer une civilisation (ou plusieurs) en miroir? Je me rappelle vaguement d'un épisode de Star Trek Voyager intitulé "Virtuoso" ou l'USS Voyager (et son médecin holographique) rencontrent une civilisation qui ignore ce qu'est la musique.

Ceci est d'autant plus douloureux que tu mets en scène 3 races extraterrestres avec des factions internes : C'est trop rare en science fiction pour ne pas être relevé et salué. Après j'entends que le format de la nouvelle n'est pas le plus approprié pour développer cela.

Les "hésitations" de communication entre les humains et leurs hôtes sont intéressantes, mais finissent par devenir pataudes et redondantes, allant jusqu'à prendre le lecteur pour un imbécile : la note 6 en cela est topique.


En somme, une nouvelle très intéressante mais qui souffre de lourdeurs dues au fait , je pense, que tu prennes trop ton public par la main : si c'est bienvenu pour le volet épidémie de l'intrigue, cela l'est moins pour le volet diplomatique et sociales.

Un récit bien sombre mais hélas! pas totalement invraisemblable. Des faits pas si lointains peuvent en attester. L'humour constelle le récit lui confère des allures légères et rend la lecture vraiment agréable... mais souvenons nous que la soumission est dangereuse.

Une jouissance jubilatoire ! L'«Histoire véritable » est un conte philosophique de Lucien de Samosate écrit au IIème siècle après Jésus Christ. C'est certainement l'un des textes les plus originaux qui nous soient parvenus de...

Un article passionnant et le dernier paragraphe que tu viens d'ajouter avec les coûts mirobolants pour la restauration de l'Hermione est très intéressant. Top !

Court (trop court?), ce texte me rappelle le film "District 9" (l'Afrique du Sud sans doute) mêlé d'une sauce américano-républicaine caricaturale. Un développement serait peut être bienvenu...Je suis resté sur ma faim

Adaptation franco-suisse du célèbre roman éponyme de Daniel Keyes ! Charles Gessler, un jeune défaillant mental, est contacté par des médecins afin d'expérimenter un produit qui développe l'intelligence. Le test ayant été positif sur Algernon, une...

Voici une nouvelle bien troussée, bien enlevée et drôle! Cela me donne envie d'en lire d'autres Eric Marie! Merci pour le partage.

Merci beaucoup pour la présentation de cette nouvelle, ce voyage m'a l'air incroyablement bien, je vais me laisser tenter !

Et encore une belle histoire de Tonton Christobal ! Je ne connaissais pas du tout le périple du Louxor, c'est même assez dingue qu'ils aient dû le démonter comme un Lego pour faire entre la colonne.
Mon oncle racontait souvent le moment de l'érection sur la place de la Concorde. Ils avaient vu trop juste au niveau du treuil, et l'obélisque n'était pas encore d'aplomb mais ils n'avaient plus de marge de manœuvre. Alors un marin dans la foule a hurlé : "mouillez les cordes !" En séchant, elles se sont suffisamment rétrécies pour finir de dresser le monument. Pour moi, le marin a la gueule de bouledogue de mon oncle.
Entièrement d'accord avec l'âme des bateaux, je pense qu'il faudrait désormais écrire la fin de l'histoire du Louxor. Si toute trace a disparue, il nous reste l'imagination !

Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence. Mais quelle histoire ! Nous avons enfin la seule explication possible pour cette affaire de féminicide sordide. Merci d'avoir ramené ce petit homme blanc à sa juste échelle et dans son milieu naturel, celui d'une classe sociale hors-sol, qui vit effectivement dans son propre monde de fantasmes et de phobies.
Récit court mais horrifique, et horriblement réaliste.

Merci infiniment pour cet avis très complet et ces précieuses informations ! 🙏

C'est l'avant-dernier Fleuve Noir Anticipation de l'auteur. Jadis, il nous a fait découvrir bien des mondes fous, cauchemardesques, extrapolés de notre société déjà mal barrée. L'année précédente, il nous a emmenés sur une planète étrangère où dominaient la cruauté, les tortures, les êtres monstrueux ("Les maîtres de l'horreur" et "Les pierres de la mort"), avec un héros qui ressuscitait après chaque trépas. Ici, comme dans "Cadavres à tout faire" qui arrivera peu après, on est sur Terre. Un monde futur régressif, aux valeurs parfois inversées, un enfer baroque et surréaliste où l'humour noir tient une place importante. La mort y est commerce, cinéma, spectacle, c'est aussi glaçant qu'amusant et jouissif pour le lecteur qui va plonger dans une aventure déjantée. Il y a de belles figures de style, des inventions hallucinantes et des images très fortes. Mais on n'y recycle pas les corps comme dans le dernier opus de Bessière, aux tonalités plus fantastiques et plus macabres encore.
Ces deux romans sont vraiment les fusées à étages multiples du bouquet final d'un feu d'artifice aux lumières inversées.
Moi, j'avais bien aimé. Une relecture assez récente ne m'a pas fait changer d'avis.
Mais il faut s'accrocher aux poignées et aux barres, comme indiqué dans les autobus d'autrefois.
Kap'tain, ça secoue autant sinon plus qu'une tempête. Tiens bon la barre, et bon courage! 😉

Comme tu le dis : "Une pauvre fin pour un navire bien courageux…"

Bravo pour ce retour du voyage narré par l’obélisque en personne. Oui, les bateaux ont une âme, j’ajouterai qu’inanimés ou non, tous les objets en possèdent une, et donc cet obélisque qui a traversé les siècles et les millénaires en aurait à nous en raconter de belles. De cette époque antique balayée par le vent et le sable de l’histoire à celle sûrement moins silencieuse de notre ère moderne. Que de poussière, de fumée et de bruits de klaxons par tous ces énergumènes qui pestent de ne pas avancer dans leurs charrettes métalliques. De quoi éternuer et hausser les yeux au ciel si on en disposait !

Rêve-t-il, cet obélisque de retrouver un jour sa sœur jumelle là-bas au pays des Pharaons ?

On pourrait toujours construire une réplique pour que la place ne devienne pas orpheline.
En tout cas merci d'avoir partagé avec nous ce long et passionnant voyage mouvementé.

Tout à fait plausible et justifié, me glissent Donald et Elon à l’oreille. Voilà pourquoi nous devons être armés pour nous préparer au pire. L’invasion crypto socialo-communiste Woke LGBTQ+ des Aliens a déjà commencé et ne pourra provenir que du conduit d’évacuation des toilettes. La chasse est ouverte, elle doit être tirée. Les victimes collatérales seront un dommage acceptable.

Finie l’époque datée d’un David Vincent bien trop gentil face aux envahisseurs. Désormais, on tire d’abord et on vérifiera après s’il y avait des tentacules cachés !

Merci Éric, pour ce texte teinté d’un humour noir particulièrement adéquat au pays des Pist… Pastorius !

Mais, Eric !!! 😅😂🤣
Heureusement que la porte de mes toilettes n'est pas en face de celles-ci, sans quoi après cette lecture, bon sang, je n'oserais plus y aller en pleine nuit !!!
Merci pour cette histoire qui m'a sacrément bien fait marrer 😀👍

Impressionnant !